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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Comme un peu de poussière indiscrète et légère, la voix lasse du temps repousse la lumière et disperse son chant dans les sillons amers de la valse des ans. Ouvre tes yeux de pierre. Vois sous tes cheveux blancs la pâleur singulière de tes bonheurs d'enfant ,comme un peu de poussière....
Souventi elle rêve de ce là bas. De ce coin de terre .De cette idée dure comme fer. Ce manque intense .Un peux d’espace pour faire son nid. Y trouver sa place. A sa vue le cœur sourit. Juste respirer le temps qui lui reste,ce lambeau de paradis
Toi qui fus ma joie et ma douleur, mon ivresse et mon désespoir, sais-je si je te hais ou si je t'aime, Car si je saigne encore du mal que tu m'as fait, je tremble à la pensée du mal que l'on peut te faire
Des cellules de foetus avortés pour réhausser le goût : Obama a dit oui !
La société Pepsi, en vue de lancer son produit « Pepsi Next », afait face à la réaction d’une partie de la population américaine laquelle, pro-vie, appelait au boycott. Et pour cause, la société utilise dans ses recherches des cellules issues de foetus avortés afin de réhausser le goût de la boisson. Eh bien Pepsi a obtenu gain de cause grâce à l’aide de l’administration Obama : la Security and Exchange Commission, mise en place par le président Obama, a statué et rendu publique sa décision le 28 février : le laboratoire Semonyx, filiale de recherche du groupe PepsiCo’, est autorisé à utiliser des restes de foetus avortés comme rehausseurs de goût.
Signe avancé d’une société de mort qui se substitue à la Civilisation. Le fœtus n’est-il donc qu’un amas de cellule ? Qu’un matériau à la disposition de la toute puissance d’un homme qui a voulu se faire Dieu ? Ou bien n’est-ce pas d’abord une vie humaine qui a été conçue ? N’est-ce pas plutôt un être humain en gestation ?
Mais le pire, c’est qu’en plus de légiférer sur un usage que condamnent tous les principes traditionnels sur lesquels s’est bâtie la civilisation occidentale, et dont témoigne par exemple le serment d’Hippocrate, l’administration Obama considère cet usage comme des « opérations commerciales ordinaires ». Ou comment banaliser la culture mort… Ignoble !
Un chien égorgé / La folle soirée de quatre écervelés
Ces prévenus sont accusés d'avoir fait subir l'enfer a un chien confié par un autre ami au moment de partir derrière les barreaux. Son beauceron fut retrouvé « dans un état lamentable » à Perthes : égorgé sur plus de vingt centimètres, vidé de son sang, dénutri et déshydraté après une longue errance. Dans l'incapacité de survivre à ces lésions, il sera euthanasié.
Avec leurs mots et dans un élan parfois désordonné, ce quatuor d'écervelés a tenté d'expliquer comment ils en étaient arrivés à décider du sort de cette bête en tirant au sort parmi les petits papiers sur lesquels étaient notées quatre options : l'égorgement donc, mais aussi la pendaison, la noyade ou la mort lente.
Thibaut commence : « Au début, on ne voulait pas le tuer mais ils m'ont tellement pris la tête qu'à la fin, ça m'a pris la tête ». Yves : « On a joué à la crapette. Moi, j'apportais depuis plusieurs fois des croquettes à ce chien. Je ne pouvais pas m'en occuper hein, désolé… On a aussi tiré au sort le nom de celui qui devait le tuer, mon nom a été tiré plusieurs fois mais j'ai refusé ». Mickaël pleurniche : « Je me suis fait avoir comme un imbécile ».
Gwendoline, elle, a le mérite de ne pas fuir ses responsabilités : « Oui, j'ai eu l'idée qu'on se sépare du chien. L'animal était agressif, il avait mordu plusieurs fois mon ami ». Les quatre se retrouvent à filer en voiture vers le bois. Avec eux : le chien et un couteau de cuisine appartenant à Thibaut. Yves et Mickaël restent dans le véhicule pendant que Thibaut et Gwendoline s'en vont mettre à mort le chien. Cette dernière assume presque l'entière responsabilité de ce qui s'ensuivit. Thibaut, lui, semble blêmir : « Non, je n'ai pas tenu le chien, j'ai pas pu, j'ai vomi ! » Gwendoline certifie pourtant : « Thibaut a essayé de l'égorger, je l'éclairais avec une lampe-torche rouge ! » Ils finissent pas s'en aller, persuadés que le chien est mort.
« Des pieds nickelés »
« Et qu'est-ce qu'on se dit après une scène pareille ? », demande la présidente, parfaitement consternée. Gwendoline s'effondre : « Je suis rentrée, j'ai serré mon ami dans les bras et j'ai pleuré […] Au début, j'ai pas dit la vérité car j'avais peur qu'on m'enlève mon chien. Je voulais travailler dans le domaine des animaux… » Silence. Personne ne pense à sourire de ces derniers mots. D'autres prévenus ont préféré « rejouer à la crapette ».
La présidente replonge encore dans l'épais dossier : « Quand on lit vos auditions, on se croirait dans un film… D'horreur hein, soyons clairs ! » Mickaël, qui n'a décidément pas peur du ridicule, ose : « On a longtemps cherché à le mettre dans une association mais il n'y avait plus de place ! […] Que ce soit clair, on voulait pas le faire souffrir ! Bon, il a souffert, d'accord. »
Aucun des prévenus n'avait jamais été condamné, hormis Mickaël, coupable de deux vols. Plaidoiries. Un des avocats de la défense explique : « Il n'y a pas eu de volonté de faire souffrir (tuer un animal est seulement passible d'une contravention, ndlr). Il n'y a pas d'actes de cruauté, il y a juste des pieds nickelés qui ne savaient pas comment tuer un animal. » La substitut du procureur requiert du sursis pour tout le monde : six mois pour Yves, huit pour Mickaël, dix pour Thibaut et douze pour Gwendoline.
Après le délibéré, la présidente estime que « ce que vous avez fait résulte d'un processus réfléchi et lamentable ». Restés ce soir-là dans la voiture, Yves et Mickaël sont respectivement condamnés à effectuer un stage de citoyenneté et 105 heures de travail d'intérêt général.
Pour les deux protagonistes principaux, Thibaut et Gwendoline, la sanction n'apparaît guère plus sévère : six mois de sursis et 105 heures de TIG pour le premier, huit mois de sursis et 140 heures de TIG pour celle qui sanglote encore à l'idée de « ne jamais pouvoir réparer (son) erreur ».
Il n’est pas rare de voir apparaître ce fameux mal de gorge qui vient vous surprendre chaque année à
la même époque.
Il y a une solution toute simple, un remède complètement naturel à faire soi-même pour se soigner :
Verser du thé dans un bocal combiné à des tranches de citron, du miel et du gingembre coupé en tranches.
Fermer le récipient et le mettre dans le réfrigérateur, une gelée se forme.
Pour servir, prendre une cuillère de cette gelée dans une tasse et versez de l’eau bouillante dessus.
Conservez au réfrigérateur 2-3 mois.
Portrait dans un monde minuscule, celui d'un scarabée accroché à sa brindille d'herbe