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Circulation

Publié à 07:30 par fandeloup Tags : place bonne france texte pouvoir créations voiture photo
Circulation

Circulation : les péages urbains bientôt autorisés ?

Les grandes villes pourraient, comme à Milan (ici en photo ), instaurer un péage urbain pour limiter la circulation et en réduire l’impact environnemental. Le Parisien Le projet de loi d’orientation des mobilités qui sera bientôt présenté en conseil des ministres prévoit la possibilité pour les communes d’instaurer un péage urbain.

Après la hausse des carburants, les automobilistes risquent de devoir mettre une fois de plus la main au porte-monnaie. Le projet de loi d’orientation des mobilités qui doit être présenté le mois prochain en Conseil des ministres et au printemps au Parlement prévoit en effet la possibilité pour les communes de plus de 100 000 habitants de mettre en place des péages urbains, révèle le journal en ligne Contexte. Cette mesure figure dans l’avant-projet de loi qui a été transmis ces derniers jours au Conseil d’Etat.

Le gouvernement compte bien donner aux grandes villes la possibilité d’instaurer des péages urbains. D’après Contexte, les villes vont pouvoir instaurer un « tarif de congestion » dont l’objectif est de « limiter la circulation automobile et lutter contre la pollution et les nuisances environnementales. » Selon ce texte, le montant de ce péage « est déterminé de manière forfaitaire pour chaque entrée dans la zone soumise au tarif. Pour les véhicules légers, ce montant est au plus égal à 2,50 euros. »

Pour les autres véhicules, le tarif peut être jusqu’à quatre fois plus élevé. Pécresse y est opposée Pour les communes de plus de 500 000 habitants comme Paris, Marseille ou Lyon, les montants pourraient être multipliés par deux, soit 5 euros pour une voiture et 20 euros pour un camion. Les création de ces péages seront décidées par les villes ou par les communautés de communes et par la région en Ile-de-France.

Très détaillé, ce projet prévoit les dispositions pour pouvoir instaurer des tarifs réduits mais aussi la gratuité pour les « véhicules d’intérêt général » ou assurant « un service public de transport ». Concrètement, les communes ne vont pas installer des barrières de péage à l’entrée des villes mais un système de téléservice qui enregistre tous les passages avant d’envoyer la facture en fin de mois.

Au mois de janvier, Elisabeth Borne, la ministre des Transports, s’était dit favorable à ce type de mesures déjà mis en place à Londres ou Milan. De son côté, Valérie Pécresse, la présidente de région Ile-de-France, a déjà marqué son opposition. « Je suis résolument contre. Cela couperait la région en deux en accroissant la fracture sociale et territoriale. Il y aurait d’un côté les Parisiens et métropolitains les plus riches.

Et puis les autres, notamment les Franciliens les plus défavorisés. Ils sont déjà discriminés car ils ont souvent des véhicules anciens et n’ont pas la bonne vignette Crit’Air pour circuler dans Paris. Ce péage renforcerait leur sentiment d’exclusion », affirmait-elle il y a un an dans nos colonnes.