Fandeloup

J'ai mal dit mon cœur, c'est de ta faute disent les erreurs. Nous sommes nées du fruit de ta naïveté, il ne te servira à rien maintenant de t'apitoyer ! A trop vouloir aimer les yeux fermés, tu as fini par t'estropier.

J'ai froid dit le cœur, c'est encore de ta faute disent les erreurs, tes artères se sont bouchées, le gèle s'en est chargé ! Nous tes propres fadaises, sommes maitre de ton réfrigérant malaise.

Je ressens une violente douleur dit le cœur, Bing bing...Pauvre fou !!! nous venons de tiré à bout portant sur ta dernière lueur.

Je suis constitué, de petits bouts défectueux rassemblés. Mon corps me harcèle, mes larmes ruissèlent. Je m'enfonce. M'entrainant au fin fond des abîmes, de cette mort lente, je refuse que l'on me réanime. Gardez en mémoire ce regard qui ne reviendra pas, de moi...tout disparaitra. Il fut un temps, ou mon cœur était aussi vaste et abondant que l'océan. Aujourd'hui il est aussi sec que le désert, préférant prendre un billet simple pour l'enfer ! Avec le diable on peut négocier ! Cette bête à cornes me paraît bien plus complaisante que l'humanité ! Plus rien de bon m'y attend désormais. J'ai déposée les armes, les épreuves ayant eu raison de mes plaies.

L'amour que vous donne un enfant, est sans conteste le plus beau des présents. Il est incommensurable, aussi doux et sucré que le sirop d'érable. Il vous entoure d'une chaleur enchanteresse, comme une exquise caresse

Certains cris malgré leur puissance ne s'entendront jamais, étouffés pour toujours dans notre chair... D'une peau suintante d'amertume par les moindres pores comme un abcès.

On a remplacé mon cœur par des piles, robotisée, me convertissant en être hostile. Ne ressentant plus rien, pas l'ombre d'une émotion. Ne sachant plus quoi éprouver, mes sens en extinctions.

Que suis-je censée ressentir ?

Je peux sourire sur commande à l'avenir.

Vers où dois-je me diriger ?

Je peux me placer là où le désirer. Dénuée de conscience, Plus rien ne peut me mettre en défaillance.

Que puis-je faire pour être aimé ? Apprenez-moi ce verbe tant convoité. Dites le moi...avant que la rouille ne me grignote. De vos conseils j'en prendrais note. Si je veux être un jour adopté, Il me faut d'abord à nouveau m'humaniser.

Dites moi...de rouiller ça fait mal ? Et la solitude...c'est quoi ? c'est viral ?

Comment se débarrasse t-on de son ombre ?! Elle se terre dans les moindres recoins sombres. Me traque sans relâche, la fuir serait lâche ! Ce côté noir est ancré, une tâche bien dissimulée. Issu d'un passé en ruine, dont les échos...m'assassinent. J'ai beau m'essouffler à la semer, elle finit toujours par me rattraper. Me prenant à la gorge à sa convenance, de mon mal être, elle s'en balance.

A Nancy, un couple accusé du viol de son bébé de 8 mois

 La Rédaction La Cour d'Assises de Meurthe-et-Moselle à Nancy se penche lundi et mardi sur le cas d'un jeune couple de Malzéville accusé du viol de leur bébé âgé de 8 mois.

Aucune explication n’a été donnée par les deux accusés. La justice va devoir trancher le cas d'un jeune couple originaire de Malzéville (Meurthe-et-Moselle), dans la banlieue de Nancy, accusé du viol de leur fillette.

Âgée de seulement 8 mois au moment des faits en 2008, l'enfant a été victime d'un viol selon le bilan médical établit au cours de l'instruction réalisée dans le cadre d'une information judiciaire ouverte par le parquet de Nancy.

 Le couple qui est sous contrôle judiciaire depuis leur mise en examen n'a toujours pas donné d'explications malgré le rapport médical accablant.

Âgée de 27 ans, la mère de famille qui était enceinte au moment des faits n'a pas donné d'explications convaincantes. Son compagnon, 31 ans, qui n'est pas le père de la petite victime a également gardé le silence.

L’avocat de la défense relève l’enfance chaotique de la mère de famille. Le jeune couple a également eu un petit garçon quelques mois après la naissance du nourrisson victime de violences sexuelles. Les deux enfants ont été placés par les services de protection de l’enfance du département de Meurthe-et-Moselle.

Les prévenus risquent jusqu’à 20 ans de réclusion. La Cour d’Assises de Nancy se prononce cette semaine sur le sort de ces deux parents au parcours mouvementé.

Enquête dans un laboratoire allemand : un cauchemar pour macaques. Les associations SOKO Tierschutz et BUAV dévoilent une enquête dans un laboratoire Max Planck en Allemagne.

La vidéo révèle la violence des manipulations et des interventions sur les animaux.

Les primates sont soumis à des opérations chirurgicales lourdes et douloureuses pour y introduire des implants, à des privations délibérées de nourriture, à des immobilisations traumatisantes durant des heures chaque jour, à la solitude et à l'enfermement perpétuel: un cauchemar éveillé où la mort est la seule issue.

 Agissons pour eux:

1/ SIGNEZ la pétition pour interdire le commerce des macaques vers les laboratoires: http://bit.ly/petition-primates

2/ DIFFUSEZ la vidéo de l'enquête: http://bit.ly/enquete-labo-primates

 Merci de votre solidarité envers les victimes silencieuses des laboratoires.

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A Aubière, la chasse aux sangliers s'achève par la mort de trois marcassins sur l'autoroute

La harde de sangliers de la zone commerciale d'Aubière, dans le Puy-de-Dôme, n'a pas dit son dernier mot.

Alors que le calme était revenu , trois sangliers ont été percutés dans la matinée par deux voitures sur l'autoroute A75 au sud de Clermont-Ferrand.

Un jeu de cache-cache grandeur nature en pleine zone commerciale d'Aubière s'est improvisé depuis jeudi entre une quinzaine de sangliers et quelques chasseurs locaux.

Les sangliers avaient élu domicile dans un grand champ de maïs dans la Plaine de Sarliève. Mais le maïs a été coupé, et les sangliers ne semblent pas avoir apprécié cette initiative.

Les cochons sauvages se sont alors dirigés vers le giratoire de Pérignat-lès-Sarliève. Mais seraient repartis ailleurs par la suite. Les chasseurs, munis de leurs fusils, se sont alors rassemblés samedi matin pour vérifier que les sangliers avaient en effet pris la poudre d'escampette.

Mais stupéfaction : ils découvrent un sanglier blessé à proximité de l'autoroute A75. Les quelques chasseurs présents sont alors autorisés par la fédération de chasse à abattre l'animal. Et c'est chose faite. A la grande surprise des chasseurs, le sanglier qu'ils venaient d'abattre n'était pas seul.

Quatre marcassins sont sortis des fourrés et se sont dirigés vers l'autoroute. Trois d'entre eux sont alors percutés par des voitures. Pas d'accidents graves pour les automobilistes, juste quelques ralentissements sur l'autoroute. La prudence est de rigueur selon les forces de l'ordre, le reste de la harde court toujours.