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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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dijon

Publié à 14:35 par fandeloup
dijon
Armoiries en vigueur sous le Premier Empire.

dijon

Publié à 14:32 par fandeloup
dijon
Armoiries de Dijon jusqu'en 1391

dijon

Publié à 14:31 par fandeloup
dijon
Armoiries de Dijon jusqu'en 1391 Armoiries en vigueur sous le Premier Empire. Armoiries en vigueur de 1899 à 1962
.

dijon

Publié à 14:29 par fandeloup
dijon
Hydrographie [modifier]
Dijon est traversée essentiellement par le canal de Bourgogne et deux cours d'eau naturels : l'Ouche et le Suzon, ce dernier étant aujourd'hui souterrain en zone urbaine. Le Raine qui passe par le jardin de l'Arquebuse se jette dans l'Ouche. L'agglomération dijonnaise reçoit environ 732 mm de pluie par an et ce, pendant 164 jours en moyenne.

L'Ouche venant du nord a un débit moyen de 10 à 20 m³/s pouvant dépasser les 100 m³/s en période de crue. Il provoque alors des inondations mais elles sont rares et localisées. Un lac artificiel, le lac Kir, a été aménagé en 1968 sur son cours à l'entrée de la ville. Deux autres plans d'eau, bien moins conséquents, existent dans l'agglomération : l'Étang royal, situé sur la commune de Longvic, et l'Étang de la Leue, à Neuilly-les-Dijon, tout deux à proximité immédiate du cours de l'Ouche.
Le Suzon, seconde rivière importante, s’écoule du nord-ouest au sud-est de l’agglomération. Son cours est totalement canalisé dans sa partie urbaine. Son débit à l’entrée de Dijon atteint au maximum 20 à 30 m³/s.
La seule voie navigable de Dijon est le canal de Bourgogne qui relie la Saône et l’Yonne et n'est plus guère utilisé que pour la plaisance.

L'hydrographie générale s'écoule en direction de la plaine alluviale de la Saône à l'est. Elle comprend 527 kilomètres de canalisations. Les nappes phréatiques, exploitées depuis l'Antiquité, sont au nombre de trois : la nappe alluviale de l’Ouche, la nappe alluviale de la Tille et la nappe de Dijon Sud. Ce sont les principales réserves d’alimentation en eau du Grand Dijon. Elles sont relayées par quatre réservoirs principaux d'une capacité totale de près de 95 000 m³.

Les inondations constituent le seul risque naturel majeur (avec les tremblements de terre, très rares). Huit des vingt-deux communes du Grand Dijon (notamment le centre ville de Plombières-lès-Dijon ainsi qu'Ahuy, Chenôve et Marsannay-la-Côte) sont concernées par les débordements du bassin de l'Ouche. Des Plans de prévisions des risques naturels ont été mis au point pour maîtriser ces aléas.[8] Une politique d’amélioration de la qualité des eaux est également déployée. Elle repose sur deux stations d’épuration, l'une, récente, située à Chevigny-Saint-Sauveur, l'autre, plus ancienne, à Longvic, et vise une mise en conformité aux normes écologiques en vigueur. Un programme, nommé « Eauvitale », a été lancé en 2005. Outre la suppression des canalisations en plomb, il vise la réduction des fuites et la modération des prix modiques aux consommateurs[9]. La consommation globale de l'agglomération s'élève annuellement à 24 millions de m3.

dijon

Publié à 14:26 par fandeloup
dijon
Dijon en Bourgogne [modifier]
Dijon est la préfecture de la région de Bourgogne et du département de Côte-d'Or. La commune se situe sur la Côte des Vins de Bourgogne aussi nommée Route des Grands Crus (qui s'étend de Dijon à Beaune pour sa partie côte-d'orienne). La capitale bourguignonne se situe au cœur d'une campagne composée de deux rivières convergentes : le Suzon qui la traverse du nord au sud et l'Ouche au sud de la ville ; à l'ouest s'étend la « côte » de vignobles qui donne son nom au département. Elle se situe à 310 kilomètres au sud-est de Paris, 190 au nord-ouest de Genève et 190 au nord de Lyon. Devenue depuis la fin du XIXe siècle l’un des plus grands centres ferroviaires du pays (ligne Paris-Lyon-Marseille, bifurcations vers Besançon, Belfort, Nancy, la Suisse, l'Italie (par le Mont-Cenis et le Simplon), elle est aujourd'hui desservie par un des principaux nœuds autoroutiers français aux croisements des autoroutes A6, A31, A39 et A36.

« Dijon prend naissance dans la plaine alluviale du Suzon, creusée dans les argiles tertiaires de la « Plaine » qui s'étend largement à l'est »[3], suivant le cours de la Saône. La plaine est en effet un fossé tectonique situé à une vingtaine de kilomètres de Dijon, remblayé par les marnes et les argiles oligocènes atteignant une hauteur géologique de 100 mètres à Dijon[4].

Talant et Plombières-lès-Dijon Fontaine-lès-Dijon Saint-Apollinaire

dijon

Publié à 14:24 par fandeloup
dijon
Détail
Administration
Pays France
Région Bourgogne (préfecture)
Département Côte-d'Or
(préfecture)
Arrondissement Dijon
(chef-lieu)
Canton chef-lieu de 8 cantons : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Code commune 21231
Code postal 21000
Maire
Mandat en cours François Rebsamen (PS)
2008-2014
Intercommunalité Grand Dijon
Site internet www.dijon.fr
Démographie
Population 151 543 hab. (2007)
Densité 3 750 hab./km²
Aire urbaine 335 691 hab.
Gentilé Dijonnais, Dijonnaises
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 18″ Nord
5° 02′ 29″ Est / 47.32167, 5.04139
Altitudes mini. 220 m — maxi. 410 m
Superficie 40,41 km²

dijon et sa population

Publié à 19:58 par fandeloup
dijon et sa population
Évolution de la population [modifier]
Le Grand Dijon cumule 250 516 habitants[34] dont environ 155 340 habitants pour Dijon seul, qui s’étend sur 42 km². La ville exerce son influence sur un vaste espace rural qui s'étend sur la Côte-d'Or et la Saône-et-Loire. Elle évolue et se développe au cœur d'une agglomération de 262 598 habitants et d'un bassin de vie et d'emploi de 370 000 personnes.

La population de Dijon de 1793 à 2006 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
20760 18888 22026 22397 25352 24817 26184 27543 32253 33493
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
37074 39193 42573 47939 55453 60855 65428 67736 71326 74113
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
76847 78578 83815 90869 96257 100664 112844 135694 145357 151705
1982 1990 1999 2007 - - - - - -
140942 146703 149867 151543 - - - - - -
1962 à 1999 : population sans double compte ; 2006 : population municipale légale.
Sources : INSEE[35] et Cassini[2]

Evolution de la population depuis 1793 :

La croissance démographique dijonnaise a été continue ; néanmoins, sur les dix dernières années, elle est de 0,24% alors que la moyenne nationale est de 0,41%. Le nombre d'actifs par sexe est de 58 000 hommes pour 55 100 femmes, soit un total, en 1999, de 113 100 actifs[36].

Sociologie et bassin d'emploi [modifier]
Le bassin d'emploi dijonnais est de 350 000 personnes[37]. Dijon est une ville principalement tertiaire, avec près de 3/4 des actifs occupés dans ce secteur en 1994, soit sensiblement plus que dans les agglomérations équivalentes. Dijon est aussi une ville administrative, où la fonction publique occupe à elle seule le quart des actifs en 1994. Les plus gros employeurs sont en effet les centres hospitaliers, la SNCF et la ville de Dijon, l'université aussi. Le tertiaire supérieur est quant à lui insuffisant pour rivaliser avec Paris ou Lyon.

L'agglomération souffre de sa position excentrée et d'une concurrence des grands centres urbains proches comme Lyon, le nord de l'Yonne et le sud de la Saône-et-Loire[26]. Néanmoins, le Grand Dijon est le premier centre industriel de Bourgogne, regroupant une trentaine de milliers d'emplois. L'agglomération a en effet beaucoup profité dans les années 1950 et 1960 de la décentralisation d'entreprises parisiennes et étrangères (Thomson, Philips, Hoover) qui ont pourtant aujourd'hui pratiquement toutes fermées. Comme toutes les grandes villes de province, Dijon est particulièrement concerné par les plans sociaux et les fermetures économiques.

En termes de données quantitatives, Dijon possède un taux d'activité de 73,4% en 2006[38] pour un taux de chômage de 11,98%[39]. Par ailleurs, Dijon est classé 19ème ville étudiante de France[40].

dijon et son architecture

Publié à 19:56 par fandeloup
dijon et son architecture
Architecture [modifier]
La diversité architecturale de Dijon est le fruit d'une longue histoire. La ville compte ainsi en son centre des rues bordées d'édifices médiévaux ayant évolué au sein des anciennes limites du castrum d'héritage romain. La ville a ensuite manqué d'espace et, après la destruction des remparts, de nouveaux quartiers sont apparus.

L’architecture religieuse est également très représentée. Le monument le plus représentatif du Moyen Âge à Dijon était l’abbatiale de Saint-Bénigne, reconstruite à partir de 1001 par Guillaume de Volpiano. De cet ensemble roman, il ne subsiste plus que l’étage inférieur de sa rotonde ainsi que les souterrains de la crypte. L'unique édifice roman, demeuré intact depuis, conservé dans son intégralité à Dijon est l’église Saint-Philibert. L’église Notre-Dame du XIIIe siècle est représentative du gothique bourguignon. Une œuvre plus tardive du gothique est celle réalisée par Claus Sluter au portail de l’église de la chartreuse de Champmol et au puits de Moïse. L’architecture civile du Moyen Âge est représentée par l'ancien palais des ducs, reconstruit par Philippe le Bon, dominé par la tour Philippe le Bon, et par les nombreuses maisons médiévales à colombages[15] et les hôtels particuliers de riches bourgeois.

L'architecture flamande et italienne inspire ensuite les artistes dijonnais. Hugues Sambin interprète à Dijon le style de la Renaissance italienne. L’église Saint-Michel est reconstruite à partir de 1499 et sa façade est typique du style Renaissance. Au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle, deux grands architectes de cour, Jules Hardouin-Mansart, puis Jacques V Gabriel, redessinent une partie du centre de la ville. Le premier crée la place Royale, devant l'ancien palais des ducs, qu'il remodèle. Gabriel poursuit cette œuvre. Les hôtels privés témoignent de l'architecture du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle, comme l’hôtel de Vogüé (1610), l’hôtel Chartraire de Montigny ou l’hôtel Bouhier de Lantenay (actuellement la préfecture).

Dijon a été profondément marqué par l'architecture du XIXe siècle. Le néoclassicisme est représenté par le théâtre, commencé sous l'Empire et achevé en 1828, d'après les plans de Jacques Cellerier. Le marché couvert à charpente métallique, datant de 1873, a été créé par Ballard. Des quartiers présentent une architecture « hausmannienne », comme la place Darcy et les rues adjacentes, ou ceux longés par les grands boulevards comme le boulevard de Brosses, la rue Devosge, le boulevard Carnot, la place Wilson. La synagogue date de 1879 ; le temple protestant de 1898. Enfin, Dijon possède des édifices notables récents, comme l’église du Sacré-Cœur, de style gréco-byzantin qui date de 1933, l’église Sainte-Bernadette, bâtie en béton, plastique et aluminium de 1959 à 1964, le palais des congrès et le palais des sports.

En 2005, le label « Patrimoine du XXe siècle » a été attribué à 10 édifices bourguignons dont 2 à Dijon : la villa Messner datant de 1912 - 1913 réalisée rue Parmentier par R. J. Jardel[16]., et l’église Sainte-Bernadette datant de 1960 - 1964 dont l'architecte est Joseph Belmont[17]. Enfin, Dijon possède des bâtiments modernes construits par des architectes de renom. Le Palais des Congrès et des Expositions en 1955, l'Auditorium en 1998 réalisé par l'Arquitectonica Miami et, actuellement, la tour Elithis par Arte-Charpentier. Des projets futurs, concernant surtout le quartier Clemenceau, sont également marqués par l'architecture moderne. Le siège du nouveau rectorat (Marbotte Plaza) est signé Rudy Ricciotti[18]. Ces réalisations sont avant tout écologiques et utilisent des matériaux durables.

dijon et ses quartiers

Publié à 19:54 par fandeloup
dijon et ses quartiers
Quartiers [modifier]

La place Wilson, dans le canton EstLa ville de Dijon est composée de quartiers résidentiels anciens, situés au centre ville et à proximité du centre, de quartiers plus commerçants et de quartiers périphériques constitués de lotissements de maisons individuelles et de grands ensembles collectifs (barres d'immmeubles en cours de rénovation). Les ZUP des Grésilles et de Fontaine-d’Ouche, ainsi que celles des communes avoisinantes Chenôve, Quetigny et Longvic sont actuellement redessinées. Le quartier Junot, ancienne base militaire, accueille aujourd'hui 600 nouveaux logements après une longue phase de remodelage.

Les Bourroches
Carnot
La Colombière
Bellevue
La Combe à la Serpent
Fontaine-d'Ouche
Fort de la Motte Giron
Les Gènois
Maladière
Mansart
Les Marcs-d'Or
Mirande
La Montagne Sainte-Anne
Montchapet
Montmuzard
Les Marmuzots
Les Péjoces
Le Port du Canal
Porte-Neuve
Les Poussots
Saint-Exupéry
La Toison-d'Or
Les Valendons
Les Varennes
Les Lentillières

dijon les films

Publié à 19:50 par fandeloup
dijon les films
Films tournés à Dijon [modifier]
Plusieurs films ont été tournés en partie à Dijon[126].

Le Repos du guerrier (1962) de Roger Vadim avec Brigitte Bardot et Robert Hossein est tourné en partie à la gare de Dijon.

Les bidasses s’en vont en guerre (1974) de Claude Zidi et avec les Charlots est tourné en partie au Lycée Saint-Joseph à Dijon.

Une séquence du film La carapate (1978) de Gérard Oury avec Pierre Richard et Victor Lanoux est tournée place de la Libération et fait référence aux événements de mai 1968.

Quelques séquences du film L’étudiante de Claude Pinoteau, produit en 1988, avec Sophie Marceau et Vincent Lindon, ont été réalisées à la gare de Dijon et place François-Rude.

Le film de Jean-Paul Rappeneau, Cyrano de Bergerac (1990) avec Gérard Depardieu et Vincent Perez, qui reçut un César du meilleur film et du meilleur réalisateur pour Jean-Paul Rappeneau, et celui du meilleur acteur pour Gérard Depardieu. Il représente le mieux Dijon au cinéma, quoique les scènes tournées dans la ville ne durent que cinq minutes. Il a été tourné rue de la Chouette, devant la maison Millière et dans la cour de l’hôtel de Vogüé.

Enfin, La cuisine américaine (1998) de Jean-Yves Pitoun avec Eddy Mitchell prend place au marché des Halles.