Fandeloup

Contre vents et marrées, je me bats contre mon passé. Mais aujourd'hui, il m'a rattrapé. Doux souvenir du temps d'avant où ma vie avait un sens et du goût.

Ne plus savoir par ou commencer toujours devoir se demander si la vie vaut la peine d'étre vécu... aimer souffrir et recommencer... besoin d'écrire pour pouvoir se soigner les mots que l'on ne peu pas prononcer... un fond de musique qui te fais remonter dans le passer. des larmes et tu te demande quand tout ca va s'arréter. Peut etre pour moi jamais. Je ne souhaite a personne de se retrouver seule a douter.

A force de penser je me suis égaré...A force de croire j'ai gardé l'espoir... Mais a trop réver on fini vite par se perdre, des pensées des souvenir qui revienne... des paroles que l'on croyais vrai... et puis tu finis par oublier de vagues sensation parfois comme une impression d'avoir déja entendu ou vu une scéne, mais tout n'est qu'illusions.

Je suis ton pile, tu es mon face...

Tu es l'envie et moi le geste....

Toi le citron et moi le zeste...

Je suis la pluie et tu es mes gouttes...

Tu es le oui et moi le doute...

T'es le bouquet, je suis les fleurs...

Tu es l'aorte et moi le coeur...

Tu es le Vent, j'suis la rafale...

Je suis l'iris, tu es la pupille...

Je suis l'épice, toi la papille...

Un chiot demande à son papa : dit papa, comment je m'appelle assis ou couché ?

Charmante tradition française : quand un cheval se casse une patte (pardon, une jambe), on lui tire aussitôt une balle dans la tête en essuyant une larme furtive : « la pauvre bête n’aurait plus pu rapporter de pognon. » J’espère que je ne serai pas armé le jour où un propriétaire de chevaux de course se cassera une patte à côté de moi aux sports d’hiver. Je serais capable de tout, pour l’empêcher de souffrir plus longtemps.

Sur cette terre mon âme n'a plus la force de rester et ne fait que ce déléster. Morfond dans l'agonie d'une tristesse, je n'en n'arrive à remonter à des désirs rêver. Serai-ce moi ou ce qui m'entoure qui n'arrive à correspondre au besoin d'un bonheur trés certainement congèdié par cette force dont du coup je ne sais plus qui en détient le pouvoir. Cette force manipulatrice manipulable que si nous restons sur une longeur d'onde qui ne fait que accroître et multiplié nos sens. En perdre le contrôle ferais d'elle le 1er élèment dévastateur de notre vie car c'est de ce qui nous entoure que nous puisons la force et le pouvoir d'être heureux et d'en éloigner cette tristesse agonisante qui laisserais enfin revenir nos désirs rêver. Je ne cèsse de penser que tous est possiblement façonable à notre manière de consevoir, je cherche en vain cette solution à ce jour encoer mystèrieux aux yeux de ces enfants que visiblement nous sommes toujours. La solution serais t'elle d'être un enfant grandissant seul, cherchant à apprendre et comprendre de lui même, d'avoir un jugement neutre sans l'apport d'une opinion fonder sur des actes trés certainement incomprit d'une personne qui altèreras alors votre jugement. Je ne serais répondre mais seulement vous dire que pour être heureux il suffit de libérer son coeur de la haine; de libérer sa tête des soucis; de vivre simplement; de donner plus; et de s'attendre à recevoir moins...C'est la vie pas le paradis..

Sous mon regard noir se cachent, les larmes d'un amour passionnel que je garde au coin de mes yeux comme le plus précieux des cadeaux... Éternel est cette amour

Il y toujours une personne pour nous empoisoner la vie...... Desfois il suffit tout simplement d'eviter ces limaces pour retrouver le sourire

Un animal est une responsablilité que l'on prend à vie! Cela vous viendrait-il à l'esprit de rechercher "une bonne famille" pour placer votre enfant? Pour quelque raison que ce soit (et on en entend de bonnes...)