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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Publié à 15:34 par fandeloup Tags : message

fiv

Publié à 15:30 par fandeloup Tags : photo ange vie bonne homme chez france animaux mort chat animal chats
fiv

Le FIV ou Sida du chat

Le Virus de l'immunodéficience féline (VIF ou FIV, de l'anglais Feline Immunodeficiency Virus, appelé aussi le sida du chat ou syndrome d'immunodéficience acquise du chat) est génétiquement, morphologiquement, fonctionnellement et pathologiquement similaire au HIV, mais il n'y a aucun risque de transmission du chat à l'homme (les virus sont différents) ou à d’autres espèce s. La maladie est due à un lentivirus (sous-groupe des rétrovirus), c’est une maladie virale grave, mortelle. Elle est responsable d'une immunodéficience qui rend le chat vulnérable aux infections. La fréquence d'infection est variable suivant les populations de chats.

L'infection est rare chez les chats vivant en appartement car n'étant pas en contact avec d'autres chats, alors qu'elle est fréquente chez les chats errants (environ 11 à 15 % des chats des rues sont porteurs du virus, soit environ 1 million de chats en France). Les chats sans famille vivent en moyenne 3 à 4 ans et, généralement, ne sont pas infectés avant l’âge d’un an, ce qui explique que peu d'individus vivront «assez longtemps» pour mourir de l'infection FIV, contrairement aux chats qui ont un foyer où ils sont bien soignés, d'où un faible impact du virus dans les populations naturelles rurales.

En fait, le chat domestique n’est pas le seul félidé atteint par le FIV. Dix espèces de félins sauvages au moins sont affectées par des souches virales spécifiques : lion, jaguar, puma, tigre, panthère, guépard, lynx, léopard, chat à tête plate et manul. Pour les autres espèces, on ne dispose pas d’un nombre d’individus testés suffisamment élevé pour conclure. La contamination des félidés sauvages peut-être préoccupante car certains d’entre eux sont menacés localement de disparition.

Quels sont les signes ?

Parmi les symptômes à surveiller, on note : une diminution de l’appétit, des vomissements, de la diarrhée, une perte de poids, de la faiblesse, des morsures, des plaies infectées, de la fièvre, des ganglions enflés, etc. On peut notamment observer : des symptômes généraux : fièvre, amaigrissement, augmentation de taille des ganglions lymphatiques des infections buccales (gingivite, stomatite) ; des diarrhées chroniques qui ne guérissent pas malgré la mise en place de traitements ; des infections des yeux (conjonctivites) ou de l'appareil respiratoire supérieur (rhinites, trachéites) ; des abcès cutanés récidivants ; des troubles nerveux (encéphalite, convulsions) ou des troubles comportementaux. Enfin, lorsqu'un chat est atteint par le FIV, il développe souvent, surtout en phase terminale, des cancers du sang (comme des leucémies).

Transmission. On observe que les infections sont plus nombreuses pour les chats vivant en liberté à l’extérieur que pour ceux évoluant dans des environnements fermés. Le principal moyen de transmission est la morsure lors de bagarres entre chats (car le virus est présent dans la salive), c'est pourquoi ce sont principalement des chats mâles non stérilisés qui sont contaminés, le plus souvent lors de combats pour un territoire ou pour la reproduction. Il peut également parfois se transmettre entre chats lors de contacts fréquents et répétés (lors de léchage mutuel, de "nez à nez", de partage de la gamelle ...) ou par voie sanguine. Il peut exister également une transmission par voie sexuelle ou lors de la gestation (de la mère aux chatons), mais aucune certitude n'est établie au sujet de la transmission fœto-maternelle.

Le virus est très fragile dans le milieu extérieur : il y survit quelques dizaines de minutes maximum. La contamination des lieux (par des objets, par le sol) est presque impossible, surtout s'il y a une désinfection sérieuse après le passage de chaque chat. Votre vétérinaire peut vous aider à donner les soins appropriés à votre chat. Grâce à une détection précoce de l’infection, il est possible de maintenir votre chat en santé et de prévenir la transmission de l’infection à d’autres chats. La prévention et le dépistage de la maladie. Les virus du FIV et du FelV sont les causes majeures de maladie et de décès chez les chats. Ils affaiblissent le système immunitaire. Ils sont transmis d’un chat à l’autre car sont tous deux contagieux. Souvent, ils ne créent pas beaucoup de signes apparents et même des chats qui semblent en bonne santé peuvent être porteurs de l’infection et transmettre les virus à d’autres chats. Ils ne se transmettent pas à l’humain. Une mère infectée peut infecter ses chatons.

Sans test, on ne peut pas savoir si un chat est infecté ou pas et si on ne connaît pas le statut d’un chat, il peut être porteur et transmettre la maladie à d’autres chats. Il est donc important de dépister cette maladie surtout chez les animaux à risque (chats mâles entiers, chats errants, origines inconnues ou parents sortant et/ou non testés) et les nouveaux arrivants. Cela est notamment indispensable dans les élevages ou les chatteries. Le dépistage peut être réalisé par votre vétérinaire : c'est un simple test qui nécessite deux gouttes de sang de votre chat et dont le résultat est disponible en dix minutes,Il teste également la leucose (test FIV et FeLV).

Même si la contamination n'est pas systématique et que plusieurs chats peuvent vivre avec un chat infesté pendant longtemps sans être contaminés, la prévention la plus efficace passe par l'évitement de tout contact entre chats. Il est aussi recommandé de faire stériliser les chats (mâles ou femelles) qui sortent afin d'éviter les bagarres (et donc les morsures) et la transmission vénérienne du virus. Un vaccin contre le FIV est commercialisé en Amérique du Nord depuis quelques années. Son efficacité est incomplète et son utilisation encore controversée.

En Europe, il n'y a pas de projet de commercialisation de ce vaccin qui a été développé avec des souches virales présentes essentiellement en Amérique du Nord. L'évolution de la maladie et les symptômes. Comme pour le sida humain, l’infection par le FIV s’effectue en deux temps : une phase de pénétration du virus, puis une phase de propagation du virus dans l’organisme de l’hôte. Après quoi, le virus reste inactif pendant une longue période pouvant aller jusqu’à plusieurs années (d’où le nom de lentivirus), jusqu’à ce que la machinerie cellulaire prenne en charge les gènes viraux et produise de nombreux virions.

La surface des lymphocytes s’en trouve modifiée et ceux-ci ne sont plus reconnus par les autres cellules protectrices du sang, qui les attaquent et les éliminent, créant ainsi un état d’immunodéficience. La succession des différentes phases pathologiques induites par le FIV est semblable à ce qu’induit le HIV chez l’homme. La durée d'incubation est de 4 à 6 semaines.

La maladie comporte plusieurs phases.

1re phase de la maladie : Primo-infection : Un mois environ après la contamination, le chat développe un syndrome mononucléosique. Il est alors porteur chronique du virus et d'anticorps, il est potentiellement contagieux. On peut observer une fièvre modérée, une baisse du taux des globules blancs et une augmentation légère de la taille des ganglions lymphatiques. Cette phase dure deux mois environ et passe souvent inaperçue.

2e phase de la maladie : Stade de séropositivité asymptômatique. Comme pour la leucose féline (FeLV) ou le SIDA de l'homme (HIV), le chat est séropositif et ne présente aucun symptôme, le virus « sommeille » dans son organisme. Il est par contre contagieux pour les autres chats. Cette phase est d'une durée très variable, entre 5 et 10 ans environ. Le chat est apparemment en bonne santé mais il peut transmettre l'infection. Les signes cliniques apparaissent progressivement.

3e phase de la maladie : Phase des lymphadénopathies : elle correspond à un développement excessif de la taille l’ensemble des ganglions lymphatiques. Elle persiste en général moins d’une année. A la faveur d'un stress important, d'un affaiblissement ou bien sans aucune raison, le chat devient malade. Le virus se « réveille ». Il se multiplie et détruit des globules blancs (cellules sanguines), nécessaires à la défense du chat contre les maladies. Il y a donc une diminution des défenses immunitaires ce qui rend le chat très sensible aux microbes, même ceux qui sont peu dangereux pour des chats non atteints par le FIV.

Le chat est donc très souvent atteint par des maladies dites opportunistes : ce sont des maladies qui profitent de l'affaiblissement de l'animal pour se développer. Il peut également développer des maladies dites "classiques" du chat, il est alors atteint plus gravement qu'un chat négatif pour le FIV. Le chat peut donc présenter des maladies très variées qui peuvent toucher par exemple les voies respiratoires, la bouche, les intestins, les voies urinaires... 4e phase de la maladie : Le stade ultime est souvent subdivisé en deux sous-parties :

l’ARC (pour AIDS Related Complex) consiste en l’apparition de symptômes associés à la lymphadénopathie du stade précédent, et le sida, caractérisé par une perte de défenses immunitaires favorisant l’apparition de maladies opportunistes. Cette phase terminale causera la mort à brève échéance : un chat atteignant ce dernier stade a une espérance de vie de un à six mois. Comme pour le HIV, seul un traitement palliatif peut être utilisé et ce au niveau expérimental exclusivement. Le traitement de la maladie. Il n'existe aucun traitement pour détruire le virus FIV. La seule possibilité pour améliorer la vie du chat est de traiter les maladies opportunistes au fur et à mesure qu'elles atteignent le chat. Mais, les récidives sont souvent très fréquentes. Et une fois que le virus est « réveillé », le pronostic est malheureusement sombre pour le chat à court ou moyen terme.

CONCLUSION: L'infection par le F.I.V. est une maladie grave, incurable et mortelle. Il est fortement conseillé de faire pratiquer, par votre vétérinaire, un test de dépistage à votre chat si celui-ci est issu de chats errants et/ou a été trouvé dans la rue, s'il a été en contact avec d’autres chats, s’il provient d’un élevage qui ne pratique pas de tests ou s'il présente des problèmes de santé récurrents (abcès, diarrhée, gingivites…). La meilleure façon d'éviter le risque de contamination et de ne pas laisser sortir votre chat sans surveillance et de ne pas le mettre en contact avec des congénères à moins d`être sure et certain que les animaux en contacte sont sain et sans la maladie.

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Publié à 14:28 par fandeloup Tags : message

carré

Publié à 14:25 par fandeloup Tags : vie chez france animaux chien animal chiens
carré

Maladie du Carré chez le chien.

La maladie du Carré, appelée également maladie du jeune chiot est une maladie virale due à un Morbillivirus, un paramyxovirus proche de celui de la rougeole humaine. Cette maladie découverte en 1905 par le vétérinaire Henri Carré affecte principalement les canidés (loup, chien, renard) et certains mustelidés (furet, vison) mais elle peut également toucher les che vaux chez qui elle est particulièrement contagieuse.

Depuis que les animaux sont vaccinés la maladie est de moins en moins fréquente, mais elle peut toucher tous les carnivores. En France, la loi du 22 juin 1989 la classe comme vice rédhibitoire pour les chiens. Symptômes. Les premiers signes de la maladie sont respiratoires : écoulements oculaire et nasal, toux. Ensuite on observe un abattement, une perte d’appétit, des vomissements et des diarrhées. Dans les derniers stades de la maladie, les chiens peuvent présenter un épaississement cutané au niveau de la truffe et des coussinets (on parle d’hyperkératose). Les chiens qui survivent présentent parfois des complications neurologiques, par exemple des crises convulsives. On observe 3 phases dans l'évolution de la maladie :

La phase invasive : Le virus qui a pénétré dans l'organisme, et s'est multiplié, se dissémine en 2 à 5 jours, provoquant l'apparition d'une hyperthermie (40 à 41°C) avec une perte de l'appétit, un début d'écoulement de liquide au niveau de la truffe et des yeux, et un abattement.

La phase d'état : Celle-ci est, en général, séparée de la phase précédente par une période de 24 à 48 heures, où la température redevient normale. A la phase d'état la fièvre remonte jusqu'à environ 40°C et reste élevée. L'écoulement oculaire et nasal devient plus épais et jaunâtre, des éruptions d'aspect vésiculo-pustuleux peuvent apparaître, dans les zones à peau fine (zone ventrale). Suivant que le virus a envahit tel organe ou appareil la symptomatologie sera différente et l'on pourra avoir : des formes respiratoires (bronchite, pneumonie, toux...), digestives (diarrhées, vomissements), catarrhales (écoulements purulents), cutanées (durcissement des coussinets, de la truffe), nerveuse (tremblements, paralysie...).

La phase terminale : Quelques cas rares et bénins aboutissent à la guérison, mais souvent avec des séquelles nerveuses diverses, dentaires ou respiratoires. La convalescence est longue. Transmission. Le virus se propage essentiellement dans l'air et peut être transmis au moment d’un contact rapproché dit nez-à-nez. La période d’incubation (durée qui précède l’apparition des signes cliniques) peut durer jusqu’à trois semaines. Le virus ne survit pas facilement dans l’environnement et est détruit par les désinfectants usuels.

Traitement. Actuellement il n'y a pas de traitement spécifique de la maladie de Carré. L'hospitalisation est souvent nécessaire et vise à agir sur les troubles digestifs, respiratoires, nerveux... et sur les complications infectieuses éventuelles. L'administration de sérum et d'immunoglobulines peut être envisagée dans le cas de chiots nouvellement ou incomplètement vaccinés, et ayant été en contact avec un animal suspect de maladie de Carré. Cette immunité est dite passive mais immédiate, elle dure 15 jours environ. Prévention. Il est essentiel de vacciner le chien contre la maladie de Carré, conformément aux recommandations de votre vétérinaire.

Les chiots nés de mère vaccinée disposent d’anticorps d’origine maternelle qui les protègent de l’infection pendant les premières semaines de vie. Le danger survient lorsque le niveau d’anticorps maternels diminue. A ce moment-là le chiot doit être vacciné. Même si des perfusions peuvent être utiles pour compenser les pertes dues aux vomissements et aux diarrhées, il n’existe pas de traitement spécifique pour la maladie de Carré. La meilleure protection contre ce virus reste donc la vaccination. Dans tous les cas, si vous suspectez une maladie du Carré chez votre animal, consultez rapidement votre vétérinaire.

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Publié à 13:45 par fandeloup Tags : message

symptome

Publié à 13:41 par fandeloup Tags : merci bonne chez chien rose animal chiens
symptome

Comment savoir si son chien est malade

Chaque maître s'est déjà posé cette question : comment savoir si mon chien est malade, quels sont les symptômes qui me permettront de le détecter. Voici quelques conseils utiles que nous souhaitons vous faire partager. Détecter un chien en bonne santé. Un chien en bonne santé a une température de 38 à 39°C, une fréquence respiratoire de 15 à 20 respirations par minute, et une fréquence cardiaque de 80 à 120 battements par minute. Ils ont les muqueuses roses (gencives, langue, intérieur des paupières) et un temps de remplissage capillaire de moins de 2 secondes.

Pour évaluer le temps de remplissage capillaire, pressez la gencive avec le doigt, cet endroit va pâlir, mais redeviendra rose dès que vous retirez la pression. Le temps entre le relâchement de la pression et le retour d’une couleur rose est le temps de remplissage capillaire. Il donne une idée de la perfusion tissulaire. La peau du chien doit être souple, ce qui indique une bonne hydratation et leurs yeux sont clairs et lumineux

Un test rapide pour l'hydratation est de tirer doucement la peau de la nuque. Quand vous laissez aller, si la peau semble coller ensemble le chien est déshydraté. L'importance d'observer et de manipuler son chien. Les propriétaires qui observent et manipulent leurs chiens en bonne santé ont une longueur d'avance sur la reconnaissance des premiers signes de maladie. Ceux qui savent ce qu'est un chien en bonne santé peuvent repérer des différences dans le comportement et le corps et déterminer si une visite chez le vétérinaire est nécessaire.

Les symptômes d'un chien malade. Si un chiot ou un chien présente l'un des signes suivants, vous devriez appeler votre vétérinaire. Température : inférieure à 38 °C ou supérieure à 39°C Respiration : toux, éternuements, respiration irrégulière, essoufflement, haletant prolongé ou lourd, etc Fréquence cardiaque : supérieure à 140 battements par minute au repos ( à mesurer à l’avant et ventralement au niveau du thorax)

Activité intestinale : nausées, vomissements, changement de couleur et de consistance des selles, fréquence de défécation, sang dans les selles, parasites, changement dans la quantité de l'apport alimentaire, Système urinaire : changement dans la consommation d'eau, changements des urines (Couleur, Fréquence, Odeur, etc) -Yeux : enflure, écoulement, rougeur, etc -Nez : écoulement, croûtes, etc -Oreilles : écoulement, débris, odeur, démangeaison, secouement, etc Changement de poids corporel. Peau : blessures, tumeurs, perte de poils, squames, changement de couleur, prurit (démangeaisons), preuve de parasites, léchage excessif

Changements de comportement : -Dépression. -Anxiété. -Fatigue. -Léthargie Manque d`énergie). -Sommeil excessif. -Tremblement. Conseil: Notez quand le symptôme est apparu, s'il est intermittent, continu, ou en augmentation de fréquence.Faite mention de tout signe anormaux de votre animal.Cela aidera aux diagnostique. Ne tardez pas,au moindre doute consulté votre vétérinaire. Comme le dit le dicton: Mieux vaut prévenir que guérir.

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Publié à 12:38 par fandeloup Tags : message

parvovirose

Publié à 12:33 par fandeloup Tags : chien bonne chiens vie chez animaux animal
parvovirose

La parvovirose canine ou gastro-entérite hémorragique viral.

La parvovirose (ou gastro-entérite hémorragique) est une maladie virale du chien et des autres canidés (loup, renard…), très contagieuse et fréquemment mortelle. Elle est due au parvovirus canin (CPV). C'est un tout petit virus très résistant dans le milieu extérieur ainsi qu'à de nombreux désinfectants. La contagion se fait donc pri ncipalement dans le milieu extérieur souillé par les selles de chiens malades. Les animaux atteints sont surtout les chiots, les chiens adultes non vaccinés et les chiens en collectivité (élevage). Les symptômes.

Chez les jeunes animaux, principales victimes de la maladie, les symptômes sont fulgurants : le chiot est atteint d'une diarrhée hémorragique (qui contient des caillots de sang) d'odeur nauséabonde caractéristique. Des vomissements sont également possibles. Le chien présente de la fièvre, est très abattu et se déshydrate très rapidement.

Le virus s'attaque également aux globules blancs du sang, ce qui entraîne une baisse des défenses de l'organisme et donc une sensibilité accrue aux autres infections notamment bactériennes.Chez les chien adultes, les symptômes sont identiques mais en général moins marqués. Le diagnostic Il se fait sur la base des symptômes et sur leur évolution fulgurante. S'il le souhaite, le vétérinaire peut confirmer son diagnostic par: un test de dépistage sérologique possible par prise de sang sur les animaux non vaccinés, # un test directement effectué sur les selles qui permet de mettre en évidence le virus. On peut aussi parfois observer une baisse des globules blancs du sang. Le traitement et l'évolution. Il nécessite toujours une hospitalisation avec des soins intensifs: mise sous perfusion, antibiotiques, anti-vomitifs, pansements digestifs… La maladie est souvent rapidement mortelle chez les chiots, en deux à cinq jours.Les adultes développent rarement une forme grave, mais nécessitent toujours un traitement attentif. La prévention. Il faut bien sûr éviter tout contact avec un animal malade. Il existe un vaccin que l'on pratique dès la huitième semaine. Il consiste en deux injections à un mois d'intervalle. Le rappel se fait tous les ans ou tous les deux ans suivant le risque évalué. Dans les élevages ou dans les zones à risque, on peut utiliser d'autres protocoles (vacciner plus tôt, dès l'âge de six semaines, et pratiquer trois injections…). La Législation. La parvovirose canine est un des vices rédhibitoires chez le chien. C'est une des maladies soumise à des obligations légales de la part du vendeur, visant à protéger le client. Si un chiot est vendu malade ou porteur du virus, il doit être rendu et sera intégralement remboursé par le vendeur. Il existe, pour chaque maladie, un délai de garantie spécifique, correspondant au temps de développement de la maladie. Au delà de ce délai, on ne peut pas prouver que le chien a attrapé la maladie chez le vendeur qui n'est alors plus responsable. Le remboursement n'est alors plus possible. Un délai d'action en rédhibition de 30 jours permet de porter plainte auprès du vendeur si un certificat de suspicion a été fait par un vétérinaire dans le délai de garantie (5 jours pour la parvovirose), et si la maladie est diagnostiquée de façon définitive. Le diagnostic doit donc être fait par un vétérinaire dans les cinq jours suivant l'acquisition. Vous pourrez alors,avec ce certificat, lmettre en route votre une en rédhibition. Conclusion. La parvovirose canine est une maladie très grave, très contagieuse et rapidement mortelle. Il est donc indispensable de vacciner les chiots dès leur plus jeune âge et de poursuivre cette vaccination toute la vie de l'animal. En cas de diarrhée chez un chiot nouvellement arrivé, n'hésitez pas à consulter un vétérinaire.

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Publié à 11:51 par fandeloup Tags : message

naitre

Publié à 11:46 par fandeloup Tags : monde
naitre

Le monde dans lequel nous pénétrons en naissant est brutal et cruel , et en même temps, d'une divine beauté