Fandeloup

A TOUS

Instant tendresse

Il faut beaucoup de temps pour enterrer un souvenir mais tellement peu de choses pour qu'il ressurgisse

L évasion ... Le calme

Le souvenir d'une certaine image n'est que le regret d'un certain instant

POUR EN FINIR AVEC LA CRUAUTÉ EN IRLANDE! (MESSAGE  A COPIER/COLLER ET A ENVOYER AUX ADRESSES MAILS INDIQUÉES EN BAS DE L'ARTICLE. MERCI.)

Alors que le parlement irlandais procède à la révision de sa loi sur le bien-être animal, One Voice se mobilise dans la campagne pour l’abolition des sports cruels en Irlande. Sont notamment concernés la chasse au renard, la course au lièvre et le déterrage des renards. Malgré l’offre pléthorique d’activités et de divertissements, certains humains continuent, pour leurs loisirs, de pratiquer des activités cruelles sur animaux. Souvent en se présentant comme les défenseurs de la nature. Il en va ainsi de la chasse (http://www.one-voice.fr/loisirs-et-compagnie-sans-violence/modes-de-chasse-en-france-une-variete-de-mises-mort/) et de certaines pratiques qui l’entourent. En France, mais aussi dans d’autres pays d’Europe comme l’Irlande où les renards et les lièvres sont les victimes de « sports » indignes de notre humanité. La vie pour un pari En juin dernier, One Voice s’était déjà mobilisée pour demander l’abolition de la course aux lièvres (http://www.one-voice.fr/loisirs-et-compagnie-sans-violence/mettons-fin-a-la-course-au-lievre/) en Irlande. Cette pratique qui consiste à lâcher des lévriers, notamment, et un lièvre dans un enclos est source de traumatisme et de blessures graves, souvent mortelles, pour le lièvre. Grâce au lobbying des défenseurs des animaux et au désintérêt grandissant de la part des Irlandais, ce loisir cruel est en perte de vitesse mais survit néanmoins avec le soutien de certains sponsors. Traumatiser et tuer La chasse en revanche, même si elle recrute moins que par le passé, se perpétue et avec elle son lot de souffrances animales. En Irlande, le renard est l’objet de chasse à courre (http://www.one-voice.fr/loisirs-et-compagnie-sans-violence/pour-la-fin-de-la-chasse-courre/). La veille de la chasse, quand l’animal est lui-même parti en quête de nourriture, les chasseurs obstruent l’entrée de sa garenne (terrier) de manière à ce que lorsqu’il sera poursuivi par la meute de chiens et de cavaliers il ne puisse leur échapper. Les suiveurs de la chasse jouent également un rôle cruel dans cette partie, en pratiquant le déterrage des renards. Sans issue En effet, si un renard réussit à échapper aux chasseurs et à se réfugier dans une garenne, les suiveurs, souvent accompagnés de chiens à moitié affamés – généralement des terriers – vont le traquer dans son terrier. A l’aide d’une pelle, ils vont suffisamment ouvrir l’entrée du terrier de manière à glisser le chien à l’intérieur de la cavité. Acculé, le renard n’a d’autre issue que d’attaquer le chien, qui en ressort blessé, ou se faire attraper par le chien qui est ramené à la surface, le renard vivant entre les dents. Si le chien ne réussit pas à le débusquer, les suiveurs utilisent alors une perche entourée de fil barbelé pour le sortir de son trou. Souvent gravement blessé, le renard est ensuite jeté, encore vivant, à la meute de chiens qui le met en pièce. Abolir pour rétablir la paix Au XXIème siècle, l’humain ne peut-il se distraire, renouer le lien avec la nature, autrement qu’en faisant souffrir les animaux ? One Voice pense qu’il est plus que temps de mettre un terme à ces pratiques peu glorieuses pour l’espèce humaine. En Irlande, des voix s’élèvent pour dénoncer ces traditions indignes de la nation, y compris au cœur du gouvernement. La loi sur le bien-être animal actuellement en cours de discussion dans ce pays offre une occasion unique de rétablir un lien respectueux avec ceux qui partagent la Terre avec nous. En interpellant chacun des membres du comité travaillant sur la future loi pour leur demander l’abolition des sports cruels, nous pouvons faire pression sur le gouvernement irlandais et contribuer à tisser le lien de paix au centre de la Vie.

Agir maintenant Merci d’envoyer le messagrsuivant ::

Madame, Monsieur, Instamment, je vous demande d’apporter les modifications visant à rendre illégales dans la nouvelle loi sur le bien-être animal les pratiques cruelles telles que la chasse au renard, le déterrage des renards et la course au lièvre. Ayant eu connaissance de ces pratiques, je suis consterné(e) d’apprendre que l’Irlande autorise encore de telles cruautés. Veuillez agréer mes salutations distinguées, …)

À ces destinataires : tom.barry@oireachtas.ie, pat.deering@oireachtas.ie, andrew.doyle@oireachtas.ie, martin.ferris@oireachtas.ie, martin.haydon@oireachtas.ie, colm.keaveney@oireachtas.ie, michael.mcnamara@oireachtas.ie, eamon.ocuiv@oireachtas.ie, thomas.pringle@oireachtas.ie Source http://www.one-voice.fr/loisirs-et-compagnie-sans-violence/pour-en-finir-avec-la-cruaute-en-irlande/ Merci @ tous d'agir et de partager en masse! Solidarité Animale et Planétaire À ces destinataires :

Parti trop tôt . . . parti trop jeune . . . parti avant son heure . . . ou . . parti tout simplement . . . mais pourquoi eux ??? trop de questions . . En regardant le ciel, on se dit qu'ils veillent sur nous. On pense souvent à eux . . . Le matin . . . Le midi . . . Le soir en regardant les étoiles . . . la lune . . . Une date . . . Une chanson . . Un endroit . . . Une odeur . . . Une photo . . . et une larme qui s'échappe . ... En mémoire de ceux qui nous ont quittés partagez ce texte sur votre page si vous aussi quelqu'un vous manque

Un jour, un homme rentre du travail pour trouver le chaos qui règne à la maison. Ses enfants, encore en pyjama, jouent dans la boue du jardin. Sur le gazon, tout autour de la maison, il y a des cartons de repas congelés et des boîtes de jus par terre. Quand il entre dans la maison, c'est encore pire : La vaisselle sale est éparpillée dans toute la cuisine, le repas du chien est renversé sur le sol , la vitre est brisée et traîne par terre sur une grande surface et il y a du sable par terre, sur la table de la cuisine et les meubles. Dans la salle de séjour, il trouve des jouets, des vêtements et une lampe renversée. A ce moment, l'homme a très peur qu'un malheur ait touché sa femme. Il se précipite au second étage et là, stupéfait, il trouve sa femme encore en pyjama assise dans le lit en train de lire un livre. Elle se retourne en souriant et lui demande :

- Comment était ta journée ?

- Que ! s'est-t-il passé ici aujourd'hui ?

Souriante...

- Tu sais, chaque jour en rentrant, tu me demandes ce que j'ai fait durant la journée et quand je réponds que je me suis occupée de la maison et des enfants... Tu me dis :

- C'est tout ?

-Eh bien, aujourd'hui, je n'ai rien fait

Ailleurs, une autre vision, un autre horizon, une autre raison de vivre, sous un autre ciel, un plus beau soleil où rien n’est vraiment pareil. Trouver sur la terre l’endroit où espèrent les fous, les solitaires, vers d’autres habitudes, quelque part au Sud où la mer nous enivre. Infiniment loin, peut-être tout près, peut-être en dedans, tu trouveras l’envie. Ici ou ailleurs, d’où viennent les saisons gorgés d’émotion, une autre façon de vivre, dans un paysage où tourner la page, trouver la route à suivre. Se donner la chance que tout recommence, l’illusion d’être libre. S’envoyer au large, ouvert au messageque le vent nous délivre. Infiniment loin, peut-être tout près, peut-être en dedans, tu te donnes à la vie. Larguer les amarres, violer les frontières, un nouveau départ, voguer la galère, braver l’océan, sortir du désert, quitter le néant, changer de repère. Ici ou ailleurs. De quel pays perdu, rêves-tu en secret, ce décor idéal, là où l’on t’attendrait. Rencontrer le bonheur et puis l’apprivoiser, aucune ombre n’oserait t’empêcher de briller. Ce merveilleux voyage repoussé à demain ressemble à ce passage à coté de ta main. Embrasser la chance que tout recommence. L’illusion d’être libre.

les voeux que l'on fait le vent les emporte, les fleurs que l'on sème chacunes se récoltent en soi même, au fil des saisons tourne le monde mais tjrs revient le temps du bonheur.