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Cause animale

Publié à 17:46 par fandeloup Tags : photo animaux vie france sur paris carte place oiseaux
Cause animale

Cause animale : des «people» en cage place de la République

 Des poules en cage, en 2005, près de Strasbourg.

Le happening qui se déroule mercredi matin à Paris avec des personnalités comme Yannick Jadot ou Allain Bougrain-Dubourg amorce une initiative citoyenne européenne voulue par 130 ONG pour dénoncer les animaux en cage.

Cause animale : des «people» en cage place de la République Ce mercredi matin, ils devraient tous passer derrière les barreaux : Eric Diard, député LR ; Olivier Falorni, député du Parti radical de gauche ; Yannick Jadot, eurodéputé écologiste ; Anne-Laurence Petel, députée LREM ; mais aussi Allain Bougrain-Dubourg, le président de la Ligue de protection des oiseaux ; ou encore Corine Pelluchon, cette philosophe engagée pour la cause animale…

Si tous vont accepter de se faire encager, sur la place de la République, à Paris, c’est justement pour dénoncer les cages. Chaque année, en Europe, près de 370 millions d’animaux sont élevés derrière des barreaux. Ces conditions de confinement et d’isolement les privent de tout bonheur de vivre, mais aussi du plus élémentaire confort : des lapins, des cailles, des canards, des oies, des poules peuvent à peine se mouvoir, les truies ne peuvent même pas se retourner.

Cette sordide réalité concerne, en France, plus de 85 millions d’animaux. Parmi eux, 97 % des lapins et 99 % des truies passent ainsi leur vie privés de toute liberté. Recueillir un million de signatures Pour mettre fin à l’élevage en cage, 130 ONG, dont une vingtaine d’associations françaises, ont décidé de lancer une initiative citoyenne européenne (ICE).

Le happening qui se tient ce matin à Paris marque son top départ. L’objectif de cette coalition est le même que pour toute ICE, à savoir réunir, en un an, un million de signatures de citoyens européens. Si les ONG y parviennent, la Commission européenne sera dans l’obligation d’examiner «attentivement» le dossier de l’élevage en cage, puis d’adopter «une réponse officielle».

Mais, précisent également les textes, «la Commission n’est pas tenue de présenter une proposition législative à la suite d’une initiative». Autrement dit, l’issue d’une telle démarche reste incertaine.

De plus, les contraintes imposées par une ICE sont lourdes : les signatures doivent provenir d’au moins sept Etats membres, et chacune d’entre elles doit être «vérifiée», ce qui signifie que le signataire doit mentionner le numéro de son passeport ou de sa carte d’identité.

«Cette procédure rebute certaines personnes mais elle est compréhensible dans la mesure où il ne s’agit pas d’une simple pétition mais d’un outil démocratique qui oblige la Commission européenne à se positionner», explique Claire Hincelin, responsable de la communication du CIWF, l’une des associations impliquées dans la promotion de cette ICE.

«Les données personnelles concernant les signataires seront détruites au bout de six mois, précise Claire Hincelin. Quant à la décision finale de la Commission européenne, elle devrait intervenir d’ici juin 2020.»

Selon l’Eurobaromètre publié en mars 2016 par cette même Commission, 89 % des citoyens interrogés estiment qu’une législation européenne devrait garantir le bien-être des animaux utilisés à des fins commerciales.