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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L'humour n'est jamais mal placé. Où qu'il se place, ça reste de l'humour
Le mal le plus grave est celui qui se cache sous des dehors flatteurs.
Axel, le chien qui a rampé hors de l'enfer. Il n'avait pas de nom. Pour ses bourreaux, il était juste une chose, et pendant des années, il a vécu enchaîné dans un sous-sol en cabane à la campagne. Un enfer humide, sombre, sans nuit, sans jour, sans amour , sans contacts humains, privé de liberté. Ses propriétaires laissaient glisser un peu de nourriture de temps en temps, juste pour le garder en vie. Pour eux, il n'était rien, juste une alarme, un garde contre les intrus. Les voisins s'étaient plaints à plusieurs reprises en constant ce traitement barbare inhumain, mais rien n'a été fait. Et puis ses geôliers ont cessé d'aller voir leur détenu. Plus d'eau. Plus de nourriture. Axel mourrait lentement. Il n'en pouvait plus. Jusqu'à ce qu'une âme charitable lui sauve la vie, enchaîné, recroquevillé, la chair infestée de larves. Axel se remet très lentement mais ce sera un traumatisme à vie. Merci à ceux qui l'ont sauvé. Soigné. Merci.
(source : Force Animal Intervention FAI)
Dijon, son pain d’épice, son kir et… sa moutarde. Un triumvirat contesté par un village canadien prêt à nous enlever l’un de nos piliers.
Dijon, capitale de la moutarde : qui oserait contester cette identité revendiquée par la cité des ducs depuis des lustres ?
Personne, serait-on tenté de croire. Et ce serait une erreur. Pour trouver l’insolent village qui rêve de devenir calife à la place du calife, il faut traverser l’Atlantique.
Pour une fois, la perfide Albion n’y est pour rien. Perdue au milieu des prairies de l’ouest canadien, Gravelbourg, une petite communauté francophone de 1200 âmes, créée au début du XXe siècle par quatre frères venus du Québec.
Son argument : des champs formant la première zone de production de graines de moutarde au monde. Car Dijon, cœur historique de la culture de cette plante, dont la tradition remonte au XIVe siècle, ne produit plus de graines.
Il y a quelques années, la ville a également dû faire face à la fermeture de sa mythique usine Amora qui s’est réinstallée, pour partie, sur la commune de Chevigny-Saint-Sauveur. Recette originale
Le Canada, lui, s’impose désormais comme le premier producteur mondial (bien que la moutarde n’ait été introduite là-bas que dans les années 1940).
Et à Gravelbourg, qui jusqu’ici se contentait de vendre le produit brut, une première usine de transformation a vu le jour il y a deux ans. La législation est telle que la moutarde de Dijon répond à une recette et non à une indication géographique de production.
Autrement dit, la moutarde de Dijon peut être fabriquée partout dans le monde avec n’importe quelles graines pourvu que la recette soit suivie. Reste que, quoi qu’il arrive, qu’elle soit produite au Canada ou ailleurs, elle ne peut s’appeler autrement que moutarde de Dijon…
D’où l’option prise par les Canadiens avec une ligne de condiments dénommée « Gravelbourg gourmet mustard ». Pour l’instant,elle n’est distribuée que dans l’ouest du Canada mais elle vise, à terme, l’exportation. Et certains rêvent de voir un jour Gravelbourg détrôner Dijon…
L'ennemi n'est pas celui qui te fait face l'épée à la main. C'est celui qui est à coté de toi, le poignard dans le dos.
La dépression chez le chien : la comprendre pour mieux la soigner
On a tendance à penser que cette maladie ne frappe que les humains, mais les animaux, et notamment les chiens, peuvent eux aussi souffrir de dépression.
Stress, frustration, émotion, sont autant de causes pouvant engendrer chez nos compagnons à 4 pattes un état dépressif
Jean-Luc Fourtier, éducateur canin, revient sur ces troubles, et nous donne de précieux conseils pour comprendre et soigner un chien déprimé.
Le stress
Le stress signale un danger pour le corps. La production d’adrénaline, une hormone produite par les capsules surrénales, est trop forte. Les muscles se contractent, le temps de réaction est écourté. Lorsqu’une telle situation se répète ou se prolonge, le chien risque un véritable surmenage physique. Il est submergé par la fatigue, qui peut entraîner un grave état dépressif. Ce stress peut être repéré grâce à la fréquence de la respiration et celle du pouls. Il est souvent engendré par un changement de situation dans l’univers du chien. Un déménagement, qui l’oblige à épouser un autre mode de vie, évoluer dans un autre environnement, par exemple de la campagne à la ville, peut entraîner un état dépressif. > Comment préparer le chien à un déménagement L’agitation dans une maison où vivent des enfants bruyants et turbulents peut également être stressante pour un chien, surtout s'il a un tempérament peu actif.
La frustration
Un chien auquel on interdit un plaisir, alors qu'il lui était jusqu'à présent accordé (une promenade par exemple), installe l’insatisfaction permanente. La frustration peut aussi affecter un chien qui se voit soudainement imposer la présence d'un jeune congénère. Pour peu que l’on bouleverse le schéma de meute auquel il se réfère, son psychisme est diminué. Or lorsqu’il y a rupture d’un équilibre entre les circonstances extérieures et la personnalité du sujet, il en découle un stress. De l’agression à la dépression qui exclut toute joie de vivre et énergie, les réactions diffèrent selon les chiens. L’anxiété, considérée comme pathologique chez le chien (à la différence de l’homme), peut également conduire à la dépression. Il s’agit d’un état réactionnel tissé d’émotions analogues à celles de la peur. Un changement dans l'environnement du chien déclenche ce genre d’émotions. Les comportementalistes relèvent parmi les facteurs d’anxiété des exemples quotidiens tels le chien né à la campagne qui ne supporte pas les bruits de la ville, ou le chien atteint du syndrome de privation… Ce dernier cas montre un animal séparé trop tôt de sa mère. Le chiot présente un développement comportemental inachevé. L’hyper-attachement dont il fait preuve l’entraîne vers une anxiété de séparation.
Une émotion trop forte
La dépression réactionnelle survient en réponse à une émotion violente. Indifférence à l’environnement, anorexie, frigidité ou impuissance sont autant de symptômes de cet état. Le traitement, qui ne doit pas empêcher le chien de poursuivre ses activités physiques, comprend essentiellement des antidépresseurs dénués d’effet sédatif. Le chien a surtout, et avant tout, besoin d’affection pour sortir d’un état dépressif. Il est important de bien s'assurer qu'il s'agisse vraiment d'une dépression et non d'une grosse fatigue passagère. Consultez votre vétérinaire, qui après plusieurs jours, pourra poser son diagnostic.