Fandeloup

 Bébé de 16 mois violé : "Il aurait pu mourir"

L'avocat général vient de requérir une peine de 18 à 20 ans de réclusion à l'encontre du père de famille cavaillonnais jugé pour avoir violé sa fille de 16 mois. La cour d'assises de Vaucluse rendra son verdict aujourd'hui.

La déposition du médecin légiste, au milieu du procès de ce trentenaire cavaillonnais accusé de viol sur son bébé de 16 mois, a fait froid dans le dos.

"L'enfant a subi la douleur absolue. (...) Elle aurait pu mourir, bien sûr. Avec de telles lésions, les conséquences sont souvent mortelles. (...) Je me demande si elle n'a pas perdu connaissance pendant l'acte. (...) C'est une hypothèse, mais il est possible qu'elle ait été violée plusieurs fois."

Hospitalisé en urgence pour une déchirure anale, le bébé avait été opéré à la Timone à Marseille, et a pu être sauvé. Les faits remontent à avril 2013.

Ce vendredi, l'avocat général Bernard Marchal chargé de porter l'accusation au procès, a requis une peine de 18 à 20 ans de réclusion, 20 ans étant le maximul légal, à l'encontre du père.

"En se fondant sur les déclarations de l'accusé, nous avons finalement, à différents moments, trois actes différents reconnus, qui viennent conforter les constatations du légiste."

La partie civile a posé la question d'une éventuelle requalification d'"acte de torture et barbarie". La cour a rejeté cette demande. La parole est à la défense.

Le verdict sera rendu dans l'après-midi.

N'ayez jamais peur de la vie, n'ayez jamais peur de l'aventure, faites confiance au hasard, à la chance, à la destinée. Partez, allez conquérir d'autres espaces, d'autres espérances. Le reste vous sera donné de surcroît.

"Nous n’avons pas besoin de beaucoup de temps. Une fraction de seconde suffit pour revenir à la vie, parce qu’être vivant c’est être là, dans le moment présent, dans l’ ici et le maintenant ; et cela est possible avec une seule respiration consciente... Respire, tu es vivan

Vous n'êtes responsable que pour ce que vous pouvez changer. Votre attitude est la seule chose que vous pouvez changer. Et c'est là toute votre responsabilité

Il est parfois de purs instants de transparence où semble s'effacer toute frontière entre le dehors et le dedans, où l'âme et le jardin se regardent, se découvrent accordés et s'accueillent dans la paisible évidence d'une amitié plus ancienne et fidèle que la mémoire des jour

Un chat coincé pendant 5 ans dans un mur retrouve enfin sa liberté

Ce chat aura dû attendre cinq longues années avant de retrouver enfin sa liberté.

Pendant tout ce temps, l'animal a vécu coincé dans un mur d'une station de métro du Caire, et c'est grâce à la nourriture que lui a chaque jour donné un commerçant qu'il a survécu.

Mieux vaut tard que jamais ?

Baptisé Biso, le chat se serait glissé dans le trou d'un mur de la station Mohamed Naguib en 2010, alors qu'il était poursuivi par un autre chat, et n'aurait depuis jamais réussi à en sortir, raconte l'homme qui a donné un nom au chat et lui a donné à boire et à manger chaque jour.

Et d'ajouter que des employés du métro avaient déjà tenté de le libérer, en vain, voilà quelques années. Mais grâce à la pression d'un groupe de défenseurs de la cause animale sur les réseaux sociaux, et surtout la publication d'une photo de la queue sortant de son piège partagée des centaines de fois, son calvaire a enfin pris fin le dimanche 5 avril.

Des policiers et employés de la compagnie de métro, certains rappelés en renfort alors qu'ils étaient en congés, se sont mobilisés pour secourir le malheureux animal.

"C'était comme une tombe" "Quand ils ont enlevé le mur, une odeur infâme a émergé de l'ouverture, qui faisait 15 centimètres sur 4 mètres. C'était comme une tombe. Il y avait des vers noirs sur quatre mètres le long du mur par où Oncle Abdo nourrissait Biso", raconte au Cairo Post Mounira Shehata, l'une des activistes qui a contribué au sauvetage du chat.

Il aura fallu 5 heures pour sortir le chat de son piège. Mais dès qu'il a pu s'échapper, l'animal effrayé s'est enfui en courant et n'est depuis pas réapparu. Ses sauveteurs le cherchent dans les couloirs du métro.

L’Ange qui a présidé à ma naissance a dit : « Petite créature, formée de joie et de rires, va et aime en ce monde, sans l’aide de quoi que ce soit

Mobilisation pour ramener Zico auprès de son maître

Sur son lit d’hôpital, Eric espère le retour de son chien, qui a fui après leur accident samedi.

Sa famille, aidée par des anonymes, fait tout pour le retrouver.

Zico a disparu samedi dernier après que la voiture que conduisait son maître est partie en embardée sur l'autoroute à la hauteur de Lutry (

Terrorisé, le petit chien est sans doute terré dans un coin. Eric est grièvement blessé à la suite de l'accident. Dès qu'il reprend ses esprits sur son lit d'hôpital, il parle de son Jack Russell dont il espère le retour.

Zico et son maître ont une relation très fusionnelle, selon la famille d'Eric.

Eric rentrait en Valais, samedi dernier, lorsque sa voiture est partie en embardée sur l’autoroute, à la hauteur de Lutry. Prisonnier d’une carcasse réduite en bouillie, il a dû être désincarcéré. Mais personne n’a réussi à rattraper Zico, son fidèle Jack Russell, qui a pris la fuite. Une battue pour aider la famille Valentine fait partie des dizaines de personnes qui s'investissent pour retrouver Zico.

C'est elle qui a lancé le rendez-vous de vendredi soir, via la page «Battue pour Zico» sur Facebook. Il y a une semaine, elle ne connaissait ni Eric ni sa famille mais il lui a semblé évident de les aider.

Administratrice du groupe Facebook «Animaux perdus ou trouvés Suisse», elle souligne que la mobilisation est particulièrement forte autour de Zico: «Je pense que l'histoire de ce chien et de son maître hospitalisé touche beaucoup.»

La police a même fermé partiellement l'autoroute Samedi, une patrouille de police et des conducteurs de chiens ont tenté sans succès de rattraper Zico, qui avait filé du côté de Vennes. Dimanche soir, après avoir reçu plusieurs appels de conducteurs qui avaient vu le Jack Russell sur l'A9, la gendarmerie a de nouveau envoyé des maîtres-chiens ainsi que trois patrouilles sur les lieux de l'accident.

«Ils ont fermé un moment la chaussée côté lac et fait ralentir le trafic sur la chaussée côté montagne, mais le chien est reparti», indique Pierre-Olivier Gaudard, porte-parole de la police vaudoise.

Depuis, Eric n’a de cesse de penser à son chien. A chaque fois qu’il reprend ses esprits à l’hôpital, où il est soigné pour de très graves blessures, il en parle.

«Le plus beau cadeau qu’on pourrait lui faire serait de le lui ramener», témoigne Laurie, sa belle-fille. Et pour cela, la famille peut compter sur un extraordinaire mouvement d’entraide.

Sur Facebook, la disparition de Zico signalée sur le groupe «Pet Alert Vaud» a rapidement fait des émules. Depuis cinq jours, Laurie est submergée de messages, de téléphones et de propositions d’entraide. «On ne s’attendait pas à une telle solidarité!

Il y a des gens qui se déplacent et qui font des recherches jusqu’à 2?h du matin avec des trappes, des caméras thermiques et des croquettes!» Jeudi, une vingtaine de personnes ont parcouru les forêts et fouillé les derniers lieux où le chien aurait été aperçu.

Laurie met toutefois en garde: «Il n’est pas question d’aller sur l’autoroute, personne ne doit risquer sa vie pour cela!» Les recherches se poursuivront vendredi soir avec une battue.

La difficulté, c’est que Zico est très peureux de nature et «avec ce qui lui est arrivé, il doit avoir envie de se cacher...»

Droit d'asile : le rapport explosif de la Cour des comptes

Le Figaro publie lundi les meilleurs extraits d'un brûlot de 113 pages où les hauts magistrats dénoncent l'incurie dans la gestion des demandeurs du statut de réfugié et pointent les incroyables lacunes de la réforme Valls-Cazeneuve, qui arrive mercredi en commission des lois au Sénat.

«Le projet de loi sur la réforme de l'asile (…), ne répond pas à la question centrale de la gestion des déboutés qui provoquent une embolie (…)»;

«Tant que la question de l'organisation systématique et rapide de leur retour ne sera pas réglée, le système ne pourra fonctionner correctement» ;

«La politique d'asile est devenue la principale source d'arrivée d'immigrants clandestins en France.»… Il ne s'agit pas d'un tract politique mais du cri d'alarme lancé au gouvernement par la Cour des comptes dans un document explosif que Le Figaro révèle lundi. Un coût de plus de deux milliards d'euros En 113 pages d'«observations provisoires» sur «l'accueil et l'hébergement des demandeurs d'asile», qui attendent désormais les réponses de Beauvau et Matignon, les hauts magistrats de la rue Cambon dépeignent une détérioration de la situation bien plus grave qu'on ne l'imaginait.

Ils chiffrent le coût de l'asile à plus de 2 milliards d'euros par an pour la collectivité nationale. Deux fois plus que les estimations concédées jusqu'alors par les autorités. Car au coût de ceux qui arrivent s'ajoute celui de ceux qui ne repartent pas (selon les Sages, seulement 1 % des déboutés quitteraient le territoire français).

Une «forme de renoncement» Sur les éloignements justement, la Cour assure qu'«il a été noté une “forme de renoncement” dans certaines préfectures à cause de l'absence de directive claire du gouvernement en ce sens et de la sensibilité politique et médiatique du sujet, et tout particulièrement des familles déboutées du droit d'asile.

L'affaire dite “Leonarda Dibrani” en octobre 2013 n'a fait que renforcer ce phénomène». Un réquisitoire impitoyable, alors que s'ouvre au Sénat, mercredi, les débats en Commission des lois, sur cette réforme Valls-Cazeneuve sévèrement critiquée pour son manque de sincérité, de réalisme et d'ambition.

NANON, la mort au terme de 2 ans d’errance…

Nanon, petit âne martyr, a attendu 2 longues années que quelqu’un lui tende la main.

L’histoire de NANON est atroce:

ce petit âne a erré 2 ans, abandonné, allant de jardins en prés, dans une région où les gens se contentaient de transmettre un seul message

« Surtout ne le nourrissez pas, on ne sait pas à qui il appartient, donc si vous lui donnez à manger, il va rester !!! »

NANON n’est donc jamais resté nulle part, il a continué à marcher, de prés en jardins et de jardins en prés, jusqu’au bout de ses forces…

Après 2 années de souffrances, de peur, de froid, de faim et de soif, une âme généreuse lui a enfin tendu la main. Elle l’a conduite à l’ADADA. À son arrivée, le pauvre NANON ne tenait même plus debout…

Malgré tous nos efforts et les soins intensifs qui lui ont été donnés, le pauvre petit âne n’a pas survécu. Il a probablement succombé à une infection généralisée: son corps si maigre n’était plus qu’une plaie, il était devenu aveugle, le pus sortait de ses yeux et de ses pieds …

NANON n’avait pas encore 3 ans. Nous avons tous une pensée pour lui, qui n’aura passé que quelques jours au Refuge, et pour tous les petits ânes que les hommes font naître dans un monde au sein duquel il n’y a pas de place pour eux. Ânons martyrs de la filière viande, ânons abandonnés dans un pré, ânons oubliés dès qu’ils auront grandi.

Ne devrions pas grandir à notre tour, et prendre conscience que faire naître un animal, c’est en être responsable ?