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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Australie: Une «ville» de poulpes découverte au fond de l'océan
Des biologistes marins ont découvert une « ville » de poulpes dans la baie de Jervis, en Australie…
Une «cité» des poulpes découverte dans le pacifique Une «cité» des poulpes découverte dans le pacifique
Vingt mille poulpes sous les mers. Alors que les poulpes « tetricus » sont réputés pour vivre en ermites, ne se croisant qu’au moment de la reproduction, des biologistes marins ont découvert que la solitude n’était pas le lot de tous ces invertébrés.
Dans la baie de Jervis, à l’est de l’Australie, David Scheel et son équipe ont pu observer une quinzaine de poulpes regroupés, communiquant et résidant ensemble, dans une zone restreinte que les scientifiques ont eu tôt fait de renommer « Octlantis » (octopus étant le mot anglais pour « poulpe »). «Similaires au comportement social complexe des vertébrés »
Publiée dans le journal Physiology des comportements marins et d’eau douce, cette étude est une « surprise » selon David Scheel, interrogé par Quartz. « Ces comportements sont le produit d’une sélection naturelle et peuvent être remarquablement similaires au comportement social complexe des vertébrés », explique-t-il, Cela suggère que quand les bonnes conditions sont réunies, l’évolution peut produire des résultats très similaires dans divers groupes d’organismes ».
Ainsi, des invertébrés réputés solitaires peuvent se réunir et fonder une « société » à la manière des animaux vertébrés qui vivent en meute. Une nouvelle théorie qui semble confirmée par la découverte dans le Pacifique d’une autre « cité » de poulpes, Octopolis, en 2009.
Selon Stephanie Chancellor, docteure en sciences biologiques à l’Université de Chicago, les poulpes ont également « construit » la ville d’Octlantis, de façon à pouvoir y résider et s’y abriter. « En plus des affleurements rocheux », déclare-t-elle, « les poulpes qui habitent la région ont construit des piles avec les coquilles des crustacés qu’ils ont mangés, notamment les palourdes et les pétoncles. Ces piles de coquilles ont été sculptées pour créer des abris, ce qui fait de ces poulpes de véritables ingénieurs environnementaux. »
Si Octopolis et Octlantis sont la preuve que les poulpes savent s’organiser en société , il n’est toutefois « pas certain que ces rassemblements soient la norme », tempère David Scheel, car d’autres spécimens continuent de nager en solitaires dans les océans. D’autre part, rien n’indique que ce comportement social soit le fruit d’une évolution récente. Selon le scientifique, ce sont bien plutôt les moyens humains d’observer les comportements qui ont progressé, permettant aux scientifiques de déceler des usages sociaux jusqu’alors inconnus chez les animaux étudiés.
Le futur ouragan Ophelia fonce vers les Açores puis le nord de l'Europe
Pour l'instant tempête tropicale, Ophelia va se muer en ouragan de catégorie 1.
Lorsque la tempête Ophelia atteindra les Açores, elle se sera muée en ouragan de catégorie 1.
Actuellement à un millier de kilomètres de l'archipel, la perturbation file vers l'Europe, charriant des rafales à 145 km/h allant en s'intensifiant, selon Météo-France.
Si la formation d'un ouragan en cette saison et à cet endroit n'a rien d'exceptionnel, c'est bien la trajectoire adoptée par Ophelia qui est remarquable. Quand le phénomène passera entre l'archipel des Açores et Madère, en fin de semaine. Les prévisionnistes envisagent deux scénarios pour la suite des événements, résume La chaîne météo.
Soit Ophelia suit les traces de Vince, son acolyte du 11 septembre 2005, soit il inscrit ses pas dans ceux de Flyod, comme en septembre 1993. Ce sont les restes de Nate, explique Gaétan Heymes, chef prévisionniste à Metéo-France, qui pousseront Ophelia vers l'Europe.
Une forte houle attendue en Bretagne
C'est la seconde hypothèse qui est privilégiée par les météorologues. En ce cas, Ophelia remontrait vers le Golfe de Gascogne et frôlerait la Bretagne puis les îles britanniques, passant par l'Irlande ou l'Ecosse. La première hypothèse le ferait transiter plus à l'ouest.
En passant au large de la Bretagne dimanche après-midi/soir aux alentours de l'île d'Ouessant, le reste d'ouragan rétrogradé en tempête produira une forte houle avec des creux jusqu'à huit mètres. Des vents à 200 km/h sont attendus. Si vous devez passer par la pointe bretonne à ce moment, il faudra faire attention.
En attendant, la France connaîtra ce week-end, sur une bonne partie du territoire un "sursaut estival" avec des températures allant jusqu'à 29° Celsius, à Biarritz.
Dans leur comportement envers les créatures, tous les hommes sont des nazis. Les êtres humains voient l'oppression de manière vivante quand ils sont les victimes. Sinon, ils victimisent aveuglément et sans réfléchir
Merveilleuse nuit pour tous , qu'elle soit justice et lumière.....
Les chasseurs se voient en protecteurs de la nature L’idée est difficile à imaginer dans un contexte de déclin massif de la faune. Pourtant, c’est en tant que défenseurs de la cause animale que les chasseurs justifient leur pratique.
Les chasseurs se voient de plus en plus en protecteurs de la nature, voire en garants de la biodiversité. En Afrique, certains tuent des espèces protégées, moyennant d’importantes sommes d’argent (Lire ici un extrait de notre dossier sur le sujet). Leur axe de défense : les fonds reviennent aux habitants et aux plans de gestion des réserves.
En France aussi, les chasseurs ont recours aux mêmes arguments pour justifier leur pratique. Selon eux, ils participent à la régulation du nombre d’animaux. Un raisonnement difficile à entendre dans un contexte global d’extinction massive : une centaine d’espèces animales disparaissent chaque jour, dont 26 % de mammifères et 13 % d’oiseaux.
David Pierrard est directeur de l’école de chasse du Domaine de Belval, dans les Ardennes. Une propriété de la fondation Sommer, qui gère aussi le musée de la chasse et de la nature, à Paris. Pour lui, le rôle du chasseur est primordial dans la gestion des espèces. En particulier, dans le cas du grand gibier, comme les chamois, les cerfs, les chevreuils ou les sangliers. « On a refusé, par principe, de tuer les bouquetins, regrette-t-il.
Résultat ?
Il y a deux ans, il a fallu organiser une grande battue, en Haute-Savoie, car leur prolifération avait entraîné l’apparition de la brucellose, une infection bactérienne qui peut contaminer aussi les bovins. » En Suisse, le canton de Genève a interdit la chasse depuis 1974. Une initiative qui porte aujourd’hui ses fruits : le nombre d’oiseaux a augmenté, les cerfs ont recolonisé les bois, le petit gibier, comme le lapin, abonde. « Mais, en l’absence de chasseur, précise David Pierrard, le canton doit payer des fonctionnaires pour enrayer la prolifération des sangliers, des lièvres et des cerfs, qui endommagent les cultures. » Les chasseurs participent également, selon lui, à une meilleure gestion des milieux naturels, notamment l’habitat des canards et des gibiers de plaine : « Qui a intérêt, sinon les chasseurs, à entretenir les mares et les étangs, où vivent les canards ? Et, concernant le gibier de plaine, le faisan ou la perdrix, les fédérations de chasse dialoguent avec les agriculteurs pour que les populations se relèvent. »
Des années d’agriculture intensive et d’utilisation de produits phytosanitaires ont endommagé leur milieu de vie, en particulier les haies, et détruit leur nourriture, essentiellement constituée d’insectes. La fondation Sommer vient d’ailleurs de lancer son premier appel à projet en faveur de la biodiversité, dont l’objectif est « de promouvoir la gestion durable de la nature, en particulier de la faune sauvage ». Le guide de chasse et pilote Ray Atkins se détend dans sa cabane, non loin du parc national et réserve de Denali, en Alaska. Dans la zone protégée, un guide peut gagner gros. Atkins facture 14 000 dollars une expédition de chasse de huit à dix jours.
Les chasseurs peuvent-ils réellement être les garants de la biodiversité ? Ce raisonnement peine à convaincre la société , globalement hostile aux chasseurs. Selon un sondage Ifop de 2016, 8 Français sur 10 souhaiteraient que le dimanche soit un jour non chassé. Sur son site internet, l’association Rassemblement pour une France sans chasse explique pourquoi elle veut abolir la pratique. D’abord, parce que la chasse n’est pas éthique, la mort d’un animal ne pouvant faire l’objet d’un amusement ; ensuite, qu’elle est une source de gène et d’insécurité pour les promeneurs ; enfin, qu’elle est préjudiciable à la faune sauvage : la pratique a notamment des répercussions sur la distribution géographique des espèces et engendre des modifications de comportement chez les animaux. Pis encore, selon l’association, le plomb des cartouches s’accumule dans l’organisme des canards, provoquant des cas de saturnisme. Pour défendre les chasseurs, David Pierrard affirme que « les gens ne savent plus ce qu’est la nature.
Quand on montre à la télévision, un renard endormi contre une poule, on devrait ajouter la mention : ceci est une fiction. En réalité, la mort est partout dans la nature : le renard tue le campanile, l’aigrette mange le poisson. Tout ceci est nécessaire au bon fonctionnement des choses. »
Avoir la force d'assumer ses mots , n'est pas donné à tous. Se cacher derriere un écran, est la solution facile quand il y a mésentente.... Faire face avec force et courage n'est malheureusement pas donné à tous!