Fandeloup

A TOUS

MERCI

Filles fleurs. Douces filles-fleurs, femmes des champs. Vous fleurissez dans la chaleur de l'été. Vous dansez en jouant avec le vent dans la délicatesse et la tendresse .Vous vous offrez à la caresse de celui qui est richesse. Celui qui vous aime pour accueillir votre bien-aimé qui vous réchauffe et vous étreint. Vous vous ouvrez à votre époux Le Roi-Soleil .Douces, tendres filles-fleur.s Vous êtes femmes des champs. Une célébration de la joie 

humour

Ma vie est un clavier de piano, où je marche en solo, dansant du noir au blanc, tantôt riant, tantôt pleurant. J’étire derrière moi, un long ruban de soie, où s’inscrivent chaque jour, mes peines . Il y a tant de fausses notes, que je trébuche et je tremblote, redoutant le faux pas, qui m’éloignera de toi. Mais je suis fatiguée, je ne peux plus déchiffrer, cette triste partition, rythmant des punitions. Je ne veux plus danser, je ne veux plus penser, simplement m'allonger, et puis me reposer.

Y'à comme un lézard... Toujours faire attention ou l'on marche ^^

Ne m’empêche pas de rêver, ne m’empêche pas de voler. Je suis perdue sur cette terre, abandonnée, trop solitaire. Mon monde est beau, mon monde est chaud. Si je ne rêve pas, mon cœur reste froid, Je manque de ton sourire, et ça me fait souffrir.

La mer est là, magnifique, imposante et superbe, avec ses bruits obstinés. Rumeur impérieuse et terrible, elle tient des propos étranges. Les voix de l'infini sont devant vous. Rien de la vie humaine.

Des mots qui caressent le silence qui blesse. Deux poussières dans l’Univers, touchées par la même lumière. L’une voulait juste rêver, l’autre, simplement fantasmer. Elles se sont désirées, peut-être même aimées. Mais à se repousser, elles se sont éloignées. L’équilibre est fragile, il suffit d’une brise. Aimer et s’en cacher, c’est dur à assumer. De simples mots, l’une attendait, une vérité elle espérait. Les saisons ont passé, et l’amour s’est fané. Dans le noir elle s’est cachée, de peur de dévoiler, au détour d’un regard, un geste ou un espoir. Ne reste au fond du cœur, qu’une douce lueur, de tendres souvenirs, qui ne pourront mourir. La vie est ainsi faite, de joies et de défaites, chacune laissant au cœur un bleu ou un bonheur. Dans l’univers, deux poussières, ont tenté une prière, et le ciel a pleuré, sur leur vœu refusé. Cachée dans ses pensées, où elle souhaite rester, elle ne sera pas l’erreur, qui ferait son malheur. Juste un doux souvenir, qui le fera sourire. Je ne sais qu’offrir des mots.