Fandeloup

Mon territoire... Ma porte ne se ferme pas car j'ai perdu la clé non pas la clé du bonheur mais celle de la porte il n'y a que de la douceur de la tendresse chaque mots ont une importance le temps passe vite mais l'amitié est là présente , quand l'amitié est acquis alors les portes resteront grandes ouvertes pas facile de trouver son chemin mais quand le chemin est là alors l'amitié ce n'est que du bonheur

Il fut un temps, il y a très longtemps, une belle planète bleue fut créée, et des animaux pour la peupler, pour décorer des paysages verdoyants. Malgré le nombre d’animaux, malgré le nombre de végétaux, ces sous-mondes vivaient en paix, avec l’instinct mais sans excès. Agréable à voir était la Terre, un trésor légué de père en père, monde d’harmonie et de beauté, rien ne semblait pouvoir la troubler. Il fut un temps, il y a longtemps, l’homme fut créé, petit nouveau-né, il fut ajouté à ce monde blanc. Malgré ses faiblesses physiques, malgré son instabilité psychologique, l’homme, dévoré par l’envie, a tout détruit ou tout soumis. Blessée est maintenant la Terre, condamnée à toujours se taire, monde de souffrance et de malheur, l'homme en elle a créé la peur

Je sais que ce texte n'est qu'une petite pensée Qui s'envole vers vous... mais une pensée peut Réchauffer comme un rayon de soleil Et égayer comme un bouquet de fleurs. Elle peut franchir de grandes distances Et peut transformer comme par magie toute une journée Une pensée qui exprime mon amitié Et vous dire que la votre m'est précieuse Je vous donne mon amitié sans compter... Je la donne sans juger... Je vous la donne et ça me plait... Pour moi c'est sacré... Ce plaisir de donner, de partager... Cette joie de passer vous voir mes ami(es) Chaque jour donner ... De la joie ,de la gaîté... De passer simplement vous saluer... merci pour toute cette amitiés partagée... Au grès de nos pensées... merci pour ce bonheur quotidien

Chaque nuit je suis entre le bonheur et la tristesse, mon bateau dérive sur une fresque. Lorsque je pleure je m’agrippe à mes larmes, ne t’ayants plus pour les chasser de mon âme. Chaque nuit je me sent de plus en plus seule, tu n’es plus près de moi pour me rassurer. Chaque nuit je suis de plus en plus terrifié, de ne plus me retrouver dans tes pensées. D’un regard oublié, perdu, j’ai cru t’apercevoir, c’était encore un de ces soirs de désespoir. Un soir ou les idées noir ne cessent de me tourner autour, en survolant mon inconscience comme des affamés vautours. Je rêve de toi parfois, et je crois même entendre ta voix. Mon téléphone toujours sur mes genoux, J’attends ton appel qui n’est plus réel. Laisse-moi un murmure sur mon oreiller, pendant que je suis encore éveillé. Donne-moi une dernière chance de pouvoir te toucher en ange, Je pourrais enfin réaliser que tu t’en est allé.

seulement se la cacher. Et se la cacher ne la modifie aucunement, mais la perpétue...

En Espagne, le Galgo est traditionnel- lement élevé pour la chasse dans le milieu rural. Les galgueros (proprétaires de galgos) organisent chaque année des concours de chasse au lièvre ("carreras el campos"), dans différentes régions.

 

Les lévriers sont lâchés en couples, le vainqueur est celui qui attrape le lièvre. Le vainqueur final est fêté fièrement avec ses maîtres.

 

Ces concours sont vivement dénoncés par certaines associations. Les perdants sont systématiquement éliminés de façon cruelle, proportionnellement à leurs performances, pendus (appelée de façon sordide "technique du pianiste": le chien est pendu long ou court selon ses performances pour résister plus ou moins longtemps à l'étranglement, prenant appui sur ses pattes arrières), jetés au fond d'un puits, empoisonnés, abandonnés sans pouvoir s'échapper (retenus), affamés, amputés, traînés derrière une voiture jusqu'à ce que mort s'ensuive, vendus comme appâts de pêche, utilisés comme cibles vivantes pour le tir, comme proie pour l'entrainement des chiens de combats.

 

Plusieurs dizaines de milliers d'entre eux sont ainsi sacrifiés tous les ans.

 

La législation en vigueur dans ce pays sur le droit des animaux ne serait pas appliquée envers les propriétaires. La fierté "bafouée" du chasseur dont le(s) chien(s) n'a/n'ont pas chassé à hauteur des exigences du propriétaire, autoriserait ce dernier à punir son ou ses chiens en les torturant et en leur imposant la mort qu'il choisit, le Galgo subissant cependant son sort et revenant parfois même vers son maître, amputé, éborgné...

 

De plus en plus d'Espagnols s'insurgent contre ces pratiques cruelles et souhaitent que les Galgueros soient sanctionnés lorsqu'ils maltraitent leurs chiens.

 

Le statut de ce chien est quasi nul en Espagne, ainsi est-il considéré comme une sorte d'outil pour les chasseurs, ne disposant d'aucun statut le protégeant comme les autres animaux de compagnie.

 

Il en résulte que, chaque année, des milliers de ces chiens sont abandonnés, suppliciés, mutilés et tués par leurs maîtres, en toute impunité.

 

De nombreuses associations françaises luttent contre cette barbarie en menant des campagnes de sensibilisation, en influant pour faire changer la législation et surtout en proposant à l'adoption des galgos de tous âges.

 

MESSAGE

pour manquement est un lévrier qui a eu la chance d'échapper à la corde qui pendait, tous le cou avec la plaie de la pendaison. C'est un mâle de l'année et moyens, très bon, aime jouer avec toutes sortes de chiens, sont sain d'être négatif dans l'analyse, cherche la réception de la maison ou à l'adoption, sont à Chiclana de la Frontera (Cadix) est envoyée là où elle est nécessaire, est livré vaccinés, chipado et stérilisé.

Contact : maluargar@gmail.com souriantes (Traduit par Bing)

Marchant seule sur cette plage déserte, J’écoute le chant des vagues en détresse. Elles sont remplies des soucis perdus, de ceux qui leur confient leur âme déchue. Elles m’apportent les joies, les peines, et leurs rêves, ainsi que tout ce que leur cœur espère. Je me penche soudain pour lui tendre la main, et d’une caresse sur mes pieds, elles me livrent leurs profondes pensées. Je ressens l’effluve de ces sentiments, qui envahit mon corps de tremblements ! Je la laisse doucement quitter le sable encore chaud, sans avoir prononcé le moindre mot.

J’aurais aimé une chanson, qui parle de moi, de ma passion, j’aurais aimé une chanson, où l’on ressent mes émotions. J’aurais aimé une mélodie, qui me d’écrit, parle de ma vie, Jjaurais aimé une mélodie, pour faire entendre tout mes cris. J’aurais aimé être cette chanson, pour y vibrer avec les sons, j’aurais aimé être cette chanson, pour l’entendre comme mon nom. J’aurais aimé être cette mélodie, pour mieux me sentir dans ta vie, j'aurais aimé être cette mélodie, parce que j’en fais partie.