Fandeloup

Coupé du monde, seule avec moi même, j'écoute ce maestro...mon cœur de bohème. Mon inspiration je la puise dans une idylle, C'est en m'enivrant de musique que mes mots défilent. Je pianote sur mon clavier laissant cours à mon imagination, Je crée des partitions laissant parler mes émotions. Sans réfléchir je couche les mots qui ruissellent, c'est sans maitrise sur eux...qu'ils déferlent. En entrant en transe ... je vous livre ainsi mes confidences, me laissant porter par ces notes venant de ma conscience. L'entendez-vous ce refrain qui m'appartiens ? Tendez l'oreille et il vous touchera d'amour et de chagrin...qui sont aussi les miens.

Le regard est l'un de nos sens, qui sublime nos ♥♥ avec abondance mais le coeur lui, apporte un autre regard bien plus important, celui ou l'apparence ne compte pas ou il n'y a pas de faux semblant.

Le temps s'écoule en cadence, comme mes larmes sur mes joues en abondance. Tic tac...tic tac fait l'horloge, l'heure du changement en dégorge. Ce n'est plus le moment des regrets, ils appartiennent désormais au passé. Aujourd'hui je veux avancer vers cette lueur, et goûter à de nouvelles saveurs. Tic tac...tic tac fait la vie, elle défile pendant que moi je vieillis. Quitte à me trainer, je ne vais pas abandonner. Et si je dois y arriver en rampant jusqu'au bonheur, alors je me ferai violence et vaincrai ma peur. J'ai tant rêvé de cette chaleur, qui adoucirait mon cœur. C'est donc dans une lutte acharnée, que je traverserai cette tempête déchainée. Le compte à rebours à déjà commencé, je dois coûte que coûte me sauver.

J'ai tellement espérer, que mes reves en sont écorchés. J'ai tellement rêvé, que mon esprit s'est égaré. J'ai tellement espéré, que mes forces se sont épuisés. J'ai tellement aimé, que mon cœur s'est fané.

Le chagrin:

C'est un mal qui vous habite, qui vous ronge le cœur comme la laine bouffée par les mites. Il vous oppresse, se délecte de vos faiblesses. Il vous grignote jusqu'à la moelle épinière, faisant de vous une personne étrangère. Il est responsable des larmes qui s'écoulent de vos yeux, comme pour y exprimer malgré vous un aveux. Celui de la douleur qu'il vous procure, tel un supplice dévoilant vos blessures. La tristesse parcoure mes veines depuis mon enfance, d'amour et de tendresse,j'en suis en carence. Le chagrin ?...je crois qu'il ne voudra jamais me quitter, je l'emporterai avec moi dans mon sommeil éternel...comme damnée !

Que la vague m'emporte au soleil levant, et qu'elle me mène dans les profondeurs de l'océan. Nager et onduler en apesanteur, et admirer ainsi ses trésors aux multiples couleurs. L'océan renferme bien des secrets, que la vie aquatique semble protéger. Cet univers si mystérieux et paisible, ou les sons sont à peine audible. C'est un monde de silence, dans un monde de violence. Si immensément vaste et étendue, offrant des merveilles à perte de vue. La nature qui nous entoure, et dont j'éprouve de l'amour. Est si riche de beauté et de pureté, que j'en admire tout ce qu'elle peut nous apporter. L'oxygène vient à me manquer, et je n'ai pas envie de remonter. Je me sens si bien dans cet univers marin

Dans ma quête du bonheur, j'ai fini par rendre malade mon cœur. Abusé et piétiné, ses veines se sont gelées. La musique de ses battements se fait hachurée. Je l'ai donc renfermé dans un coffre bien gardé, je lui interdit ainsi d'aimer ! Et si le coffre venait à être ouvert, alors je crains que cet homme...voit en lambeau sa chair. Car j'ai soigneusement entouré mon cœur de verre pilé, gare à celui qui cherchera à s'en emparer.

Je me sens seul et le temps passe .A quoi se résume ma vie ? Le temps passe et je reste en place. De tristesse et de malheur je me nourris .Les bon moments sont du passé ,et j'ai appris a vivre au présent. A jamais ces moments resterons graver. Si je pouvais, je remonterait le temps. Aujourd'hui, ma vie est monotone. Peu importe les gens ,mon ♥ se fige. Hiver,Primtemps,Eté, Automne,les saisons passent mais rien n'arrive... Si seulement je pouvais reprendre un jour mes esprits. Peut-être je vivrais a nouveau ,et pour la vie. Seulement mon existence est futile .Et je ne sais que faire .Je ne sais comment me rendre utile .J'en vient a penser que ma place est en enfer

Echec est un mot que je connais ,il sera gravé Pour que les gens sachent ce que j'ai fait ou plûtot ce que j'ai raté. Ils seront un par un stupéfaits. Riront-ils ? J'en suis persuadé. Faudra-t-il vivre dans le noir. Abandonner au pied du mur,il ne faut pas perdre espoir .Tout appartient au futur .Vivre ou mourrir. Imaginez mon malheur. Voilà ce qu'il y a de pire. Ressentir toutes les douleurs et ne plus éprouver de plaisir

Toute relation humaine secrète -l'amitié, l'amour et les liens singuliers qui se nouent entre des contraires qui se rencontrent et s'attachent, à la vie et à la mort!commence par un effleurement magique ; par cette perception onirique qui ressemble au sentiment de réalité qu'on éprouve pendant un rêve : dans une foule, parmi des inconnus, un regard, une voix, vous touche, et c'est comme un vertige, comme si vous aviez déjà vécu cet instant, comme si vous saviez à l'avance tout ce qui va se produire, les paroles, les mouvements ; c'est la réalité, impérieuse, fatale ; en même temps, c'est un songe