Fandeloup

Regarde dans le ciel, et tu m'apercevras, illusion visuelle, je ne brillerai que pour toi, je serai ton étoile, à côté de la lune, mes secrets se dévoilent, sur la lumière brune, si un soir tu es triste, souviens-toi de ces mots, ça semble irréaliste, je rechaufferai ta peau, la lumière de mon astre, t'enverra mon amour, il n'y aura rien de néfaste

Les années passent et se cachent derrière les jours rêves s'attachent.Au fil du temps rien ne s'efface et vient l'heure où le fil casse. En ces minutes infinies ou se défile toute une vie. Le présent qui devient fujitif fuit ce temps aux souvenirs évasifs... Je sens que le fil s'effile tel une bobine qui défile. Je vois ma vie qui file, se faufile, dans une file d'âmes sans fil

Les mots se taisent sur le papier et je gravis cet escalier, qui m'éloigne à tout jamais de toi. Lasse d'écouter mon coeur, on trébuche, on se relève tant de fois,mais dans le silence de la nuit la solitude reste notre unique amie .Je n'ai pas compris ce sentiment, qui meurtrit mon coeur, ni su, me relever de cette douleur .Et je partirai avec cette ignorance .Aimer c'est resté vivant, etre aimé c'est etre utile, quelque part on y croit. Sur les routes où mes yeux se posent et ou je cherche le chemin de l'oubli,je n'aurai jamais cru qu'un jour je me serai perdue

Elle ne savait pas que l'Enfer, c'est l'absence ..

La solitude est venue poser son grand manteau sur mon âme et mon cœur où logeait ma tendresse. Elle se glisse sur moi comme une seconde peau et se ferme à jamais comme une forteresse. La froideur s’est logée au creux de mes entrailles déposant un film de glace sur mon corps dans mon sang.Et la solitude m’épouse et se greffe sur mon cœur

Il y a des mots silencieux, mais qui font du bruit .quand on vient à les écrire, ils nous crient. Qu’ils soient de rage, tristes, ils s’entremêlent en harmonie. Même en venant évoquer la mort, ils sont emplis de vie .Il y a des mots silencieux, mais qui ont une telle puissance. Qu’ils viennent broder les poèmes, tant ils sont intenses. Pour venir d’entre les lignes, devenir notre confidence en dévoilant les pensées et tout ce que l'on pense.Que ce soit un baiser de l’enfer, ou bien de détresse. Lançant un cri au gré du vent, un violent SOS ou simplement venant se parer de tendresse.Les mots s'envolent à contre vent et flottent dans l'ivresse. Il y a des mots silencieux, mais qui sont des armes. Venant à blesser au plus profond de nos âmes .Où bien alors de rire où même de larme venant nous caresser, nous envoûter de leur charme. Il y a des mots silencieux, mais tellement bruyant .Faisant passer un message des plus important. C’est pour cela que les mots ornés de sentiments,ne nous laissent jamais en nos êtres, indifférents 

Parce-ce que, plus rien n'a d'importance, ni ma vie, ni mes sentiments. Dans cette danse des regrets, qui pas à pas m'entraine, dans ce silence, cette solitude du ♥, cette solitude des maux, que l'on cache, jour aprés jour, nuit aprés nuit, et qui nous enferme, dans une prison.Ce corps qui vous lache, sous le poids des années, et à qui, pour ne plus etre aimer. Vous l'avez meurtrit.Et ce ♥ qui bat toujours, pour nous rappeler, que nous avons aimer, plus que de raison, et qu'aujourd'hui notre passion, c'est notre prison. Au bout du chemin, que restera t- il de nos chagrins? Derrière ce miroir, que restera t-il de ce désespoir? Vivre c'est aimé, Aimer c'est respiré, Et j'ai tout oublier

Je voudrais être un oiseau. Te rejoindre vers tes cieux. M'envoler avec toi plus hau.t Caresser les nuages moelleux

Un cri dans la brume, comme l'écho d'une absence dans ce décor étrange, le souvenir de tes mots. Un cri dans le brouillard, comme le vol d'un ange, le cœur tel une éponge, les larmes pansant les maux. Tu n'entends plus ma voix, le ciel s'est fait coton. Tu n'entends plus le son de mon cœur qui larmoie .Je ne vois plus, de Toi, qu'une ombre à l'horizon, le vide dans l'édredon et mon corps tremblant de froid. Un cri dans la brume, comme le bruit d'un silence .Les étoiles du ciel crient toujours ton nom .Arrêter cette misique , arrêter ces cris. Arrêter ces souvenirs qui reviennent en cadence. Que s'arrête un instant cette lente agonie a laquelle me condamne ton mur de silence ..

Hein ? Quoi ? PLUS FORT, J'ENTENDS PAS ! ....