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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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justice

Publié à 17:32 par fandeloup Tags : france hiver vie moi mort enfant bleu
justice

Gabin, 22 mois, mort dans l’indifférence, ses parents aux assises

Les parents de Gabin, décédé en 2013 sont jugés à partir de mardi à Guéret (Creuse) pour avoir privé leur enfant d’aliments et de soins. Un médecin qui n’avait pas signalé le péril du garçon sera jugé en 2020.

Les parents du bébé mort vont comparaître devant la cour d’assises de la Creuse à Guéret.

Malgré un massage cardiaque de près de 40 minutes, les urgentistes du Smur de la Creuse ne parviennent pas à le ramener à la vie, ce 7 juin 2013. Quelques heures après sa mort, un médecin a la difficile tâche d'examiner le bambin et de déterminer les causes de la mort. Il relève la « maigreur extrême de l'enfant en apparence très dénutri et dont on peut voir et compter les côtes ».

A 22 mois, Gabin ne pèse que 5,8 kg. Le légiste note aussi « des traces de saleté extrême aux mains, des stigmates de saleté manifeste au pubis et aux racines des membres inférieurs ». Selon lui, Gabin a souffert, durant ses dernières heures, d'une « déshydratation extrême ».

Le père incapable de donner les dates de naissance et de mort de son fils

En quelques lignes d'un froid rapport d'autopsie, le médecin résume une courte vie de souffrance. A partir de ce mardi et jusqu'à vendredi, ses parents, Edouard R. et Céline V., 40 et 34 ans, sont jugés devant la cour d'assises de la Creuse pour « privation de soins ou d'aliments suivie de mort ». Le médecin de la famille, un temps renvoyé devant les assises, sera finalement jugé en 2020 devant le tribunal correctionnel pour « non-assistance à personne en péril ».

« Ce procès est celui de l'indifférence et de la négligence, estime Me Yves Crespin, avocat de l 'association l'Enfant bleu, seule partie civile dans ce dossier. On est face à des parents qui ont simplement abandonné leur enfant. »

Le père reconnaîtra même, durant l'instruction, être incapable de donner les dates de naissance et de mort de son fils. Pendant 22 mois, Gabin aura ainsi vécu comme oublié par sa famille, entre une mère dépassée et un père alcoolisé. Tous deux étant enfermés dans d'importants problèmes financiers.

Au domicile de la famille, les enquêteurs découvrent lors de perquisitions « des vêtements qui jonchaient le sol, des détritus qui encombraient la cuisine, le réfrigérateur contenait des denrées périmées, écrit la juge d'instruction dans son ordonnance de mise en accusation. La literie présentait un très grand état de saleté, empestait l'urine. »

Le symbole, pour la juge en charge du dossier, d'une « incompétence manifeste » des parents. Un seul demi-biberon pour ses trois derniers jours de vie 

Un enfant privé des soins élémentaires donc, mais surtout « manifestement privé d'aliments, de manière chronique, puis de manière particulièrement prononcée au cours de ses dernières semaines de vie ».

De l'aveu même d'Edouard R., Gabin n'a « pris qu'un demi-biberon » durant ses trois derniers jours. Céline V. ne se souvient pas non plus avoir nourri Gabin le jour de sa mort. Tout juste le trouvait-elle « fatigué »…

Depuis plusieurs mois pourtant, l'enfant avait perdu beaucoup de poids. Au cours de l'hiver 2012, une infection pulmonaire lui a fait perdre cinq kilos. Preuve d'un état de santé dégradé, l'enfant avait même arrêté de marcher depuis décembre 2012.

«Ce procès doit être un signal d'alarme pour tous les médecins» Des éléments qui ne semblent jamais avoir réellement alerté le docteur V., le médecin traitant de Gabin. A sept reprises entre le 25 janvier 2012 et le 25 avril 2013, il a ausculté Gabin, sans jamais percevoir « le moindre danger » ni « de signe objectif de mauvais traitement ».

Une contre-expertise menée après la mort de Gabin se montre pourtant beaucoup plus sévère. En oubliant de noter la taille et le poids de l'enfant, le docteur V. aurait fait preuve d'une « abstention fautive ».

« Le fait que l'enfant ne marche pas à l'âge de 20 moi aurait dû l'alerter et orienter Gabin vers une équipe pédiatrique », estime aussi la contre-expertise. Initialement renvoyé devant la cour d'assises, le praticien de 61 ans sera finalement jugé en 2020 devant le tribunal correctionnel. Il sera toutefois entendu par la cour d'assises cette semaine.

« Ce procès doit être un signal d'alarme pour tous les médecins, estime Me Yves Crespin. Seulement 5 % des signalements viennent des médecins, alors qu'ils sont les mieux placés pour voir qu'un enfant est en danger. Cet enfant aurait pu être sauvé. »

Contactée, l'avocate des parents de Gabin n'était pas joignable.

horreur

Publié à 16:04 par fandeloup Tags : fond sur vie monde
horreur

 LA "VIANDE" C'EST DE LA VIOLENCE !

C'est son dernier jour de vie... Au fond, il n'en a jamais connu un ! Maintenant, traîné, violé, rendu impuissant face à tout abus causé ... La terreur suit son cœur, en fait une tempête et l'engloutit comme si ce n'était rien dans l'infâme. La cruauté laissera des traces sur un corps encore dépourvu de maturité ... Et dans l'obscurité silencieuse, il quittera un monde sans humanité ...

mysté­rieux

Publié à 15:21 par fandeloup Tags : sur bonne monde photos
mysté­rieux

Des milliers de mysté­rieux œufs de glace retrou­vés sur une plage en Finlande

Ce phéno­mène raris­sime résulte de condi­tions météo­ro­lo­giques excep­tion­nelles, comme le révèle le Guar­dian. Lors d’une banale prome­nade domi­ni­cale sur l’île de Hailuoto, et parti­cu­liè­re­ment sur la plage de Marja­niemi, Risto Mattila et sa compagne ont décou­vert une éten­due blanche compo­sée de milliers « d’œufs de glace ». « Le plus gros des œufs avait approxi­ma­ti­ve­ment la taille d’un ballon de foot. La scène était incroyable. Je n’ai jamais vu ce phéno­mène aupa­ra­vant », a-t-il déclaré.

Ce phéno­mène est raris­sime, confirme Jouni Vainio, spécia­liste des glaces à l’Ins­ti­tut météo­ro­lo­gique finlan­dais. Pour lui, si de bonnes condi­tions météo­ro­lo­giques étaient réunies, le phéno­mène ne pouvait se produire qu’une fois par an au maxi­mum. « Vous avez besoin de la bonne tempé­ra­ture de l’air (au-dessous de zéro, mais seule­ment un peu), de la bonne tempé­ra­ture de l’eau (près du point de congé­la­tion), d’une plage sablon­neuse, peu profonde, en pente douce et de vagues calmes, peut-être d’une légère houle », a-t-il commenté. Jouni Vainio pour­suit sa descrip­tion des condi­tions néces­saires. « Vous avez égale­ment besoin de quelque chose qui fait office de noyau. Le noyau commence à collec­ter la glace autour de lui et la houle le déplace le long de la plage, d’avant en arrière. Une petite surface gèle et devient de plus en plus grosse. » Selon James Carter, profes­seur de géogra­phie-géolo­gie à l’ univer­sité d’Il­li­nois, le moment capturé par Risto Mattila est unique. 

horreur

Publié à 14:39 par fandeloup Tags : coeur mort
horreur

VIVISECTION SILENCIEUSE ....

Son silence perce le ♥ ! Personne ne peut entendre son cri de douleur .... Privé de cordes vocales, il est là pour subir l'indicible ... Destin atroce d'un être considéré comme inférieur et que cette humanité absente a condamnée à la mort perpétuelle. Parmi les mains pitoyables, il cherche une explication à son calvaire. Dans cet endroit sans regards, où voir est pire que de se livrer à ce crime sans acquittement, il y a l'ombre de l'innocent qui penche la tête impuissante. 

STOP VIVISECTION !

souffrance

souffrance

 "La souffrance d'un animal est plus importante que le goût d'un aliment"

Le moine bouddhiste soutient le manifeste de 26 ONG pour imposer la cause animale dans le débat politique. Ce combat sert aussi la cause des hommes, explique-t-il.

 Nous sommes tout, ils ne sont rien. La valeur de la vie humaine est, à juste titre, infinie. La valeur de la vie animale est-elle pour autant nulle ?

Chaque heure dans le monde nous tuons 120 millions d'animaux terrestres et marins. Cela fait beaucoup : en une seule semaine, davantage d'animaux tués que toutes les victimes humaines de toutes les guerres ! Nous avons fait d'immenses progrès de civilisation. Nous n'acceptons plus ce qui a pourtant longtemps semblé normal : l'esclavage ou la torture. Nous avons adopté la Déclaration universelle des droits de l'homme.

Nous continuons d'améliorer le statut des femmes et des enfants. Nous réduisons la pauvreté dans le monde. Mais quand nous en venons aux animaux, le massacre en masse reste la règle. Les 8 millions d'espèces qui peuplent encore notre planète sont nos concitoyens. Ils aspirent à vivre, à éviter la souffrance.

Nous aimons les chiens, mais mangeons les porcs et nous nous vêtissons des vaches. Il y a là une incohérence fondamentale. La valeur des vies innocentes est non négociable. Il n'y a aucun excès de sentimentalisme à être choqué par les horreurs révélées par les vidéos tournées dans les abattoirs. Certains affirment que la production de viande est un mal nécessaire. Aujourd'hui, n'étant plus nécessaire, c'est un mal tout court

De fait, tout le monde y perd : la production industrielle de viande est la deuxième cause d'émission de gaz à effet de serre (15 %), après les habitations et avant les transports. Elle entretient la pauvreté dans le monde : 750 millions de tonnes de céréales, qui pourraient nourrir localement un milliard de personnes, sont expédiées d'Amérique latine et d'Afrique vers les pays du Nord, pour nourrir nos animaux destinés à devenir de la viande.

Cerise sur le gâteau, plusieurs centaines d'études épidémiologiques montrent que la consommation régulière de viande est nocive pour la santé (source OMS 2015). Il m'est arrivé de demander à une assemblée :

« Êtes-vous en faveur de la justice et de la morale ? » Tout le monde a levé la main. J'ai demandé ensuite : « Est-il juste et moral d'infliger des souffrances non nécessaires à des êtres sensibles ? » Personne n'a levé la main. En vérité, aucun argument moral ne permet de justifier nos comportements à l'égard des animaux . Ôter la vie par plaisir Récemment, un dimanche matin un groupe de chasseurs fusil à l'épaule s'était rassemblé sur la place de l'église d'un petit village du sud de la France. Un enfant, fils d'amis, s'arrêta devant eux et leur demanda ingénument : « Vous allez tuer ? » Il n'eut droit qu'à un silence gêné, des sourires de connivence et des regards en coin. Tuer par plaisir, c'est préférer la mort à la vie.

Est-ce là ce que l'humanité peut offrir de mieux ? Vingt millions de Français se promènent dans les bois. Il ne reste plus que 1,2 million de chasseurs. Pourtant, ce sont ces derniers qui font la loi. Sont-ils, comme ils l'affirment, les meilleurs protecteurs de l'équilibre biologique ? En 1974, l'interdiction de la chasse dans le canton de Genève fut approuvée par référendum par 72 % de la population. Malgré les cris d'alarme des chasseurs, tout s'est bien passé : la faune du canton a retrouvé sa richesse et sa diversité – fort appréciées par les promeneurs – et son équilibre naturel. Les sangliers et cervidés n'ont pas envahi les forêts et les champs cultivés.

Mieux aimer l'ensemble des êtres En incluant tous les êtres sensibles dans le cercle de la bienveillance, nous n'aimons pas moins les humains, nous les aimons mieux, car notre bienveillance est plus vaste. L'association humanitaire que j'ai cofondée, Karuna-Shechen, aide chaque année 300 000 personnes en Inde, au Népal et au Tibet dans le domaine de la santé, de l'éducation et des services sociaux.

Le fait de m'occuper aussi des souffrances infligées aux animaux ne diminue en rien ma détermination à soulager les souffrances humaines. Bien au contraire. Et ne pas se soucier des animaux n'améliorerait en rien le sort terrible des victimes d'Alep en Syrie ou du Darfour. Les bonnes nouvelles La bonne nouvelle est que le végétarisme et le véganisme sont en plein essor parmi les jeunes. J'ai récemment déjeuné à la cantine de la grande université de Princeton : les 50 premiers mètres du self-service étaient surmontés de panneaux « Végan ».

Près de 20 % des étudiants américains sont végans. Cette transition vers une alimentation non-violente est possible et économiquement viable. Considérez votre envie d'un steak saignant : elle aboutit à la production industrielle de viande. À l'inverse, une pensée de compassion pour les animaux conduit à un monde meilleur et à une économie qui emploi tout autant de personnes, occupées à produire des aliments sans souffrance animale et préférables pour la santé humaine. Nous sommes à court d'excuses.

La souffrance d'un animal est plus importante que le goût d'un aliment. La façon dont nous traitons ceux qui sont, comme nous, des êtres sensibles porte dans le monde un message d'obscurité et de mort ou un message de lumière et de vie.

tristesse

Publié à 09:32 par fandeloup Tags : coeur merci hiver sur bonne vie fond mort bonjour animal
tristesse

Bonjour à tous,

Cette petite misère de 330 grammes a tenté une hibernation et une envolée vers la mort. Elle a vu l'hiver arriver et a trouvé un bout de laine de verre -trempé d'eau- pour tenter de surmonter l'hiver. Ce soir, elle est frigorifiée, affaiblie, peu réactive et son pronostic vital est engagé. Malheureusement depuis une semaine l'hiver s'amorce et l'on voit errer des hérissons zombies de 100/200/300/400 grammes tenter des sorties dans une dernière chance pour éveiller un ♥ bienveillant à même de distinguer la détresse de l'animal qui se meurt.

Les mamans hérissons semblent en effet, partout ou presque, avoir commencé leur hibernation et des petits désespérés, affamés, affaiblis, déshydratés, déjà presque morts arrivent de partout.

Beaucoup meurent ainsi dans l'indifférence depuis une semaine. (Certaines mamans allaitent jusqu'aux 450 grammes, d'autres arrêtent à 100 grammes). D'autres se jettent sur la moindre croquette, la moindre alimentation, la moindre parcelle d'un élément qui tienne chaud (compost, plastiques, laine de verre, fond de cave, trou dans le sol pourvu qu'il soit entouré de béton qui réchauffe et peu importe si au final c'est un piège) pour tenter d'enrayer ce processus mortel. Pour les 100/200 grammes, la Messe est quasiment dite ou presque sans les efforts surhumains des gens et des petits. Pour les autres, leur vie tient à votre bienveillance. Cette petite dans sa laine de verre remplie d'eau a tenté, vaincue, de s'endormir. Ses perspectives de vie sont gravement engagées et il n'est même pas dit qu'elle verra l'aube.

Ses gentils découvreurs l'ont appelé Léon(e) et c'est bien vu car il lui faut maintenant la force d'un Lion pour récupérer de la vie. Pensez bien à laisser des croquettes au poulet (pour chaton par exemple à cette période de l'année), du miel, des fruits secs, et de l'eau fraiche avec de l'huile pour tenter d'empêcher le gel à venir.

Veillez à ne pas laisser dehors de petits plus petits que votre main. Non il est n'est pas normal de voir des petits et ce n'est pas parce que vous les nourrissez qu'ils vont survivre. A l'instar de la petite misère, ils s'engourdissent de froid et s'endorment pour ne plus se réveiller. Sans bruit et sans trace. Vermifugez les plus de 500 grammes dehors avec l'aide de votre vétérinaire pour leur permettre de prendre les 200 grammes qui leur manquent.

Rentrez tout ce qui est en dessous en nous contactant en mp svp en indiquant votre département. La survie de cette espèce tient à vos yeux et à votre bienveillance. Merci à vous tous qui jouez le jeu pour enrayer l'inéluctable.

Bonne journée.

horreur

Publié à 16:48 par fandeloup
horreur

Il ne peut y avoir plus de douleur et de désespoir !

horreur

Publié à 16:27 par fandeloup Tags : fille femme homme
horreur

Les faits se sont déroulés samedi à Pierre-Bénite, une banlieue de Lyon, dans le Rhône.

Une femme est descendue à la cave et a surpris son mari en train de violer sa petite fille, âgée de 6 ans. Ecœurée par la scène, l’épouse s’est immédiatement rendue au commissariat pour le dénoncer. Lorsque les policiers ont débarqué au domicile familial, le grand-père par alliance de la fillette avait pris la fuite. Il s’est finalement présenté au poste de police pour se constituer prisonnier. Placé en garde à vue, cet homme de 38 ans a avoué les faits mais a expliqué que l’enfant était consentante, voir l’avait provoqué

Car cette fellation dans la cave n’était pas la première. Le suspect sera présenté au parquet ce mardi.

tristesse

Publié à 15:56 par fandeloup
tristesse

Le rêve de chaque personne dotée d'un cœur devant les camions qui se dirigent vers les abattoirs. À l'intérieur, des centaines de vies qui souffrent, qui veulent vivre, qui ne méritent pas tant de souffrance, de douleur et d'indifférence. S'il existait une justice, le commerce de "viande" et de produits dérivés devrait être illégal. Nous ne demanderons jamais assez de pardon !

humour

Publié à 15:23 par fandeloup