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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Je ne pleure pas, il pleut

Publié à 10:25 par fandeloup Tags : amour pensées
Je ne pleure pas, il pleut

il pleut sur mon visage .Toute la tristesse des choses derrière mes paupières closes. Un fleuve sans rivage. Que s'écoulent prudemment Ces tristes pensées et ces rêves brisés, qu'on abandonne honteusement. Il pleut sur mon visage la douleur ressentie, le chagrin et l’ennui, en un triste ravage. Que s'échappent amèrement les sanglots étouffés et cris de rage ravalés qu'on maîtrise durement. Il pleut sur mon visage les fautes qu'on aimerait oublier et les implacables regrets qui coulent dans leurs sillage. Il pleut sur mon visage... Des choses que je ne peux saisir, Peur ? Amour? Soulagement ? Désir ? Ou est-ce les vérités que j'envisage ?



ligera

Publié à 09:41 par fandeloup Tags : chien background chiens vie chez france bonjour jardin cheval
ligera

Jour après jour, je vais vous parler des GALGOS, de leur caractère, leur comportement

ATTENTION !

le comportement  pour nos LEVRIERS GALGOS martyrisés d’Espagne peut demander un certain temps en mois, en année, ou parfois jamais, se sera selon le traumatisme qu’il aura subit. Le lévrier est un chien qui chasse à vue et attrape lui-même le gibier en le poursuivant.

Cette première mise au point peu paraître anodine, mais il ne faut jamais l'oublier que le Lévrier_Galgo est un chasseur. En Espagne il est utilisé pour la chasse, il a été sélectionné pour cela, ou la reproduction intensive. La chasse avec un lévrier est interdite en France, alors pourquoi choisir le Galgo ??

Bien qu’il est besoin d’espace pour ce défouler, c'est un chien de compagnie idéal ! Vivant, joueur, sportif à l'extérieur, il est extrêmement calme, doux et délicat à l'intérieur. Il s'adapte à votre activité avec rapidité. Tout est calme, il est couché tranquillement et dort énormément. Du mouvement au foyer, il surveillera vos faits et gestes prés à suivre. Promenade, jogging, randonnée, shopping ou simple partie de jeu dans le jardin, il est toujours partant.

Malgré sa taille entre 60 et 70 cm au garrot c'est un chien peu encombrant, il sait être discret dans la maison, il ne gêne pas les déplacements des humains même dans une petite pièce, sauf s'il veut vous "dire" quelque chose comme « La gamelle d'eau est vide » ou « C’est l’heure du repas » par exemple ! Au retour de ses maîtres ou à l'arrivée d'un familier il s'exprime, c’est la fête. L'accueil est souvent mouvementé : fouet battant à tout rompre, il marche en soulevant les pattes, façon cheval espagnol, se cabre mais sans vous sauter après et sans lécher. Après un petit bonjour de l’être humain, le calme habituel revient et retourne se coucher.

Les lévriers Galgos sont-ils Bêtes ... !

NON seulement entêté Le Lévrier Galgo n’est pas un des chiens les faciles à manœuvrer comme peuvent l'être certains chiens comme le Labrador, Le Berger Allemand Etc….. Pour ces derniers facile d'apprendre un ordre quelconque en peu de temps, quelques répétitions d'un mot avec un geste associé, et le chien aura compris, l'ordre est assimilé. Avec un Galgo, niette ! il fait ce qu’il veut, quand il veut, en vieillissant c’est pire. Et ce n’est pas qu’avec le Galgo, j’ai remarqué ce comportement chez le Lévrier en général.

Toutefois, on peut arriver à un bon résultat, mais au prix d'une grande patience et d’efforts. Il faudra de nombreuses répétitions, ne pas le forcer, ce serait inutile. Eduquer un Lévrier_Galgo, il faut s’armer de patience, être rigoureux et ne jamais céder sur un point important, sans pour autant le brusquer ! Difficile certes, mais quand on aime son chien on y arrive, car c’est pour son bien être.

ATTENTION

Pour nos Lévriers GALGOS rescapés d’Espagne l’éduquer est encore plus difficile, dans le sens qu’ils n’ont jamais connu la vie de famille, la vie en foyer, jamais été choyés et que se sont des adultes plus ou moins vieux. Ils découvrent…….. des ordres avec Tendresse………….plus de brutalité. Avoir été maltraité est un handicape pour eux, il faut qu’il re-double d’effort pour FAIRE CONFIANCE à l’être humain, plus particulièrement l’Humain_HOMME.

Alors sont-ils bêtes ? NON loin de là !

il a l’instinct de survie, il est capable d'anticiper sur la trajectoire de son gibier tout en allant à une vitesse effarante. Alors comment pourrait-il être Bête ! Ils sont capables de beaucoup de réflexion pour ce qui les arrangent !!! Ce sont des débrouillards avec une finesse d'esprit surprenante ! si je prends l’exemple de notre GALGA, pendant la première sortie du matin, elle sait que la gamelle se prépare, et bien elle fait vite ces besoins, revient et pousse la porte pour rentrer.

La journée, elle prend son temps, et attend que l’on vienne lui ouvrir. Pas bête l’animal. J’ai remarqué chez nos Lévriers Galgos adoptés maltraités, dés qu’il y a un changement brutal dans la maison, une personne de plus ou plusieurs, un grand mouvement quelque chose de pas comme d’habitude, c’est la panique pour eux qui se manifestent par des pipis par-ci, par-là, ils chouinent, ils perdent facilement leur repère. Et là il faut tous recommencer depuis le début.

Une fois leur fonctionnement de compris, ce sont des AMOURS.



hummm

Publié à 08:27 par fandeloup
hummm

Ça donne envie

 Restaurant La Grotte Place des moulins

83720 Trans en Provence

04.94.70.87.59

www.restaurantlagrotte.fr

3 menus : 29€, 39€ ou 49€



tendresse

Publié à 08:15 par fandeloup Tags : tendresse
tendresse

La tendresse a des secondes qui battent plus lentement que les autres.



bonne nuit

Publié à 19:14 par fandeloup

pouvoir

Publié à 19:02 par fandeloup Tags : vie monde
pouvoir

Si l'on pouvait l'espace d'un jour, s'évader. S'enfuir loin des soucis de ce monde, s'accaparer de bons moments de liberté, se ressourcer et s'en retourner pour une vie plus douce et plus gaie



songe

Publié à 18:37 par fandeloup Tags : nuit
songe

Il fera longtemps clair ce soir, les jours allongent, la rumeur du jour vif se disperse et s'enfuit, et les arbres, surpris de ne pas voir la nuit, demeurent éveillés dans le soir blanc, et songent



soif

Publié à 18:17 par fandeloup Tags : monde background
soif

J’ai soif de beau, d’idéal, de bien et de liberté. J’ai souffert constamment du mal que l’on rencontre en ce monde



temps

Publié à 17:59 par fandeloup Tags : musique pouvoir
temps

Je vais prendre le temps de rêver pour pouvoir souffler du bonheur. Je vais prendre le temps de rire car c’est la musique de l'âme. Je vais prendre le temps de pleurer c'est aussi le signe d'un grand cœur



galgo

galgo

                             LETTTRE D'UN GALGO

Je suis un galgo et je vis en Espagne. J’ai un maître qui s’occupe de moi... Ça fait des jours et des lunes que mon maître m’a traîné dans un box. Il fait noir, je peux à peine me tourner et me lever. J’ai faim et soif, alors je dors. Je dors sur mes excréments ; ça pue à m’en étouffer ! Mais voici la lumière qui m'aveugle, l’air frais rentre doucement dans mes poumons, mon maître me prend par la peau du cou. Ma mère me portait ainsi lorsque j’étais un chiot ; j’ai grandi, aujourd'hui, et ça me fait mal. Je vois ma mère attachée à sa corde. Elle en a fait tant de bébés, qu'elle en a les tétines qui pendent. Mon maître me pose au sol devant la voiture. Comme à son habitude, il me salue à coups de bottes et me jette dans la voiture. Ca fait mal ! Je tremble. Il me regarde et rit ! On prend une route que je connais. Les virages me font perdre ma place. Je me retrouve sur le sol de la voiture et mes douleurs sont amplifiées par les chocs de la route. Ca me fait mal sur tout le corps.

Il sort de la voiture ; j’entends d’autres hommes et des chiens. J’entends, aussi, les oiseaux. Ça sent bon la campagne et l’odeur de la viande rôtie sous des flammes. J’ai faim ! Très faim ! Mon maître me sort, enfin, de la voiture, toujours par la peau du cou. Je vois des chiens, je les connais, mais me souviens que quand nous sommes ensemble, ça se finit toujours mal. Je n’ai pas le temps de penser, mon maître prend une corde qu’il attache au fil de fer qui me sert de collier.

Il serre fort. Très fort ! Je peux voir d’où vient cette odeur de viande qui me donne des crampes d’estomac. C’est étrange, cette viande a la morphologie d’un chien comme moi... Mais pas le temps de réfléchir, je me retrouve aligné comme les autres et nos maîtres qui nous serrent le cou. Ils sont comme moi, ces chiens, ils ont peur et faim ! Il y en a même qui tombent au sol... Leur maître tire et tire sur la corde.

Non, ils ne bougent plus, il ne reste que du vide dans leurs yeux ! Voilà un animal au loin. Mon maître me lâche, enfin, et tous les autres aussi. Il faut manger et ce qui court la bas. C'est à manger. Il y a de l’électricité dans l’air, les hommes crient des choses que je ne peux pas comprendre. Les chiens se battent pour avoir cette proie. Moi, je cours de toutes mes forces. J'en oublie mes côtes cassées par les coups du matin. Ma copine, une galga plus jeune d’un an, me rattrape et chope l’animal à pleines dents. Il ne bouge plus. Elle le pose aux pieds de son maître, qui la frappe avec ses bottes ferrées en guise de merci

Je n’ai même pas le temps de lui dire bravo ; mon maître est furieux. Il me frappe avec un gros bâton qu’il ne quitte jamais. Je prends des coups et ma copine aussi ! Elle est devant sa voiture, me regarde mais ne bouge plus. Son maître la prend comme un sac et la jette sur ce grand feu. Elle ne bouge pas, ne pleure pas. Elle est libre, enfin !

Moi, je suis jeté dans la voiture. Il me regarde et crie de plus en plus, me frappe de plus en plus. J'ai des plaies qui recouvrent mon corps. Je ne dis plus rien et serre les dents. Non je n’ai pas mal. La douleur couvre la douleur. Je suis en boule sur le sol de la voiture. On rentre à la maison. Il me sort, me jette au sol et me traîne par terre en hurlant. Je ne comprend pas pourquoi : on l’a prise cette bête, il devrait être content. Il m’attache au soleil. La corde est trop courte pour atteindre la gamelle d’eau croupie. J’ai peur, j’ai mal, j’ai faim !

Ma mère, que l’on a détachée pour que je prenne sa place, vient me voir et doucement lèche mes plaies. Ca fait du bien. Elle ne peut rien faire pour le fil de fer qui me serre le coup. Le soleil craque mes plaies, la douleur m’empêche de respirer et la chaleur m’écrase. Je voudrais que tout s’arrête, comme mon amie. Mon maître prend ma mère et part avec en voiture.

La nuit est tombée, je suis toujours là, au sol. Il y a un peu de rosée, je la lèche pour humidifier ma langue ; mon maître est revenu ; Il est toujours fâché.

Mais... où est ma mère ? Le matin arrive enfin. J'ai eu froid cette nuit. Peur aussi et mal, très mal ! Et ma mère qui n’était pas là... Je ne pense même plus à la faim qui bouffe mon ventre. Je le vois. Il est devant la porte de la maison ou je n’ai jamais mis les pattes et me regarde d'un air qui me glace le sang ! Je ne bouge pas, il va peut-être m’oublier ! Non ! Il vient, me frappe (bonjour, mon maître), ne prend pas la peine de me prendre par la peau du cou mais me traîne par mon fil de fer (ça change !) !

Les cailloux, ça fait mal sur mes plaies et mes os cassés. Je suis dans le coffre de la voiture. Il fait noir. Un moment est passé, j’ai senti la route, le moteur ne tourne plus. J'entends les oiseaux. Il ouvre le coffre et me jette au sol. C'est de l’herbe, c’est doux et humide. Oh ! merci mon maître ! Il fume un de ses cigares, moi je reste au sol. Ca fait du bien l’air, l’herbe... Puis, il me traîne au sol devant un arbre, tire une corde au dessus d’une branche et tire. Mon corps se soulève, je suis étranglé par le fil de fer. Mes pattes arrière se tiennent encore un peu au sol. Ne flanche pas, tu vas t’en sortir. Il s’éloigne et part en voiture. Je suis seul et l’air ne passe presque plus dans ma gorge. Je vois ma mère dans la même position.

Elle me regarde, mais il n’y a plus de vie dans ses yeux. Je ne comprend rien ! J'ai envie que tout s’arrête ; ne plus avoir mal, ne plus avoir faim, ne plus avoir peur. Mes pattes flanchent de plus en plus et l’air passe de moins en moins. Là, doucement, mes douleurs partent. C'est étrange, je ne sens plus rien. Je suis bien, je ne respire plus. Je me réveille ! Il y a des gens autour de moi. Ils crient aussi.

"Non, laissez moi, j’ai peur !". Ils ont du plastique sur les mains. Une femme me tient, elle a coupé la corde. Je suis sur elle, au sol. Les autres, je les voient, ils coupent la corde de ma mère sans vie. Un homme laisse couler sur son visage des larmes. On me parle doucement, on me touche.

Mais pourquoi font- ils cela ? De toute façon je sais qu’ils vont me faire mal comme les autres, les hommes font mal. On me prend dans les bras doucement, on me pose sur une couverture. Je sens l’odeur de ma mère dans une autre couverture. Je n’aime pas ça. J’ai toujours faim, soif, mal et peur. La voiture se gare et une femme arrive devant moi. Je tremble, je ne grogne pas. Elle me caresse la tête.

"Non, ne me frappe pas !". Je me recourbe le plus possible, ferme les yeux, je sais que les mains de l'homme font très mal. Pas celles-la ! Elles sont douces. C'est une nouvelle sensation. Elle me fait entrer dans la maison. Je suis dans les bras d’un homme et je bouge un peu car je sais très bien que je n’ai pas le droit de rentrer. Il y a du monde ici ; d’autres chiens comme moi. Ils jouent. Il y en a un que je connais.

Comment sont-ils arrivés ici ? J’ai peur ! On me pose sur une table froide "Aïe, ça fait mal !". Ils mettent des trucs sur mes plaies, ils s’agitent tous autour de moi mais me parlent doucement. Parfois, je sens une caresse, une main. On me couvre, on me lave, on me met des choses sur mes plaies et mes os cassés. Ca fait du bien, je ne sens presque plus la douleur. On me pose au sol. Je suis épuisé et me couche, les pattes écartées. Bon, il faut dire que je ne tiens plus du tout sur mes pattes.

Les gens me regardent avec douceur. Une gamelle d’eau arrive devant moi, je me jette dessus avant qu’elle ne reparte. Je bois jusqu'à plus soif et puis c’est une gamelle de nourriture qui arrive ! Je mange. C'est bon ! Je regarde les gens du coin des yeux. Ils me sourient. Puis, on me met dans une pièce où il y a d’autres galgos mal en point. Ils sont calmes. Des femmes passent et font des câlins. Je crois que j’ai compris. Je suis mort et tout est parfait.

Un de mes confrères me dit que ce n’est pas le paradis, que je ne suis pas mort et que les humains ne sont pas tous méchants. Que l’on va bien s’occuper de moi ici et que je vais trouver une famille qui veut de moi et de mes blessures. Une famille où l’on peut manger à sa faim et boire.

Où l’on joue avec nous. Il me parle des caresses des enfants qui jouent avec nous. Il me dit que je ne suis pas au paradis mais dans un refuge. Moi, je lui dit que le paradis c’est ici. Je peux dormir, enfin !



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