Fandeloup

 Quand tu tiens un rêve fermement dans ta main, tu verras que demain il se réalisera, tu remercieras le ciel d'avoir écouté ton cœur et tu plongeras un cour moment dans un océan de bonheur !!

Je dois me battre pour ceux qui tienne à me voir heureux, je dois combattre celles qui me brise mes ailes, je dois tenir mes sourires jusqu'à ce que le bonheur recommence à fleurir malgré ma douloureuse souffrance...

N’as-tu jamais fait un de ces rêves qui ont l’air plus vrai que la réalité? Si tu étais incapable de sortir d’un de ces rêves, comme ferais-tu la différence entre le monde réel et le monde des rêves ?

 Même un cœur criblé de balle peut encore saigner, tout n’est pas terminé tant que l’espoir perdure, malgré qu’au plus profond des entrailles de ce monde tout semble moribonde. Quand tu arrives au point de non retour, saches qu’une porte est toujours ouverte pour faire demi-tour. Tu peux rêver du noir, sourire à la mort. croire qu’elle te délivra du désespoir mais c’est pas en mourant que tu seras vraiment vivant, il faut briser tes chaines, relever la tête, fermer la fenêtre depuis laquelle tu voulais sauter. Il faut s’accrocher à ses rêves comme une mère à son enfant. Il y a forcément une lueur d’espoir dans les moments les plus amères de vos vies.

Fermes tes yeux et imagines le monde autrement, que les sentiments étaient sincères, que la beauté des choses n’étaient pas seulement dans la richesse mais aussi dans la misère. Imagines si tes rêves n’étaient pas que les ombres de ta lumière, qu’ils étaient une part de ton existence. Imagines que l’amour ne tourne pas autour du sexe et de l’argent, que le fil qui relie deux personnes l’une à l’autre n’était pas qu’un vulgaire vestige des mourants. Imagines, si la fin de toute forme de vie n’était que le commencement d’une vision en osmose avec le bonheur et le cœur. Imagines si l’espoir n’était qu’un reflet du désespoir. Imagines que les épines tombait des larmes, que l’espérance n’était qu’une arme pour mettre fin à nos vacarmes.

  L’amour entre deux cœurs n’est pas forcément un océan de malheur avec quelques petites îles du bonheur. Quand il est réciproque les montagnes peuvent ce jeter dans la mer. Quand il est aussi aimant que les yeux d’une mère, il peu être aussi claire que le bleu azur des cieux. Quand il est aussi virulent qu’un vent violent il peu être aussi doux et beau que le regard d’un ange qui t’ouvre ses bras pour éviter l’ouverture du tombeau…

Un œil ouvert veut se fermer pour ne plus voir les ’immondices de ce monde, un œil fermé veut l’ouvrir pour contempler la beauté de ce monde...

 L’univers est si grand et j’aimerais tellement le visiter pour me perdre dans l’immensité du ciel étoilé. M’isoler sur une planète sans que personne ne vienne me prendre la tête ou seul le silence et l’harmonie règnent en maitre. Me perdre dans mes pensées, ne plus rien attendre des gens, ne plus voir mon bonheur finir en cendre. Renaître des cendres comme le phénix, apercevoir le soleil à son zénith sans avoir besoin de jumelles. M’allonger sur un sol où les mauvaises herbes ne sont pas une gêne, où la peine n’est plus qu’un lointain souvenir, où la haine a laissé place à mon cœur qui saigne de l’intérieur.

 Une âme, qui brille parmi les étoiles, a toujours un cœur aimant un amour perdu, c’est ici que vos larmes restent à jamais. Dans les entrailles de l’espace seules les traces des beaux jours stagnent en attendant votre retour. C’est comme une chaine où il manque un maillon, elle ne se brise pas totalement mais pourtant elle vit en cherchant cette pièce manquante. Ah, les souvenirs c’est comme un cauchemar portant son regard, un regard si envoutant que mon cœur lui accorde son amour en chantant, sans se poser d’autres questions. Le passé est un piège qui nous empêche de construire les futures pyramides de notre avenir.