Fandeloup

HUMOUR

Aujourd'hui, c'est la Journée Mondiale des Animaux d'Élevage & la Journée Mondiale de la Non-Violence !

Chaque jour, 160 millions d'animaux d'élevage sont transportés pour parvenir à leur horrible fin dans les abattoirs du monde entier.

Ces individus sensibles, attentionnés sont privés de nourriture, d'eau et de se reposer dans leurs voyages pendant plusieurs heures, même jours. Ils ont peur. Ils sont affamés.

Et leur souffrance est réduite au silence par une industrie qui ne veut pas que nous sachions la vérité.

Comme chaque année depuis 1983, autour du 2 octobre des milliers de personnes se mobilisent de par le monde à l’occasion du World Day for Farmed Animals / Journée Mondiale des Animaux exploités dans les élevages, afin de dénoncer l’exploitation des animaux dans les élevages et promouvoir une alimentation végétale.

Cet évènement a lieu le 2 octobre pour commémorer la naissance du Mahatma Gandhi, partisan de la non-violence :

"La grandeur d’une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés par la manière dont elle traite ses animaux ."

- Infos: http://dayforanimals.org/unite

- Farm Animal Rights Movement (FARM) : https://www.facebook.com/farmanimalrights/

- World Day for Farmed Animals 2017 : https://www.facebook.com/events/345059785929781/ #WorldDayforFarmedAnimals

#WorldFarmAnimalsDay

#DayForAnimals

#WDFA #FastAgainstSlaughter

#InternationalDayOfNonViolence /

#JournéeInternationaledelaNonViolence

HUMOUR

« J’ai payé 70 000 euros pour pouvoir tuer un éléphant »

La chasse aux trophées est-elle profitable aux grands mammifères d’Afrique ?

Vendredi, 29 septembre De Rédaction National Geographic En 2016, un chasseur vient de tuer un vieil éléphant mâle. Les adeptes de la chasse aux trophées affirment que tuer de vieux mâles ne nuit pas à l’espèce.

PHOTOGRAPHIE DE DAVID CHANCELLOR

Dans la réserve de Nyae Nyae, en Namibie, Felix Marnecke organise des chasses aux trophées. Son client, un homme d’affaires venu spécialement des États-Unis, va se consacrer pendant deux semaines à la traque d’un éléphant.

Pour pister l’animal, il emploie Dam, un membre de la communauté locale bochimane. Les représentants de son peuple gèrent la réserve depuis 1998. Le quota de chasse a été fixé à cinq éléphants par an et seuls les vieux mâles, âgés d’au moins de 45 ans, peuvent être tués.

Pour ne pas se faire repérer par les pachydermes, les trois hommes marchent contre le vent. Dam a relevé les empreintes d’énormes animaux, 1 km plus bas. Le trio approche alors de trois éléphants d’Afrique (Loxodonta africana). Le plus vieux d’entre eux se tient à l’écart : c’est lui qu’ils choisissent d’abattre.

Se tenant à une quinzaine de mètres du pachyderme, le client met un genou à terre, puis fait feu. La chair de l’animal sera distribuée aux habitants de la réserve et ses défenses seront acheminées vers les États-Unis, où elles rejoindront la salle de trophées du client.

Alors que le nombre de grands mammifères dans les zones protégées d’Afrique a diminué de 60 % entre 1970 et 2005, comment justifier une telle pratique ?

Les chasseurs estiment qu’en payant 70 000 euros la chasse d’un éléphant, ils participent, à leur façon, à la gestion des réserves et à la préservation de l’espèce. Une partie des fonds est effectivement redistribuée à la communauté locale.

Les Bochimans de plus de 18 ans gagnent ainsi, en moyenne, 60 dollars par an, une somme suffisante pour vivre en Namibie. Dans la réserve, cette activité profite aussi aux éléphants, protégés du braconnage, dont les effectifs augmentent. Mais ce n’est pas le cas partout. Dans certains pays africains, les gestionnaires des réserves sont corrompus et laissent leurs clients employer des méthodes beaucoup moins scrupuleuses.

En Tanzanie, notamment, dans la réserve de Selous, des chasseurs étrangers ont été vus en train de tirer des femelles éléphants enceintes à la kalachnikov. Là bas, la population de pachydermes a été divisée par 3,3 en l’espace de huit ans. Notre journaliste s’est rendu en Afrique pour enquêter sur la pratique très controversée de la chasse aux trophées.

Le reportage « Ils tuent légalement des espèces menacées » a été publié dans le numéro d’octobre 2017 du magazine National Geograhic.

HUMOUR

Du 14 octobre au 12 novembre 2017 aura lieu le festival du cirque au champs de Mars à Lille, et comme chaque année, les animaux ne seront pas à la fête !

PÉTITION à signer & à diffuser contre les cirques avec animaux à la fête lilloise du cirque !

=> https://www.mesopinions.com/…/stop-fete-lilloise-expl…/34504 Merci.

 Nous ne pouvons plus fermer les yeux sur cette exploitation animale et les souffrances que vivent les animaux, encagés, exploités à répéter des numéros stupides et humiliants.

Pour cela, nous demandons, à Madame le maire , Madame Aubry, de ne plus accueillir de cirques avec animaux..

Pour qu'en 2018, la fête du cirque batte son plein avec des numéros d'artistes, de cascades, de magie , sans exploitation animale comme le font de plus en plus de cirques contemporains.. Nous comptons sur votre mobilisation pour signer cette pétition pour qu'enfin la fête lilloise du cirque soit éthique. Merci

HUMOUR

Beaucoup de personnes ne sont encore pas assez sensibilisées au massacre des lévriers greyhounds. Nombre d'entre elles, confondent d'ailleurs avec le martyre des galgos, et commentent des vidéos de massacre de greys ( comme encore récemment ceux exploités pour leur sang) " pauvres galgos, c'est horrible ".

Oui en effet, ces deux destinées sont atroces. Ce qui différencie ces deux combats qui je le répète ne sont qu'une seule et même cause, c'est la mobilisation et la tendance à l'information uniquement vers les galgos.

Voilà pourquoi cette image vous montre ce qui se passe pour les greyhounds d'industrie des courses, lévriers issus de la même famille , qui sont la race la plus torturée et euthanasiée au monde.

Moins à la mode en France, on ne sait pourquoi car ce sont aussi de sublimes lévriers, très ressemblants d'ailleurs, avec aussi d'excellentes capacités d'adaptation voir des conditions d'adoptions parfois plus souples que les galgos.

Le grey vit en cage, est battu, maltraité , drogué, mais cela paraît moins larmoyant qu'un galgo appartenant à un galguero. Le grey contrairement au galgo n'a pas besoin d'un congénère et peut vivre bien souvent seul tant il est proche de l'humain.

Notre association partenaire " Aide aux lévriers martyrs" vient en aide aux greyhounds irlandais, et réalise aussi des voyages régulièrement en Espagne pour venir en aide aux galgos.

Les greyhounds sont originaires d'irlande et ensuite exportés massivement vers d'autres pays pour y subir une vie terrible. Ils méritent tout autant d'adoptions, de partages, d'empathie que nos galgos tant aimés et enfin, que les personnes sachent enfin faire la différence. Quand on croit encore que ce sont toujours les seuls lévriers espagnols qui souffrent, on participe aussi à les condamner en France.Merci pour eux.

@elodiebudiel 

http://galgos.eklablog.com

À propos " Adoptions Lévriers Espagne et greys " est un réseau de diffusions consacré aux lévriers martyrs d'Espagne et greyhounds de courses

galgos.eklablog.com/

MESSAGE

Oh oui, que cette merveille coule des jours paisibles....... Loin de la folie de certains humains....... Il doit être dans un parc....... Bien protégé.....

La ramure du Cerf est composée de deux bois plus ou moins symétriques. Ces bois sont fixés sur la couronne ou meule, qui les relient au pivot ou pédicule, une protubérance osseuse permanente placée sur le front. C’est ce pivot qui permet la croissance du bois.

Ce qui correspond au « tronc » du bois est appelé le merrain. A partir de ce merrain se développe les andouillers ou cors qui revêtent divers noms selon leur positionnement.

L’andouiller à la base du merrain est appelé maître andouiller ou andouiller de massacre, le deuxième un peu plus haut l’andouiller médian, le troisième la chevillure, puis tout en haut les andouillers prennent des noms différents selon qu’ils sont un ou plusieurs : un seul ils sont une pointe, deux une enfourchure, et trois ou au-delà une empaumure.

Dans ce dernier cas, l’andouiller prend le nom d’épois. Les andouillers poussent en général tous vers l’avant et le haut et sont au nombre d’une douzaine sur une ramure arrivée à maturation. Chaque individu a des bois différents, déterminé par son patrimoine génétique et par son environnement (nourriture, stress…). Leurs qualités lui servira a se démarquer des autres mâles lors des ruts, où ont lieu intimidations et parfois combats Les bois sont des organes caduques, qui tombent chaque année.