Fandeloup

Des fourmis pour rendre la nature plus propre

Dans les Bouches du Rhône, deux opérations sont lancées pour dépolluer la plaine de la Crau et le canal de Centre-Crau… fourmi

C’est une première. Trois ans après l’introduction dans la plaine de la Crau de près de 169 fourmis fécondées, prélevées dans leur milieu naturel après l’accouplement, 40?% des reines fondatrices ont donné naissance aux premières ouvrières.

Ces dernières vont aider à la restauration de la steppe méditerranéenne de la Plaine de la Crau, dotée d’un écosystème unique.

Deux sites sont concernés?: l’un a été dégradé par l’arboriculture, l’autre par une fuite d’hydrocarbures en 2009. Les fourmis, insectes granivores, constituent des greniers contenant des graines des plantes propres à la steppe de la Crau.

«Elles peuvent aller en chercher jusqu’à 30 mètres de distance et ce plusieurs fois par jour, indique Thierry Dutoit, le directeur de recherches en écologie à l’institut Méditerranée de biodiversité et d’écologie marine et continentale (CNRS/Aix-Marseille).

D’ici un ou deux ans, les nids seront matures et compteront entre 8?000?et 20?000 individus.» Les coussouls, la steppe semi-aride de la Crau, pourraient alors commencer à retrouver leur physionomie. Cette végétation est unique au monde car la Crau est installée dans un delta asséché de la Durance qui charria pendant cinq?millions d’années des galets des massifs Alpins.

Il y a 18?000 ans, la rivière a été déviée de son lit par des mouvements tectoniques. Puis au cours de siècles, le coussoul a été façonné par le pastoralisme.

Selon le CNRS, «sans l’action des fourmis et des moutons, la steppe aurait besoin de milliers d’années pour accueillir à nouveau des lézards ocellés et des outardes canepetières qui en font sa richesse».

Les essais de dépollution de la berge sont lancés Parallèlement, des essais d’opération de dépollution de la berge du canal de Centre-Crau sont prévus dès cette semaine, «compte tenu des incertitudes qui demeurent sur les tonnages et au vu de la complexité des opérations», indique la préfecture de région.

Après ces essais, la technique de dépollution la plus appropriée sera retenue. Début avril, plusieurs associations de défense de l’environnement avaient porté plainte contre X, après le rejet par ce canal d’un grand stock de matières plastiques sur plus d’un kilomètre.

Au début de l’année, une partie du canal a été nettoyée pour lutter contre une plante envahissante, faisant remonter ces déchets, provenant notamment de la décharge d’Entressen, fermée en 2010.

«Pendant des décennies cette décharge a été une catastrophe car les plastiques volaient et une partie a fini dans le canal», estime Cyril Girard, de l’association Nacicca, qui évalue les déchets à près de 3?000?m3. Selon la préfecture de région, la communauté urbaine de Marseille (MPM), responsable de l’ancienne décharge, devrait financer le coût de traitement des déchets

LE BAOBAB UNE HERBE OU UN ARBRE ?!?!

J'ai toujours été amusé par cette question qui parait d'ailleurs peu respectueuse pour cet arbre emblématique de l'Afrique. Les partisans du côté herbacé du baobab soutienne qu'il est creux et non ligneux ce qui en ferait une herbe. Mais outre le fait que les arbres ne sont pas tous ligneux, le baobab n'est pas creux et comprend bien comme tous les arbres des cercles concentriques de croissance. Un arbre donc majestueux à découvrir

Ce Que Cet Homme A Fait Quand Son Chien Guide A Perdu La Vue Est Extraordinaire !

Après six ans de bons et loyaux services, Graham Waspe a été dévasté lorsqu’on lui appris que son chien guide Edward était atteint de cataracte inopérable et qu’il allait devenir inéluctablement lui aussi aveugle.

Mais son chagrin à vite été balayé par la joie quand il c’est avéré que Opal est une vraie pierre précieuse. Le nouveau chien guide de Mr Waspe l’aide non seulement a trouver son chemin, mais il aide également Edward à trouver le siens.

Opal, une femelle labrador de 2 ans, a tout simplement rejoint le duo, pour former un trio inséparable !

Les deux meilleurs amis: le couple Waspe constate que les deux chiens s’entendent à merveille depuis le 1er jour ou il se sont rencontrés. Contre toutes attentes, la cécité d’Edward n’a pas marqué la fin de son aventure avec Graham, bien au contraire ils sont devenus encore plus populaires dans leur quartier depuis qu’ils évoluent en trio.

Grâce à Opal et Graham, Edward a encore de longues et belles promenades devant lui :)

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Les gendarmes et la SPA sauvent 17 chiens battus à Sospel

Chiens de Sospel

Au village où les agissements des deux frères du chemin de Vier étaient connus, les avis naviguent entre soulagement et colère.

Près d'une vingtaine de chiens, enchaînés, affamés et battus: c'est la triste découverte qu'ont fait les gendarmes de Sospel lundi matin en intervenant dans la propriété de deux frères septuagénaires.

Une équipe de la SPA se trouvait aux côtés des militaires pour prendre en charge les animaux . L'un d'entre eux, très affaibli, a dû être conduit en urgence dans une clinique vétérinaire de Menton.

Les autres ont été accueillis dans un refuge de la SPA au Cannet. Mais les choses ne sont pas arrêtées là. Poursuivant leurs investigations, les gendarmes ont découvert une dizaine de corps de chiens sommairement jetés sous un tas de fumier.

Cette intervention s'est inscrite dans un contexte déjà lourd de plusieurs dépôts de plaintes, consécutifs notamment à des morsures occasionnées à des passants.

Elle égorge son nouveau-né pour «sauver sa vie sexuelle»

Nadine Koenig, une Allemande de 20 ans, risque la prison à vie. Cette jeune femme a accouché et a égorgé son bébé car elle avait peur qu’il ait un impact sur sa vie sexuelle et sociale.

Cette sordide histoire s’est déroulée en février de l’année dernière, à Regensburg, en Bavière. Nadine Koenig, une jeune femme de 20 ans a étranglé et puis égorgé son bébé avec un cutter, à peine 30 minutes après avoir accouché dans la maison de ses parents car elle voulait aller en discothèque.

« Il allait avoir un impact sur sa vie sexuelle et sociale », indique le procureur Ulrike Klein, repris par le Mirror, « Elle a dit qu’elle lui avait tranché la gorge avec un cutter. »

Après avoir commis l’irréparable, la jeune femme a caché le corps du poupon dans un panier, sur une passerelle du Danube, à proximité de son domicile. Les enquêteurs ont mis près de 12 jours avant de retrouver la trace de la meurtrière.

D’après sa famille, ils n’étaient pas au courant que Nadine était enceinte. Lorsque la police est venue l’arrêter, c’en était de trop pour sa mère, Kristin, 44 ans. Elle a écrit une lettre de suicide : « je sais ce que m’a fille a fait », avant de se jeter sous les roues d’un train. Le procès de Nadine Koenig vient de débuter, elle risque la prison à vie.

Ralphee le chaton handicapé et Max son meilleur ami le chien (vidéo)

Quelle jolie histoire que celle de Ralphee et Max. Le premier est un adorable chaton, malheureusement atteint d'hypoplasie cérébelleuse féline, une maladie qui touche le cervelet et perturbe le développement de la motricité et la coordination.

La boule de poils a une démarche très particulière et est parfois agitée de mouvements incontrôlés. Un ami et un protecteur Mais loin d'être effrayé par l'étrange comportement de son petit compagnon, le chien Max, un superbe Bouvier d'Australie, s'est pris d'affection pour Ralphee, qu'il ne lâche pas d'une semelle.

Max semble être conscient de la différence du chaton, sur lequel il veille comme un grand frère. "Depuis que nous avons ramené Ralphee à la maison, Max n'est jamais bien loin. Il semble être toujours curieux et suit Ralphee partout où elle va.

Ralphee est de plus en plus espiègle chaque jour et aime voir Max agir ainsi. Elle est souvent très excitée quand il est dans les parages" racontent ses humains. Malgré son handicap, et grâce à la présence de son grand ami, Ralphee est un petit chat très heureux, qui comme la plupart des chatons a besoin d'affection et aime faire plein de bêtises, s'amusent-ils.

Transmise par le virus de la panleucopénie féline, l'hypoplasie cérébelleuse n'est pas une maladie mortelle et elle n'évolue pas au fil du temps. L'état de certains chats s'améliore même au fil des mois et des années.

NIGERIA. Boko Haram revendique l'enlèvement de plus de 200 lycéennes

Le chef du groupe islamiste déclare dans une vidéo qu'elles seront traitées en "esclaves", "vendues" et "mariées" de force.

De nombreuses Nigérianes, parmi les plus de 200 lycéennes enlevées mi-avril par le groupe islamiste Boko Haram, ont probablement été emmenées hors du Nigeria vers des pays voisins, a affirmé le département d'Etat américain. "Beaucoup d'entre elles ont probablement été déplacées hors du pays, vers des pays voisins", a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine, Marie Harf.

Le groupe islamiste armé Boko Haram a revendiqué ce lundi, dans une vidéo obtenue par l'AFP, l'enlèvement de plus de 200 lycéennes mi-avril dans le nord-est du Nigeria, qui a suscité une très vive émotion dans le pays et à l'étranger.

"J'ai enlevé vos filles", a déclaré le chef du groupe extrémiste Abubakar Shekau dans une vidéo de 57 minutes obtenue par l'AFP. Il évoquait les 276 lycéennes enlevées le 14 avril dans leur établissement scolaire de Chibok (nord-est), dans l'Etat de Borno, dont 53 ont réussi à s'enfuir et 223 sont toujours en captivité, selon la police.

"L'éducation occidentale doit cesser"

Les lycéennes enlevées seront traitées en "esclaves", "vendues" et "mariées" de force, a déclaré le chef du groupe islamiste.

"Je vais les vendre sur le marché, au nom d'Allah", a déclaré Abubakar Shekau, évoquant les 223 adolescentes portés disparues, alors que des informations circulent sur leur possible transfert au Tchad et au Cameroun voisins, où elles auraient été vendues pour 12 dollars chacune.

Abubakar Shekau, qui dit garder "des gens comme esclaves", déclare avoir enlevé les lycéennes parce que "l'éducation occidentale doit cesser" et que les filles "doivent quitter (l'école) et "être mariées".

Un vétérinaire doit être une personne de confiance, car souvent c’est à lui que l’on confie la vie de nos chers compagnons.

Ses conseils de spécialiste sont précieux et sa parole est rarement mise en doute.

Alors, quand Lou Tierce, vétérinaire de Fort Worth au Texas (États-Unis), diagnostique une maladie incurable au chien de la famille Harris et leur recommande l’euthanasie, les maîtres éplorés n’imaginent pas une seconde ce qui attend en réalité leur fidèle compagnon à quatre pattes.

Un diagnostic sévère.

Sid, un imposant Léonberg âgé de 4 ans, a été conduit chez le vétérinaire en septembre 2013, paralysé de l’arrière-train. Après examen, le Dr Lou Tierce annonce à la famille que leur chien souffre d’une malformation congénitale du rachis, douloureuse pour le chien mais surtout inopérable.

Selon lui, la meilleure solution pour abréger les souffrances de l’animal serait l’euthanasie. Démunis, les membres de la famille Harris attendront le mois d’octobre avant de finalement accepter de laisser partir leur grosse boule de poils.

Les adieux sont difficiles, mais Sid est finalement confié au vétérinaire qui promet de s’occuper de tout, y compris de l’inhumation. Les maîtres quittent la clinique, se sentant incapables de voir leur chien mourir sous leurs yeux et accordant une confiance totale au Dr Lou Tierce.

Le choc de la trahison

Rien ne préparait la famille Harris à l’appel téléphonique qu’ils ont reçu ce 21 avril, plus de six mois après la date de l’euthanasie.

L’interlocutrice, une ancienne employée de la clinique répondant au nom de Mary Brewer, les informe que Sid est toujours en vie et enfermé à l’arrière de la clinique. « Je me rappelle être venue et avoir prélevé du sang à Sid », raconte celle-ci à MyFox DFW, « et essentiellement je le rasais et je lui prélevais du sang pour les animaux à l’étage ».

Mary Brewer ne serait pas allée voir la police de crainte de s’attirer des ennuis, car elle avait déjà un casier judiciaire. Elle avait peur que sa parole soit mise en doute, mais ne pouvait garder ce secret plus longtemps. Car en effet, Jamie et Marrian Harris ont trouvé leur chien Sid là où l’ancienne employée de la clinique leur avait indiqué.

Toujours en vie, il était enfermé dans une cage au milieu de ses propres excréments et visiblement très effrayé. Une plainte déposée pour mauvais traitements « La trahison est tellement intense que rien ne vous prépare pour ce genre d’émotions. Il y a de la colère, de la joie de récupérer votre chien, il y a la trahison de cette profonde confiance », témoigne Marrian Harris.

Le Service de Contrôle des Animaux est intervenu à la clinique suite à cette affaire, pour y découvrir d’autres animaux détenus dans des conditions similaires et servant de donneurs de sang. © CB

Sid a immédiatement été conduit chez un autre vétérinaire. Ce dernier a confirmé que le chien portait des signes évidents de transfusions sanguines, et grâce à un IRM il a pu rassurer les propriétaires de l’animal : Sid n’avait en aucun cas une malformation congénitale du rachis et n’avait donc pas besoin d’être euthanasié.

Cependant, il aura besoin d’un certain temps de réhabilitation après ces six mois passés en cage. Mais la famille Harris, trop heureuse de récupérer son chien, fera tout pour lui garantir une belle vie. Et tous leurs remerciements vont à l’employée de la clinique ayant dénoncé les actions du vétérinaire : « Mary est le véritable héros dans cette histoire. C’était très risqué pour elle et nous n’aurions jamais été de nouveau réunis avec Sid si elle n’avait pas été là. »

Un bracelet connecté vous réveille tout en douceur .Un bracelet connecté aux allures de reconquête.

Après un UP parfait sur le papier mais plombé par les pannes, l’Américain sort UP24, une nouvelle mouture avec connexion Bluetooth.

Verdict? On l’a aimé. On l’a haï.

Séduisant, endurant (entre 7 et 10 jours de batterie), performant (notamment au lit avec ses fonctions de suivi de sommeil et de réveil), le Jawbone Up, sorti en 2013, avait tout pour plaire. Las, une qualité essentielle faisait défaut au bel Américain.

En effet, il ne fallait pas trop compter sur sa fidélité. Après quelques mois d’un parfait amour, l’objet affirmait un vilain penchant pour la panne. Bref, décevant.

Etant donné la mauvaise impression laissée par son prédécesseur, le tout nouveau Jawbone UP24 avait fort à faire pour reconquérir le cœur des acheteurs.

Pour éviter toute confusion, le bracelet a d’abord été redessiné. Exit le design en zigzag, le UP24 arbore des courbes aux motifs élégants, et néanmoins passe-partout. La même attention a été apportée au niveau des fonctionnalités.

Certes la recharge s’effectue toujours à l’aide de la prise jack, cependant la synchronisation est désormais entièrement sans fil. Le bracelet échange ses données avec le smartphone (iOS ou Android) sans que l’on ait à bouger le petit doigt.

Il est loin le temps où l’utilisateur devait décapsuler son bracelet et le brancher simplement pour changer l’heure du réveil.