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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Une étude alerte sur le «déclin massif» de la plus grande colonie de manchots
Le nombre de manchots royaux a fortement baissé en 35 ans.
Le nombre d’animaux a fondu de 90 % en 35 ans. C’est une véritable hécatombe. La colonie de manchots royaux située sur l’île aux Cochons (Antarctique), considérée comme la plus grande au monde, a fondu de près de 90 % en 35 ans. Le nombre d’animaux est passé d’environ 500 000 couples reproducteurs [c’est-à-dire un couple et deux jeunes] à 60 000 », soit 240 000 manchots, selon une étude publiée ce vendredi dans Antartic Science.
La population totale de manchots royaux (reconnaissables à leur ventre blanc, leur bec noir et à une tache orange sur le côté de la tête), estimée à 1,5 million de couples reproducteurs, a donc baissé d’un tiers.
« Le mystère reste entier » « C’est une réduction énorme », s’est alarmé Henri Weimerskirch, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et premier auteur de l’étude. « Si les causes de la disparition de ces manchots pourraient être environnementales, le mystère reste entier », souligne le CNRS. Connue depuis les années 1960, cette colonie, la plus grande au monde, se trouve dans la réserve naturelle des Terres australes françaises (TAAF).
Mais en raison de son isolement et de son inaccessibilité, il n’y avait pas eu d’évaluation récente de cette colonie depuis la dernière visite de l’île par une équipe scientifique en 1982. Le déclin s’est poursuivi Cette année, les chercheurs à l’origine de l’étude ont utilisé des images haute résolution prises par satellites.
Ils se sont rendu compte que la superficie de la colonie diminuait au profit d’un retour de la végétation, à partir de la fin des années 1990.
L’épisode saisonnier chaud El Niño, en 1997, a notamment compliqué la recherche de nourriture des manchots royaux. Mais le déclin s’est ensuite poursuivi. « C’est étonnant. Il s’est passé quelque chose en plus sur cette île. Il faudrait aller sur place pour comprendre », a ajouté Henri Weimerskirch. Parmi les hypothèses : une très forte densité qui rend la compétition plus rude entre les individus ou une maladie comme le choléra aviaire.