Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

tristesse

Publié à 16:14 par fandeloup Tags : monde photo mort argent chiens
tristesse

COMMENT RESTER INSENSIBLE A TOUT CELA.. ????

 

Il suffit de regarder cette photo. C'est à Ploiesti, à l'abri du public

20 maladies que vous pouvez guérir

Publié à 15:54 par fandeloup Tags : revenu sport soi femmes heureux femme belle amour chez merci vie bonne
20 maladies que vous pouvez guérir

20 maladies que vous pouvez guérir en faisant l'amour !

La 8 est à mettre en pratique dès que possible...

 C’est une étude très sérieuse de l’université de Wilkes qui démontre que faire l’amour deux à trois fois par semaine (au moins !) vous aiderez à aller mieux.

En effet, le sexe libère un anticorps nommé immunoglobuline qui aide renforce les défenses de l’organisme contre les infections et les maladies.

 

1. Le sexe protège du cancer de la prostate. Des recherchent montrent qu’éjaculer souvent (au minimum 5 fois par semaine) diminue le risque d’avoir un jour un cancer de la prostate.

 

2. Le sexe maintien en forme. Eh oui, ce n’est pas pour rien qu’on appelle aussi ça le « sport de chambre » ! Avoir une activité sexuelle régulière est très bon pour votre système cardiaque. En plus, vous faites aussi travailler tous les muscles du corps. Le calcul est simple, en une demi-heure d’ébats, vous brûlez 200 calories. Faites ça 3 fois par semaine, et vous brûlez 600 calories. C’est l’équivalent d’un régime, en beaucoup beaucoup beaucoup plus agréable !

 

3. Le sexe débarrasse des maux de tête. Au moment de l’orgasme, une hormone appelée ocytocine est sécrétée, elle fait augmenter le niveau d’endorphines. Ces derniers agissent comme un antidouleur qui permet au corps de se relâcher et se détendre. Il n’est donc pas rare de ne plus avoir mal à la tête après avoir fait l’amour.

 

4. Le sexe combat la dépression. En général, les femmes qui ont des orgasmes réguliers chaque semaine sont plus détendues, moins stressées et mieux dans leurs baskets. Faire l’amour aide à relâcher la tension nerveuse de l’organisme. De la sérotonine est produite dans le cerveau, elle contrôle les humeurs un peu comme un antidépresseurs.

 

5. Le sexe garde jeune. Pour paraître 10 ans de moins, le secret, c’est le sexe ! Le docteur écossais David Weeks a mené une étude sur les habitudes de vie d’environ 3500 personnes. Chacune d’entre elles avait 3 rapports sexuels minimum par semaine. Ces personnes avaient la particularité de paraître beaucoup plus jeune que leur âge réel. Ce résultat a été confirmé par bien d’autres recherches.

 

6. Le sexe guérit l’esprit.Faire l’amour fait du bien à la tête ! C’est un plaisir très grand que l’on partage avec une personne. C’est aussi une activité saine aussi bien physiquement que mentalement. Lors du rapport sexuel, tous les sens et les émotions sont décuplés. Le sexe est un moment de liberté et d’apaisement.

 

7. Le sexe rend heureux . En général, c’est un fait, les gens qui sont sexuellement actifs sont plus heureux et moins à la merci d’une dépression. Ils voient le verre à moitié plein !

 

8. Le sexe aide à dormir. Il existe plusieurs astuces pour lutter contre l’insomnie, comme par exemple regarder moins la télé ou prendre un bain avant d’aller au lit. Cependant, faire l’amour est peut-être la méthode la plus efficace. Les hommes, eux, s’endorment presque instantanément après le rapport. Pour les femmes, ça a un effet relaxant.

9. Le sexe protège des maladies de la peau. Lors du rapport sexuel, de la testostérone est libérée par le corps. Cette hormone a un rôle primordial, elle permet de garder les os et les muscles en bonne santé, et surtout, elle assure l’aspect jeune de la peau.

 

10. Le sexe protège du cancer du sein. Une étude australienne montre que la stimulation des seins et l’orgasme pousse le corps de la femme à secréter de l’ocytocine. Cette hormone, plus connue comme antidouleur, préviendrait donc des cancers de ce type.

 

 

11. Le sexe protège des maladies cardiovasculaires. Une étude réalisée à l’Université Queen de Belfast montre que faire l’amour trois fois par semaine réduit de moitié le risque d’attaque cardiaque ou d’AVC. Chez les femmes, le rapport sexuel augmente la sécrétion d’œstrogènes, connus pour lutter contre les maladies cardiaques. Pour les hommes, selon une autre étude, le sexe au moins deux fois par semaine réduit le risque de crise cardiaque fatale, de 50% de plus, par rapport aux hommes qui ne font l’amour qu’une fois par mois.

 

12. Le sexe bonifie l’estime de soi. L’appétit vient en mangeant ! Plus vous avez de rapports sexuels, plus vous en avez envie. Parmi toutes les hormones libérées pendant le câlin, il y a une grande quantité de phéromones. Ces derniers attirent encore plus votre partenaire. Au final, se sentir désiré(e) nous fait sentir beau ou belle, d’où l’augmentation de l’estime.

 

13. Le sexe augmente la maîtrise de soi. Des rapports sexuels réguliers apaisent et réduisent le stress. Ils procurent épanouissement et confiance en soi. Une étude menée à Scotland a démontré que les personnes sexuellement actives gardent beaucoup plus leur sang-froid en cas de situation stressante.

 

14. Le sexe protège de la grippe et de l’asthme. Selon les chercheurs, faire l’amour au moins une fois par semaine augmente la production d’anticorps. Ils nous protègent des infections virales comme la grippe. Le sexe est aussi un antihistaminique efficace, il combat avec succès l’asthme et les rhumes.

 

15. Le sexe fait vivre plus longtemps. Non seulement le sexe vous fait sentir plus jeune, mais la science montre qu’il peut réellement ralentir le processus de vieillissement. Pendant l’orgasme, le corps sécrète la DHEA, une hormone connue pour fortifier le système immunitaire, la réparation des tissus qui aide à garder une peau jeune. La DHEA favorise également la production d’autres hormones comme les œstrogènes, qui peut prolonger la vie par l’amélioration de la santé cardiovasculaire. C’est donc prouvé, le sexe rajeunit !

 

16. Le sexe protège contre les maladies mentales. Selon une étude, le sperme, absorbé par le corps humain permet à la femme de réguler ses hormones de façon optimale. Et quand on sait que les hormones agissent sur l’humeur, ça explique pourquoi ce processus réduit le risque de maladie mentale.

 

17. Le sexe soigne les problèmes de dos. Selon plusieurs études, la stimulation vaginale aurait pour effet d’augmenter la tolérance à la douleur. Selon les scientifiques, ce genre de stimulation peut soulager la douleur causée par les crampes menstruelles, l’arthrite ainsi que le mal de dos.

 

18. Le sexe protège contre les caries. C’est prouvé, la salive nettoie et fait diminuer le niveau d’acide qui cause les caries. Un analgésique, dans la salive, appelé opiorphine soulage les douleurs physiques, selon une étude française

 

 

19. Le sexe soulage de la drépanocytose. Pendant le rapport sexuel, le rythme cardiaque s’accélère et fait donc augmenter le niveau d’oxygène dans le sang et la vitesse de la circulation du sang. Ces deux conditions réunies évitent le développement de la maladie.

 

20. Le sexe contribue au bonheur. Plusieurs économistes de l’Université de Warwick se sont amusés à comparer comment la sexualité et l’argent contribuaient au bonheur. Après avoir interrogé 16 000 personnes, la constatation principale est que les personnes qui sont les plus heureuses sont aussi celles qui font plus l’amour. Et l’impact semble être le plus fort chez les individus au niveau d’éducation élevé. Evidemment, un revenu supérieur, n’implique pas forcément plus de rapports sexuels. Alors si vous espérez vivre longtemps et heureux, faites l'amour aussi souvent que possible. C'est bon pour la santé !

une vache donne naissance à des quadruplés

Publié à 14:16 par fandeloup
une vache donne naissance à des quadruplés

JURA. Extraordinaire, une vache donne naissance à des quadruplés

Événement rarissime dimanche dernier, au GAEC JMM Chauvin, à Molpre, dans le Jura, quand Canadienne, solide vache Montbéliarde, a vêlé.

Bernard Courtois Bernard Courtois

"Nous la surveillons depuis quelque temps, elle était vraiment grosse, le vétérinaire passait régulièrement la voir". Ils pensaient que cette vache allait avoir deux, voire trois veaux mais "Les deux premiers sont sortis normalement après que j'ai déclenché le vêlage" confie Mickaël. "On tirait sur les pattes pour sortir le troisième mais ce n'était pas facile".

Et pour cause ils avaient en main une patte de chacun des deux autres. C'est avec l'aide du vétérinaire que la suite s'est déroulée normalement. Aujourd'hui la mère et les veaux (deux femelles et deux mâles) vont bien et contraignent Mickaël à faire la nounou.

"Quatre repas pour chacun tous les jours, c'est du boulot". Ne reste plus qu'à baptiser les nouveau-nés. "Cette année c'est la lettre H, si des lecteurs ont des idées originales je suis preneur" indique-t-il avant de retourner aux biberons.

Crèche de Noël interdite

Publié à 13:46 par fandeloup Tags : pensée bleu 2010 france blog
Crèche de Noël interdite

Crèche de Noël interdite en Vendée : le département en émoi, Villiers «scandalisé»

La tribunal administratif de Nantes a fait retirer la crèche installée dans le hall du conseil général de Vendée.

Au nom du principe de séparation de l'Église et de l'État, une crèche de Noël, installée dans le hall du conseil général de la Vendée, a été retirée après une décision du tribunal administratif de Nantes.

Jugeant qu'«elle ne respectait pas ce que doit être la neutralité des bâtiments publics», la fédération vendéenne de la Libre pensée avait déposé un recours.

Robert Ménard garde sa crèche de Noël Bruno Retailleau, le président UMP du conseil général, a annoncé qu'il y aurait appel. «Outré, scandalisé», son prédécesseur, Philippe de Villiers, a qualifié cette décision de «totalitaire» dans «le Figaro».

La question de la frontière entre le culturel et le cultuel est posée au pays des Chouans. Jean Regourd, le président de la fédération départementale de la Libre pensée avait saisi le tribunal administratif de Nantes en 2012, après avoir constaté la présence d'une crèche en décembre 2010 lors d'une visite aux archives au siège du département.

Il avait envoyé plusieurs courriers restés sans réponse au conseil général pour demander son retrait, a-t-il expliqué mardi lors d'une conférence de presse.

La loi de 1905 «interdit (...) d'élever ou d'apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit, à l'exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires ainsi que des musées ou expositions», a-t-il rappelé après la décision du tribunal administratif.

«Faudrait-il interdire les étoiles dans les guirlandes de Noël ?» «Oui au principe de laïcité, non au principe d'absurdité» : sur son blog, le président UMP du Conseil général Bruno Retailleau rapporte que de «très nombreux Vendéens se sont émus, par mail, par téléphone ou sur les réseaux sociaux, du jugement du tribunal administratif exigeant le démontage de la crèche de l’Hôtel du Département».

«Le respect de la laïcité n'est pas (...) l'abandon de toutes nos traditions et la coupure avec nos racines culturelles. Faudrait-il interdire les étoiles dans les guirlandes de Noël qui décorent nos rues en ce moment, sous prétexte qu'il s'agit d'un symbole religieux indigne d'un espace public ?», a réagi dans un communiqué le conseil général de la Vendée, annonçant qu'il «fera appel de la décision du tribunal administratif».

Philippe de Villiers, président du Conseil Général de Vendée pendant vingt-deux ans, qui avait instauré cette coutume, s'est dit «outré, scandalisé» par cette décision qu'il qualifie de «totalitaire», dans «le Figaro».

«La France est une terre chrétienne, cette décision relève d'un laïcisme mortifère qui viole nos traditions et nos coutumes», s'inquiète-t-il.

«Au nom de ce laïcisme dogmatique, va-t-on bientôt interdire les sonneries de cloches?» s'interroge-t-il. Le FN conteste le retrait au nom de la «culture française» Le FN a contesté mercredi le retrait d'une crèche de Noël du conseil général de Vendée après une décision judiciaire, y voyant le déni de la «culture française».

«Avec Marine Le Pen, le Rassemblement bleu marine défend avec fermeté le principe de laïcité, qui place la religion dans la sphère privée sans débordement dans l'espace public», explique Bertrand Dutheil de la Rochère, ancien proche de Jean-Pierre Chevènement qui dirige une petite structure, Patrie et Citoyenneté, au sein du Rassemblement bleu marine, la «plateforme électorale» du Front national.

Si «nul ne peut nier le caractère religieux de la crèche», celle-ci est selon lui devenue «depuis huit siècles (...) un élément de la culture, pour ne pas dire du folklore, des pays européens, et peut-être plus précisément des pays latins», assure ce conseiller.

Le berger qui n’a pas peur des loup

Le berger qui n’a pas peur des loup

Le berger qui n’a pas peur des loups

Berger-paysan dans le Jura, Gérard Vionnet vient d’expérimenter sur un alpage des hauts plateaux du Vercors un système de garde protecteur du troupeau.

Chance des débutants ou efficacité ?

Il n’y a eu qu’une brebis tuée au lieu de cinquante les années précédentes. Vétérinaire de 1979 à 1990, Gérard Vionnet élève depuis dix ans une dizaine de chevaux de monte et de trait, quelques vaches allaitantes, et quelques brebis pour les agneaux et la laine dans une ferme d’estive de soixante-dix hectares à 900 m d’altitude, à Vaux-et-Chantegrue, dans le Doubs.

L’été, ses animaux entretiennent des espaces naturels (Natura 2000, pelouses sèches), tandis qu’il accueille en pension une centaine de vaches allaitantes suisses et des génisses montbéliardes.

Il participe aussi à un projet de réintroduction de céréales, dans le cadre d’un réseau de bergers-boulangers. Reporterre - Vous vouliez garder votre troupeau en zone à loup.

Pourquoi et comment ?

Gérard Vionnet

- Je n’avais jamais gardé plus de deux cents moutons et je voulais garder avec le loup. Je veux aussi poser le problème du loup dans un contexte large... Ce que cache la problématique loup, c’est qu’on n’a pas les mêmes intérêts que les éleveurs.

Les bergers croient les éleveurs solidaires, mais il y a beaucoup de différences. Je l’ai découvert en gardant avec un collègue deux mille brebis dans la réserve naturelle des hauts plateaux du Vercors, la plus grande de France, avec huit alpages de deux mille moutons sur quatorze mille hectares.

Cela fait trente-sept ans que je connais le Vercors. Les hauts plateaux, c’est quarante km de long sur deux de large, sans habitation, sauvage, plat, sans eau. Parfois, on passe quarante jours sans pluie. Ils récupèrent les eaux superficielles lors des fortes pluies aux sources intermittentes qu’on capte alors pour remplir des réservoirs.

Deux mille moutons, c’est sept mètres cubes d’eau en complexe d’abreuvement à gérer avec la mise à disposition d’une vingtaine de bassins. Marin reconverti depuis deux ans, le berger n’avait jamais fait d’estive dans le Vercors, arrivait sans idée préconçue, avec une solide formation dans la Crau.

J’avais le statut d’aide-berger, financé entièrement par les aides publiques, comme les filets de protection pour parcs de nuit et les quatre patous. C’est un dispositif accessible à tous et obligatoire pour être indemnisé en cas d’attaque.

Il faut que les deux bergers s’entendent, gardent de la même façon. Le retour du loup a révolutionné l’itinéraire technique de garde dans les montagnes françaises pour les bergers expérimentés. Pour certains, c’est une grande douleur de renoncer à un type de garde dans une montagne qu’ils adorent, qu’ils connaissent bien, où ils parvenaient à des pratiques de haut niveau. Il leur faut dire adieu à tout ça !

Maintenant, il y a des filets, des chiens, et il faut garder les troupeaux plus serrés. Avant, il n’y avait pas de point d’eau sur les alpages du Vercors, les brebis mangeaient la nuit et on leur donnait du sel (pour conserver l’eau dans le corps).

Maintenant, on met des citernes, comme chez nous dans le Jura, ce qui fait que le berger devra passer au point d’eau tous les trois jours, c’est une nouvelle contrainte. Mais si les brebis ont très soif, elles sur-pâtureront près du point d’eau...

Comment vous êtes-vous adapté ?

Depuis 2001, l’alpage de la Grande Cabane que nous avons gardé cette année subissait beaucoup d’attaques et de dégâts. Certains bergers refusent de s’adapter. Je suis arrivé sans savoir ce qui m’attendait. Je n’avais ni solution ni objectif.

On avait de très bons patous, mais ils ne pouvaient pas s’exprimer efficacement dans l’ancien système de garde. Il faut créer une relation entre les chiens de protection, les chiens de conduite, le troupeau et le berger...

Dans le Vercors, nous avons la chance d’avoir un réseau radio financé par la Réserve naturelle : il y a deux radios par alpage, en lien avec le gardes de la réserve. On peut agir de manière synchrone et cohérente sur le troupeau quand deux bergers gardent ensemble, ou appeler l’autre quand le troupeau vient de se couper.

Il y a un passage très juste dans le Journal d’un berger nomade, de Pascal Vick.

Il écrit : Ulysse [le berger] ne soupçonnait pas que l’efficacité est le résultat d’une collaboration étroite entre l’homme et le chien. C’est évident pour leur chien de conduite, mais ils ne savent pas encore avec les patous’’.

- Chien patou - Certains bergers, certains éleveurs raisonnent comme s’il y avait des salauds qui veulent imposer le loup et paient pour le protéger. Les bergers détestent les contraintes.

Les écolos des villes, la société, sont à mille lieux de savoir ce que vivent les bergers. Etre pour ou contre le loup, c’est comme si on me demandait si j’étais pour ou contre la foudre, c’est une contrainte qui fait partie du métier...

Pascal Vick écrit encore :

’’un autre rapport est possible entre le berger et le loup’’. Mais il faut aussi entendre le berger qui dit : ’’Ecoutez-moi, je n’en peux plus’’. Il se sent impuissant, c’est terriblement dévalorisant vis-à-vis de soi-même et des éleveurs.

Le bémol à tout cela, c’est mon inexpérience d’autres contextes. Il existe peut-être des alpages non défendables. Mais ce n’est pas le cas du Vercors où nous n’avons pas été les seuls à subir très peu d’attaques. Sur les hauts plateaux du Vercors, un des alpages a été attaqué tout l’été.

Les trois bergers étaient séparés et ne pouvaient se relayer, le troupeau était scindé en trois unités géographiques. Ils étaient en net sous-effectif de patous, qui en plus n’étaient pas fidélisés à chacun des groupes. Dans ce cas, il n’y a pas d’entraide possible entre bergers.

L’anomalie, c’est que sur les trois bergers, deux étaient financés par les aides publiques avec le statut d’aide-berger. En avez-vous parlé avec eux ? Non, c’est tabou...

Par exemple, les bergers hésitent à parler de l’attaque qu’ils viennent de subir à la radio. Au moins deux autres alpages avaient le même mode de garde que nous, l’un sans patou.

Il y a eu une seule attaque et un mouton mort, comme les années précédentes.

Quelle a été votre pratique ?

Ce qui va protéger est la connaissance fine du loup. Il faudrait un socle partagé de connaissances scientifiques. Un exemple : de 2001 à 2012, il y avait eu sur la Grande Cabane chaque année cinq à sept attaques occasionnant une cinquantaine de cadavres.

Cet été, le loup n’a consommé en quatre attaques que très partiellement une seule brebis dont le cadavre a aussitôt été protégé par les patous qui ont déboulé en moins d’une minute. Elle a ensuite été mangée par les vautours.

Il y a eu deux attaques avec une blessée et une sans victime. Soit on a eu la chance inouïe des débutants, soit c’est l’efficacité de notre mode de garde différent. Le mouton ne représente que 5 à 10% du régime estival actuel du loup.

Le challenge à mettre en place, c’est que la viande de mouton soit plus chère pour le loup. Le loup va manger autre chose si cela lui coûte de se battre avec les patous, de subir des échecs successifs. Dans sa stratégie, il apprécie sans cesse le coût énergétique d’une attaque. Le risque d’être blessé par un patou peut mettre sa vie en danger. Le berger doit avoir ça en tête.

Il faut essayer de stresser le loup, de lui compliquer la vie. On a gardé à deux dans les circonstances les plus difficiles, des zones à relief tourmenté ou boisées, ou en automne quand le troupeau a tendance à se couper car il manque d’herbe, qu’arrive le brouillard et que les loups adolescents s’émancipent en circulant beaucoup. Nous étions alors chacun d’un côté du troupeau très serré pour ne pas le laisser se couper.

Sur le Vercors, les mérinos, race très grégaire, se gardent plus facilement que les tarrasconnaises pyrénéennes au caractère plus indépendant. L’utilisation du parc nocturne regroupant toutes les brebis a été systématique, sauf trois ou quatre fois où un groupe a dormi dehors, protégé par un patou.

Si le prédateur sait que son attaque marche, il revient. Il va sur les proies les plus faciles, c’est difficile de l’en empêcher s’il a pris ses habitudes sans avoir été dérangé.

Que faire pour connaître le loup ?

Accepter de s’intéresser à lui. Il faut l’état d’esprit de la cohabitation pastorale.

Les troupeaux sont-ils trop gros ?

Le loup pourrait bien être une nouvelle chance pour un pastoralisme qui conviendrait aux bergers. Les bergers pyrénéens reconnaissent par exemple que mille brebis tarrasconnaises sont impossibles à garder serrées pour les protéger du loup et de l’ours.

Par contre, des troupeaux de trois cents brebis seraient protégeables. C’est l’intensification moderne du monde de l’élevage qui a amené un pastoralisme de grands troupeaux à taille inhumaine sur lesquels les grands prédateurs ont la tâche facilitée.

Le loup devient l’arbre qui cache la forêt du mal être animal : les bergers s’accordent à considérer que l’individualisation des soins n’est pas possible dans ces conditions, ont par exemple du mal à isoler rapidement et soigner une brebis boiteuse.

C’est ça qu’il faut demander, mais ce serait se désolidariser de certains éleveurs ; les vrais prédateurs ne sont-ils pas ces quelques éleveurs qui ne paient pas bien les bergers, se plaignent du loup et ramassent l’argent des aides publiques sans les optimiser et parlent haut et fort ?

S’ils font des cabanes en plus, fractionnent les troupeaux, achètent des patous, on saura faire, c’est de l’extensification ! Dans le Vercors, l’arrivée des aides bergers, en doublant la présence humaine, oblige actuellement à repenser le logement et améliorer le confort.

le tarif de la fourrière augmente

Publié à 10:01 par fandeloup Tags : texte voiture
le tarif de la fourrière augmente

Paris : le tarif de la fourrière augmente en flèche le 1er janvier

 Le tarif de la fourrière va passer de 126 à 150 euros à partir du 1er janvier 2015 tandis que les droits de gardes journaliers pour les véhicules enlevés sont multipliés par 3 (de 10 à 29 €).

Sans compter l'amende pour stationnement génant qui s'élève aujourd'hui à 35 €.

Mauvaise nouvelle pour les automobilistes qui prennent le risque de mal se garer dans la capitale. Les prix de la fourrière vont augmenter dès le 1er janvier 2015.

Le forfait de mise en fourrière, actuellement fixé à 126€, passera à 150€. Une somme à laquelle il faudra toutjours rajouter les «frais de garde» (10€ par jour) et le coût de l’amende forfaitaire (35€ pour stationnement génant).

 

 Ce relèvement des barèmes parisiens a été validé par les ministères de l’Intérieur et de Finances en réponse à une demande formulées depuis longtemps par la Mairie de Paris. La revalorisation du tarif de la fourrière parisienne est officialisée dans un décret du ministre de l'Inérieur paru au Journal officiel du 28 novembre, et passé plutôt inaperçu.

Une vieille revendication de la mairie de Paris Ce relèvement des barèmes parisiens est une vieille revendication de la mairie de Paris, comme Le Parisien l'avait révélé en mars dernier.

Car contrairement à ce que l’on pourrait croire, la gestion des enlèvements des voitures (assurée par la Préfecture de police mais financée par la municipalité) coûte plus d’argent à la Ville qu’il n’en rapporte.

Malgré la mise en fourrière de plus de 250.000 véhicules par an à Paris (soit un enlèvement toute les 2 mn), le service s’est soldé l’an dernier par un déficit de 8,7 millions d’Euros.

Selon les estimations des spécialistes, le coût du grutage des voitures et de leur garde dans l’une des six fourrières de la capitale coûte 175€ par véhicule. Le relèvement des tarifs annoncé devrait permettre de limiter la casse.

Curieusement, l'arrêté du ministère de l'Intérieur ne concerne que les villes de «plus de 2 millions d’habitants» dont la longueur de voirie publique est supérieure à 1 000 kilomètres et dont le nombre de places de stationnement, gratuites ou payantes, est supérieur à 100 000. Même si le texte ne le stipule pas explicitement, seul Paris est donc a priori concerné par l'augmentation des tarifs de la fourrière «dans les communes les plus importantes».

Le montant de l'enlèvement passera donc 150 euros pour les voitures et à 49 euros (au lieu de 47,5 €) pour les deux-roues à moteur. Le frais de garde journaliers multipliés par trois

Selon le ministère de l'Intérieur ces nouveaux tarifs tiennent compte de l'existence de problèmes de circulation et de stationnement dans ces agglomérations et des difficultés de mise en œuvre des opérations d'enlèvement.

Une hausse pouvant en cacher une autre, l'autre coup de bambou concerne les droits de garde journaliers des véhicules enlevés. Au lieu de payer 10 €, il faudra débourser... 29 euros ! Pour les deux -roues, le tarif passera de 3 euros à 10 euros.

En revanche, les autres tarifs, comme les frais de dossier (15,60 euros), les frais d'expertise (61 euros) ou les frais d'immobilisation du véhicule avant la mise en fourrière (7,60 euros), restent inchangés. 

Le décret sur les tarifs de mise en fourrière augmentation des tarifs de fourrière (Journal officiel) publié par redacweb6352 L'augmentation des tarifs de la fourrière n'est qu'un des aspects de cequi attend les possesseurs d'automobiles à Paris à compter du 1er janvier.

La ville de Paris avait, la semaine précédente, annoncé la hausse de tous ses tarifs de stationnement, y compris résidentiel, et la fin de la gratuité entre 19 heures et 20 heures, le samedi et au mois d'août. Gain espéré pour la municipalité : 50 millions d'euros.

capter

Publié à 09:13 par fandeloup Tags : pouvoir tendresse
capter

Le cœur ne souffre pas d'Alzheimer .Il capte l'émotion et oublie l'évènement. Saisit l'essentiel et néglige l'accessoire. Sent la fausseté des gestes et des paroles. Fuit le pouvoir et réclame le tendresse.

dijon

Publié à 08:57 par fandeloup Tags : article homme sexe
dijon

Dijon : il se promenait son sexe à la main

Les policiers municipaux ont remis aux gardiens de la paix de la sécurité publique un homme âgé de 66 ans qu’ils venaient d’interpeller, lundi, vers 13 h 15, alors qu’il se promenait avenue Garibaldi braguette ouverte et tenant son sexe à la main.

Le sexagénaire, domicilié dans un foyer d’accueil dijonnais, était en complet état d’ivresse et il a été conduit dans les geôles de dégrisement du commissariat central avant d’être entendu.

Sur instruction du parquet, il sera convoqué devant le tribunal correctionnel.

loi

Publié à 08:31 par fandeloup Tags : chien chiens vie
loi

Je vois passer beaucoup de points de vue, de coup de gueule.... à propos de la loi sur les chiens de catégorie.

En ce qui me concerne je trouve cette loi mal faite, stigmatiser des races de chien, ça ne me plait pas.

Néanmoins, cette loi existe et il faut en tenir compte. Lorsque je vois dans la rue des gens qui se balade avec un Staff sans muselière, ça m'énerve. Ça m'énerve simplement parce que le maître est en infraction par rapport à loi et c'est le chien qui assumera les conséquences.

Ne pas respecter cette loi parce que vous la trouvez débile (en tout cas telle qu'elle est faite, je pense qu'elle l'est), c'est jouer à la roulette russe avec la vie du chien.

Si vous aimez réellement votre chien, faites ce qu'il faut pour le protéger

Bébés échangés

Publié à 08:11 par fandeloup Tags : monde video écran fille enfants
Bébés échangés

Bébés échangés à Cannes : le jugement sera rendu le 10 février

 Sophie Serrano, mère de trois enfants, a porté plainte contre la clinique après avoir découvert que son aînée n'était pas sa fille.

Des familles, victimes de l'échange par erreur de deux bébés il y a vingt ans dans une maternité de Cannes (Alpes-Maritimes), ont réclamé plus de 12 millions d'euros de dédommagement, mardi, lors d'une audience à huis clos au tribunal de Grasse, qui a mis en délibéré son jugement au 10 février.

Bracelet : toujours le premier outil pour garantir l'identité des nouveaux-nés Dans cette affaire deux médecins accoucheurs sont mis en cause. Sont également poursuivis deux pédiatres, la clinique, et une aide-soignante. L'affaire qui est à peine croyable a été révélée il y a presque un an.

Les faits eux remontent en juillet 1994, lorsque Sophie Serrano accouchait d'une petite Manon dans une clinique cannoise. Atteinte d'une jaunisse, la fillette est alors placée dans la même couveuse qu'une autre nouveau-née, venue au monde le lendemain, également atteinte de jaunisse.

Les bébés ne seront ensuite pas remis à leurs parents biologiques, une aide-soignante les ayant intervertis par mégarde. A l'époque des doutes ont pourtant traversé l'esprit de Sophie Serrano. Car au moment où elle récupère sa fille, elle constate que cette dernière a «plus de cheveux qu'avant et une peau plus mate».

Mais le personnel médical la rassure. A mesure que Manon grandit la dissemblance entre elle et ses parents devient plus frappante au point que la petite fille subit des moqueries sur ses origines.

«Un préjudice irréparable sur le plan psychologique»

La clinique reconnaît l'erreur Aussi, le compagnon de Sophie Serrano demande un test de paternité. Manon a alors 10 ans et le résultat est sans appel : elle n'a aucun lien biologique avec ses parents. Une enquête menée par la gendarmerie de Cannes confirme par ailleurs l'inversion des bébés à la maternité liée à des dysfonctionnements de la clinique.

Ils retrouvent également l'enfant biologique de Sophie Serrano, devenue Mathilde. Elle réside elle aussi dans les Alpes-Maritimes. Les nourrissons n'ayant pas été échangés volontairement, l'affaire est classée sans suite en 2005. En effet la clinique ne peut être poursuivie au pénal, les faits étant prescrits (après un délai de trois ans)

La clinique de Cannes, aujourd'hui fermée, reconnaît l'erreur mais refuse de payer. D'où l'action civile pour obtenir un dédommagement. Depuis 2004, les deux familles, qui habitent la même région, se sont retrouvées et chacune connaît désormais sa fille biologique. Mais les relations sont aujourd'hui complètement coupées.

«Je ne vois plus ma fille biologique, regrette amèrement Sophie Serrano. Les différences sociales, éducatives et culturelles, en plus de la douleur et de notre rivalité inconsciente, ont eu raison de nos relations», avouait-elle il y a peu. Pour ces deux familles, procéder à un nouvel échange est impensable.

Selon «Var Matin», la famille de Manon réclame 5,380 millions d’euros, au titre des souffrances morales et matérielles.

Me Collard, leur avocat, évoque une « adoption forcée ». L'autre famille réclame 6,880 millions soit 12,2 millions au total. L’enjeu de ce procès sera donc d'évaluer le montant du préjudice, sachant qu'un seul précédent a été enregistré en droit français depuis 1950.