aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonjour bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Oh! mon tendre amour, toi qui hante mes jours Lorsque je ne peux être avec toi tout mon être est en émoi Même la nuit, quand de toi j'ai envie, Je me transformerais en souris En me rapprochant de ta chaleur tout près de ton cœur. Entre-nous deux, un lien magique existera toujours car, il y a ce magnifique amour. Un échange si profond que je n'y vois point le fond Je m'encre à ton port et ce encore de plus en plus fort. N'oublie jamais que si la vie nous déçoit je resterai là pour toi et si elle nous quitte pour toujours tu resteras mon grand amour.
J’ai l’impression de parler toute seule. L’impression que personne écoute. Qu’il n’y a pas âmes tout près, Pour me dire que je suis-la, Pour moi ou pour quelqu’un. Il y a trop de va-et-vient autour, Pour se concentrer sur ce qui est dit ou fait. Je ne sais même plus quoi raconter, Tellement je suis fatigué, De devoir toujours répéter. J’ai le sentiment de tomber, dans un tourbillon d’émotion. Je n’entends plus ma voix, qui cri son désarroi, sa raison. Je voudrais juste pour une fois, Que quelqu’un me dise tout bas, Je t’ai entendu, ne pleure plus, Sourie-moi, je suis avec toi.
C’était un samedi ensoleillé, chez toi, tu m’avais invité. Pour moi ça ne se pouvait pas, J’avais enfin une chance de me retrouver dans tes bras. J’étais nerveuse et anxieuse, Mais à la fois tellement heureuse. J’avais en moi une pression, Et je n’en sais pas encore la raison. J’avais peur un peu je crois, De me retrouver seul avec toi. J’avais peur de ce qui allait m’arriver, Si tu oserais m’embrasser. Je ne savais vraiment pas comment réagir. En moi grandissait se désir, Que je cherchais en vain à assouvir. Je n’avais qu’a regarder tes mains, Et j’en perdais tout mes moyens. Ces nuits merveilleuses que nous avons partagés, Jamais je ne pourrai les oublier. J’ai tellement été envoûté par ta douceur, Que j’y serais resté encore des heures. Je voudrais revivre ses moments intense, où nous avons comblé nos absence.
Au-delà des étoiles Avec mon âme et ma voix, je te parle de moi. J’essaye de comprendre le pourquoi de ton absence. Juste au moment, où je croyais pouvoir dire, Je t’aime de nouveau, tu as mis entre-nous, cette frontière, ces barreaux. Je suis resté debout, au milieu de ce grand remous, à regarder le blizzard se lever, pour ne plus voir ton regard me contempler. J’aimerai toucher les notes de ton cœur, pour t’inspirer une mélodie de bonheur. Te voir danser avec ardeur, sur l’arc-en-ciel de mes humeurs. Il me faut survivre maintenant, à la dérive de ce moment. Au-delà des étoiles regarder, pour essayer de te voir.
Je suis assis ici depuis trop longtemps, à regarder passer le temps. Je me demande qui prendra soin de moi, me prendrai dans ses bras. Qui va me relever quand je vais tomber, qui me dira ces mots, qui sont si beaux. Qui m’aidera à rêver, lorsque je serai éveillé, qui m’empêchera de crier, lorsque je serai effrayé. Je me sens comme une boule d’émotion, qui a juste le goût de crier sa raison. Je regarde vers le ciel pour y voir des étincelles, mais en observant bien, je n’y trouve rien. J’ai besoin de toucher le soleil avant mon réveil, capturer les étoiles, les mettrent dans une armoire, et lorsque je voudrais rêver, je n’aurais qu’à y entrer. J’ai besoin de tout mon temps, pour donner plus facilement, sans compliquer mes pensées qui n’arrêtent pas de jongler. Je ne peux pas nier, le sentiment qui m’habite, ça serait comme laisser tout tomber, et partir en fuite. Tout le monde est blessé un jour, tout le monde pleure dans un détour.