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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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elections

Publié à 17:41 par fandeloup
elections

Le vote nous donne la possibilité de nous exprimer, alors allons voter !

respect

Publié à 17:29 par fandeloup Tags : vie
respect

La vie est un chemin qui se parcourt dans un seul sens. La reprendre à zéro est impossible.. On peut choisir sa destination, réfléchir, ralentir,accélérer, décider de ne plus refaire les mêmes erreurs, mais on revient jamais en arrière.

comprendre

Publié à 17:08 par fandeloup Tags : coeur vie sur
comprendre

J’ai compris que les gens qu’on rencontre ne sont pas forcément nos amis… J’ai compris que dans la vie, on n’a pas toujours ce qu’on veut… J’ai compris qu’on n’est rien sur terre, en une seconde, tout peut s’écrouler, rien n’est jamais acquis… J’ai compris que sans patience, courage, volonté, on n’arrive à rien… Et qu’il ne faut pas se fier à l’apparence, car j’ai compris que l’important c’est ce qu’il y a dans le ♥.

loups

Publié à 16:38 par fandeloup
loups

Apprécions le soleil qui se lève , réjouissons-nous de le voir se coucher. Arrêtons de dire " il es trop tard " où " il es trop tôt "; le bonheur est la , il est l'instant présent.

personnes

Publié à 16:17 par fandeloup
personnes

Les personnes sont des vagues ; oui, c'est ça. Il y a celles qu'on voit frémir à l'horizon, celles qui nous touchent puis se rétractent, celles qui nous font couler... et celles qui nous portent

horreur

Publié à 15:58 par fandeloup Tags : animal sur france base coup animaux cadeau
horreur

3 louveteaux abattus par l'Etat dans les Alpes Maritimes

En France, le loup est officiellement une espèce strictement protégée. Malgré cela, des loups sont toujours régulièrement abattus sur dérogation préfectorale, pour "réguler" une population "grandissante" qui serait à l'origine d'attaques sur les élevages.

: le 9 août 2017, 3 loups ont été abattus à Cipières (Alpes Maritimes) par un agent de la brigade spécialisée de l'ONCFS pour protéger un troupeau ovin le 9 août 2017.

Après 4 mois de relances incessantes sur les circonstances de ces tirs et l'âge des loups abattus, les associations de défense de la faune sauvage et du Loup, regroupées sous la bannière de la fédération Cap Loup ont enfin obtenu une réponse du Préfet.

Ce ne sont pas trois loups qui ont été abattus, mais 3 louveteaux âgés de 3 à 4 mois, une tuerie qui bénéficie d'un accord préfectoral et qui est "totalement" assumée par le préfet qui considère que de "cibler prioritairement les jeunes individus au seins d'une meute (...) permet de prévenir tout effet indirect indésirable lié à une perturbation significative de la structure sociale".

En outre, le Préfet explique que les trois louveteaux se trouvaient au sein d'une meute de 5 loups à seulement 400 m d'un troupeau de brebis déjà attaqué 6 fois, mais pourtant protégé par "le berger et 2 chiens de protection".

Des explications qui ne satisfont pas Cap loup qui s'interroge sur la présence réelle des chiens de protection qui aurait pu éviter le "tir de défense". Pire, c'est l'abattage de louveteaux qui indigne le collectif :

"L'État favorise donc l'abattage de jeunes loups, même si ceux-ci ne sont pas en âge d'attaquer un troupeau domestique, et même si les conditions de tirs ne permettent pas d'identifier précisément l'animal visé (ce qui est pourtant une règle de base pour tout chasseur d'espèce « gibier » !)".

"En fait, les tirs de loups visent évidemment à calmer les éleveurs à court terme, sans recherche d'efficacité pour faire baisser la prédation sur le bétail à long terme ; celle-ci continue sur les troupeaux insuffisamment protégés... ce qui pousse l'État, sous la pression de éleveurs, à augmenter les abattages jusqu'à l'absurde avec ce genre de « carton » sur des louveteaux," accuse Pierre Rigaux, naturaliste.

Au final, Cap Loup continue de proposer des alternatives "pour mettre fin à cette politique de tirs, mais il est regrettable que notre demande d'arrêter les abattages n'ait encore jamais été prise en compte, malgré notre participation depuis plusieurs mois aux réunions de concertation pour l'élaboration du plan loup 2018-2023".

Des dizaines de loups, espèce protégée, sont abattus "légalement" chaque année en France

La France gère la question de l'expansion du loup sur le territoire à coup de fusil Chasse aux oies migratrices après la fermeture : le cadeau de trop de Macron aux chasseurs

Autorisation d'abattre 4 loups en France

Si l'on évoque souvent le loup, animal emblématique, n'oublions pas que d'autres animaux sont massacrés sur le territoire français comme les bouquetins : le 15 septembre 2015, "le Préfet de Haute-Savoie décidait unilatéralement l'abattage de plus de 200 bouquetins dont un nombre conséquents d'animaux sains, pourtant protégés au niveau international," s'indigne la LPO. Au total, 70 bouquetins seront tués illégalement, un scénario qui pourrait bien se reproduire alors que la préfecture de Haute-Savoie a lancé en octobre 2017 une consultation publique relative à un projet d’arrêté autorisant, à nouveau, sur le massif du Bargy, la capture, l’euthanasie et l'abattage d'un certain nombre de bouquetins...

Décidément, la France, qui ne rate pas une occasion de s'enorgueillir sur la scène internationale en matière d'environnement, démontre une nouvelle fois sa gestion irresponsable de sa faune sauvage en voie d'extinction et s'embourbe toujours plus dans le "problème loup".

agresseurs

Publié à 14:49 par fandeloup Tags : france
agresseurs

Ils l’avaient rendu infirme : les agresseurs de Jean-Thomas condamnés à 14 et 15 ans de prison

Jean-Thomas est condamné au fauteuil roulant après que deux garçons de sa tour, cité Pablo-Picasso à Nanterre, l’ont roué de coups d’une violence extrême, le 8 mars 2015

 Deux hommes ont été condamnés par la cour d’assises d’appel après une agression ultra-violente, en 2015 à Nanterre (Hauts-de-Seine). Les deux agresseurs de Jean-Thomas n’ont pas gagné grand-chose à faire appel. La cour d’appel d’assises de Pontoise (Val-d’Oise) a condamné ce jeudi Kévin et Patrick à respectivement 14 et 15 ans de réclusion criminelle pour avoir passé à tabac ce résident du quartier Pablo Picasso de Nanterre, en mars 2015.

Un peu plus tôt, le malheureux leur avait demandé d’aller fumer dehors. En première instance, devant la cour d’assises des Hauts-de-Seine, tous deux avaient écopé de 15 ans de réclusion. Les jurés de la cour d’appel ont donc suivi -à une année près pour l’un des deux accusés- la condamnation prononcée en 2017.

C’était la peine maximale en raison des séquelles infligées à la victime. Jean-Thomas souffre aujourd’hui encore d’une incapacité permanente partielle (qui détermine l’importance des séquelles) de 80 % aussi bien physique que mentale. Il n’a plus de mémoire et ne se souvient même pas du premier procès.

Kévin et Patrick s’étaient acharnés avec plus d’une trentaine de coups de pied à la tête et au visage de Jean-Thomas, alors qu’il était au sol et sans défense. Un déferlement de violence entièrement filmé par les caméras de surveillance du hall de l’immeuble.

douceur

Publié à 14:04 par fandeloup
douceur

Une surcharge de douceur pour commencer votre journée 

évasion

Publié à 13:52 par fandeloup Tags : google divers sur france belle coup nuit centre
évasion

Rocambolesque évasion au centre de rétention d’Hendaye

 Trois migrants se sont fait la belle le week-end dernier dans un scénario digne de «Prison break».

C’est une évasion à la planification millimétrée, qui n’en finit pas de provoquer des remous au sein de la police aux frontières (PAF) des Pyrénées-Atlantiques. Selon nos informations, trois migrants - des « retenus » dans le jargon administratif, sont parvenus à s’échapper du centre de rétention administratif (CRA) d’Hendaye, dans la nuit de vendredi à samedi dernier.

Au vu des images enregistrées par les caméras de vidéosurveillance, les premiers signes d’une agitation inhabituelle sont visibles aux alentours de quatre heures du matin. D’abord, les évadés ont réussi à enlever la poignée métallique de la porte d’une chambre.

Puis ils se sont rendus dans une autre chambre, qui donne cette fois sur une cour, laquelle n’est pas accessible directement aux policiers chargés de la sécurité du CRA.

Munis de la poignée, les trois fuyards ont franchi une première étape en cassant une vitre de la chambre en question, se retrouvant donc dans la cour. Au préalable, ils avaient préparé une corde faite de draps noués, d’une longueur de près de 12 m.

Ils y ont attaché une bouteille d’eau afin de faire contrepoids, jetée par-dessus le mur d’enceinte du CRA, haut de près de sept mètres, qu’ils ont réussi à escalader. Ils ont alors pu accéder à un toit, puis à celui d’une école voisine, pour enfin se faufiler à l’extérieur.

Nouvelle route migratoire

C’est peu avant 6 heures, samedi matin, que l’alarme évasion du toit s’est déclenchée. À ce moment-là, trois fonctionnaires de police ont déjà pris la relève de leurs collègues de nuit. Pour rattraper les retenus en fuite, ils doivent au préalable déverrouiller une échelle leur permettant d’accéder à leur tour au toit. Ce qu’ils n’ont pu faire qu’au terme de plusieurs minutes d’attente, après s’être rendu compte que dans la précipitation, ils s’étaient munis… de la mauvaise clé.

L’erreur réparée, le premier, un adjoint de sécurité s’y est engagé, hésitant à se jeter sur le dernier des fuyards, par peur que l’un ou l’autre ne chute de cette hauteur. « En théorie, ce toit devrait être sécurisé pour prévenir tout accident, appuie un de ses collègues. Mais ça n’a jamais été le cas. » Deux des trois évadés ont finalement été repris dans le week-end, alors qu’ils se trouvaient à bord d’un bus. Mais cela n’a pas suffi à éteindre l’incendie qui couve depuis des semaines au centre, ainsi que sur l’ensemble des forces de l’ordre en poste à la frontière basque, cette nouvelle route migratoire ayant ces derniers mois en partie supplanté la traditionnelle « route italienne ».

C’est ainsi dans ce même CRA qu’à l’automne, le tout nouveau secrétaire d’Etat à la sécurité, Laurent Nunez, avait effectué sa première visite sur le terrain. Ce lundi, c’est une partie de la hiérarchie policière locale qui s’y est rendue. Dans la foulée, saisis par le parquet, les hommes de la brigade mobile de recherche (BMR) y ont effectué une perquisition afin de comprendre les modalités de l’évasion.

Selon les premiers éléments recueillis, aucune ronde n’avait eu lieu pendant la nuit. « Le problème, c’est qu’on est en période de ramadan, et qu’au vu des effectifs policiers, nos collègues préfèrent ne pas rentrer dans le centre au milieu de la nuit pour éviter toute tension », justifie un connaisseur des lieux. À l’intérieur, c’est l’un des migrants qui aurait conçu ce plan audacieux. L’intéressé était au fait de la configuration des locaux pour y avoir été retenu il y a six mois environ. Il aurait monnayé l’information auprès de ses camarades. Une fouille complète de l’établissement a par ailleurs été diligentée, qui a notamment permis de découvrir, sous un matelas, un couvercle de boîte de conserve taillé artisanalement.

Les policiers habitués du centre sont les premiers à déplorer des lacunes dans sa sécurité. À commencer par l’absence d’alarme dans la cour franchie par les évadés, qui avait déjà été utilisée pour plusieurs évasions précédentes. De la même manière, les fenêtres ne sont pas équipées d’alarmes, comme peuvent l’être celles d’autres CRA, par exemple Vincennes. Le mur n’est pas non plus surmonté de grillages, réclamés de longue date par les policiers locaux. « On nous dit depuis assez longtemps déjà que rien ne se fera avant le sommet du G7 de Biarritz au mois d’août », regrette un policier. À cette date, il est en effet prévu des travaux au niveau du CRA, lequel sera momentanément dédié aux renforts de police judiciaire prévus à l’occasion du sommet international.

«Jeu de dupe » Plus globalement, les agents de la PAF pointent du doigt « un jeu de dupe », également dénoncé par les associations d’aide aux migrants, et les limites d'« une politique du chiffre en matière d’interpellations. » « On a vraiment l’impression de ne servir à rien, soupire un autre fonctionnaire de la PAF des Pyrénées. Quand on regarde bien, ceux qui sont expulsés, ce sont souvent les gens bien. En revanche, pour ceux qui ont un casier, il ne se passe rien ou pas grand-chose. À partir du CRA d’Hendaye, un seul avec un casier judiciaire a quitté le territoire depuis septembre. »

Le retenu soupçonné d’avoir monnayé ses informations, lui, a été libéré administrativement ce mardi, mais placé en garde à vue dans la foulée. À son précédent passage au CRA, il n’avait pu être « reconduit », aucun pays ne le reconnaissant comme l’un de ses ressortissants. « Du coup, il ressort avec une obligation de quitter le territoire, qu’il n’exécutera jamais », décrypte ce fonctionnaire. - Béhobie, le 5 novembre 2018. Un CRS raccompagne un mineur algérien qui est entré sur le territoire français sans autorisation jusqu'au pont de Béhobie, qui enjambe la Bidassoa, la frontière franco-espagnole « Tout ça est très hypocrite, renchérit un de ses collègues.

On interpelle, on remet les personnes à nos collègues espagnols, qui ferment les yeux quand elles s’empressent de revenir en France. » Un phénomène qui explique que la majeure partie des retenus du CRA d’Hendaye proviennent surtout du reste du territoire français, placés là quand les autres CRA du territoire sont saturés. 

horreur

Publié à 11:02 par fandeloup Tags : mort société animal
horreur

Ce que la société fournit est entièrement affecté par votre demande. Chaque fois que vous achetez un produit animal, vous payez pour qu'un autre animal soit tué afin de remplacer ce produit. Chaque fois que vous prenez du jambon au lieu du tofu, un autre cochon est conduit vers une chambre à gaz. Chaque fois que vous prenez un litre de lait de vache au lieu du lait d’avoine, un autre veau est enlevé à sa mère et exécuté. Et chaque fois que vous achetez des gants en laine au lieu des gants en coton, un autre agneau est matraqué à mort. On arrête la demande.