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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Indemnités de licenciement

Publié à 18:02 par fandeloup Tags : image france travail annonce
Indemnités de licenciement

Indemnités de licenciement : le casse-tête de Hollande

Le gouvernement précise aujourd'hui le plafond et le plancher obligatoires du montant des indemnités versées aux prud'hommes en cas de licenciement abusif. En France, un licenciement sur quatre donne lieu à une contestation devant les prud’hommes. Le patronat en rêvait depuis longtemps.

A défaut de réformer le contrat de travail, le gouvernement va exaucer l'un des vœux les plus chers des chefs d'entreprise : plafonner les indemnités de licenciement versées aux employés en cas de condamnation de leur employeur par les prud'hommes.

Déjà présente dans l'une des versions du projet de loi Macron, puis retirée, cette mesure revient cette fois par la grande porte. C'est la principale annonce attendue à l'issue du Conseil des ministres restreint que François Hollande réunit ce matin, consacré à la relance de l'emploi dans les petites entreprises, qui emploient un salarié sur deux.

Selon nos informations, l'idée serait de fixer un plafond et un plancher obligatoires au montant des indemnités dites supralégales* que doit verser l'employeur lorsqu'il est condamné aux prud'hommes pour « licenciement sans cause réelle et sérieuse ».

Parmi les hypothèses sur la table, hier à l'Elysée, le montant du plafond serait fonction de la taille de l'entreprise : ce plafond serait compris entre quatre et six mois de salaire pour les salariés des TPE (moins de 10 employés) et pourrait aller jusqu'à dix-huit mois de salaire pour les plus grandes.

Côté plancher, aucune indemnité ne pourrait être inférieure à deux, trois ou quatre mois de salaire. Mesure inconstitutionnelle, selon les syndicats « Aujourd'hui, le montant des indemnités peut varier du simple au double ou au triple en fonction de l'endroit où vous êtes jugé », critique un proche de Hollande.

D'un conseil de prud'hommes à l'autre, d'une section, et même au sein d'un bureau de jugement, les sommes peuvent évoluer fortement. « C'est un vrai sujet », poursuit ce conseiller. Plusieurs pays ont déjà réussi à faire cette réforme aux allures de petite révolution, comme les Pays-Bas, l'Allemagne, l'Espagne, ou encore l'Italie.

Mais voilà, ce mécanisme ne va pas sans poser quelques problèmes d'égalité entre les salariés. Les derniers arbitrages devaient être rendus hier soir, le temps pour l'Elysée d'examiner à la loupe toutes les difficultés juridiques possibles.

« Il s'agit de caler cette mesure, pour qu'elle ne soit pas retoquée par le Conseil constitutionnel ou d'autres instances. »

Les syndicats, eux, très remontés, brandissent déjà en bouclier la convention de l'Organisation internationale du travail (OIT), qui pose le principe de la réparation intégrale du préjudice subi. Autrement dit, selon eux, ce plafonnement serait inconstitutionnel.

Et de pointer par ailleurs de potentiels effets pervers : certains salariés pourraient être incités à multiplier les portes d'entrée (licenciement vexatoire, préjudice d'image, discrimination, etc.), en plus du préjudice pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, dans le but d'obtenir plus que le plafond.

De là à ce que le gouvernement cale, comme d'autres avant lui ? A suivre.  Les indemnités supralégales sont calculées au titre du préjudice (ancienneté, possible retour à l'emploi et âge).

Décidées aux prud'hommes, elles s'ajoutent aux indemnités légales fixées par le Code du travail et la convention collective du salarié.

ours

Publié à 17:11 par fandeloup Tags : artiste art animaux nature cadre société travail
ours

Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.

Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.

L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques. Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.

Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.

paysage

Publié à 16:44 par fandeloup
paysage

Un coin de paradis

panda

Publié à 16:35 par fandeloup Tags : artiste art animaux nature cadre travail société
panda

 Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes.

A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux. Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.

L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.

Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.

Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.

paysage

Publié à 16:14 par fandeloup Tags : travail
paysage

Les bruits de la ville, les embouteillages, le travail , il n'en est rien.

rhino

Publié à 16:02 par fandeloup Tags : société travail cadre nature animaux art artiste
rhino

Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.

Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale.

Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.

L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.

Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.

Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.

greffe

Publié à 15:30 par fandeloup Tags : fille vie monde enfants france femme nuit
greffe

Anne, miraculée après sa sixième greffe de rein

Victime d'une maladie rare, une patiente de 46 ans a bénéficié d'une sixième greffe rénale, réalisée par des médecins de l'AP-HP : une première en France.

Une patiente a bénéficié d'une 6e transplantation de rein, une «prouesse chirurgicale» et une première en France, selon le groupe hospitalier 

« J'ai repris du poids et je pète la forme ! »

De l'avis de ceux qui la côtoient, ses médecins y compris, Anne est un petit bout de femme d'une vitalité étonnante. A 46 ans, cette habitante du Pas-de-Calais, debout à 5 h 30 chaque matin pour ouvrir la poissonnerie familiale est une miraculée.

« J'ai beaucoup souffert dans ma vie mais aussi eu beaucoup de chance », sourit-elle.

La prouesse médico-chirurgicale dont elle a aussi bénéficié, qui l'autorise désormais à planifier quinze jours de vacances dans le Sud en juillet avec son mari et sa grande fille de 14 ans, remonte à quatre mois, mais ne sera rendue publique qu'aujourd'hui. Le 31 janvier, dans la nuit, Anne entrait en salle d'opération à l'hôpital Necker.

Elle remettait son sort aux mains de l'équipe du professeur Arnaud Méjean, chef du service de chirurgie urologique à l'hôpital Pompidou (HEGP-APHP), pour une opération jamais encore tentée en France et trois fois seulement dans le monde : la sixième transplantation rénale réalisée sur un même patient.

Une greffe dont le chirurgien n'était pas sûr qu'elle pourrait être menée à bien.

« La patiente, de petit gabarit, ayant déjà été opérée cinq fois, faire de la place au greffon et accéder à des vaisseaux fragilisés par les cicatrices antérieures était dangereux et délicat », confie Arnaud Méjean.

Victime d'une maladie rare Cinq heures d'intervention ont été nécessaires, au lieu de deux. Anne en connaissait les risques, mais n'envisageait pas de « lâcher l'affaire ».

Elle avait 5 ans lorsqu'on lui a diagnostiqué un syndrome hémolytique et urémique atypique (SHU atypique), qui avait déjà emporté ses deux sœurs, à 2 et 8 ans. « Une maladie rare, qui touche environ 100 enfants par an », explique le professeur Christophe Legendre, chef du service de transplantation rénale de Necker, où on suit Anne depuis l'enfance.

Le mal détruit les reins.

« Il a cette particularité de récidiver très vite, y compris sur un rein greffé », résume le médecin. Sauf si l'on traite le patient, comme Anne, avec un anticorps monoclonal (l'éculizumab), traitement innovant, à l'étude duquel les deux hôpitaux ont contribué. Mis sur le marché il y a deux ans, il ouvre beaucoup d'espoir :

« Neuf de nos patients sont toujours sans récidive », souligne le docteur Legendre. Anne ne rêve, elle, que d'une chose : voir grandir sa fille.

ours

Publié à 14:49 par fandeloup Tags : art animaux nature cadre travail société artiste
ours

Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.

Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.

L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques. Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.

Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.

vacance

Publié à 14:27 par fandeloup Tags : travail nature
vacance

Les bruits de la ville, les embouteillages, le travail, il n'en est rien. Vous êtes aux Pays-Bas, dans la province d'Overjissel, plus précisément a Giethoorn un village pittoresque, qu'on appelle aussi "la Venise du Nord".

Ici, tous les déplacements se font en canaux ou à vélo. Pas de place pour la pollution citadine, ni pour les immeubles : c'est la nature qui dicte sa loi. Un très bel endroit pour se reposer passer des vacances en famille ou même passer une lune de miel.

Lets go !

cerf

Publié à 13:54 par fandeloup Tags : société travail cadre nature animaux art artiste
cerf

Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.

Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.

 L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.

Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.

Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.