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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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langage

Publié à 20:51 par fandeloup Tags : monde
langage

Ce monde est ce que nous en avons fait. S'il est sans pitié aujourd'hui, c'est parce que nous l'avons rendu impitoyable par nos comportements. Nous ne pouvons changer le monde que si nous changeons nous-memes, et cela commence par notre langage et notre façon de communiquer

Les canots de sauvetage

Publié à 20:45 par fandeloup
Les canots de sauvetage

Lors de son arrivée à New-York, le Carpathia va mettre un point d'honneur à débarquer les rescapés du Titanic sur le quai de la Cunard, sa compagnie mère. Les canots de sauvetage vides vont en revanche être livrés sur le quai de la White Star Line, la compagnie du Titanic

horreur

Publié à 20:36 par fandeloup Tags : chien chiens homme moi histoire nuit mort texte voiture revenu oiseaux
horreur

Histoire tragique des Galgos martyrs !!!!!!!!!!!!!!!!! Le Pianiste: cette histoire qui a fait le tour malheureusement de tous les sites est une réalité et je le transmet pour les non initiés encore. Nous devons relayer et sensibiliser les gens autour de nous sur le sort qui leurs est réservés chaque années pour des milliers d'entre eux en Espagne.

C' était un bout de terrain presque plat, une saignée dans la forêt, les hommes étaient là, en groupe. Ils fumaient des cigarettes mal odorantes qu'ils roulaient tout en plaisantant. Nous, les galgos, on était au pied. Les oreilles agitées, attirées par les mille bruits de la forêt. Un peu excités aussi, par l'odeur du lapin qui était là, à quelques pas, dans la cage grillagée. On sentait sa peur. Elle nous attirait, comme un aimant. Les hommes se sont mis en rang, chacun avec un galgo serré entre leurs cuisses, les colliers de corde ou de fil de fer étaient solidement tenus.

Le mien entrait douloureusement dans la peau de mon cou. Puis, ils ont ouvert la cage. Affolé, il a surgi à la vitesse de l'éclair. Au signal, les galgueros ont lâché les colliers. J'ai ressenti une vive douleur à la queue. Pour me faire " démarrer " plus vite, mon maître l'a entaillée avec son couteau. Comme mes frères de course, je porte des dizaines de stigmates de ces coupures. Cela ne me fait pas courir plus vite, mais mon maître ne semble pas s'en rendre compte.

Alors, j'ai couru. Couru de toutes mes forces, couru de tout mon être. Je voulais l'attraper cette petite boule de fourrure beige qui s'agitait frénétiquement devant nous, changeant sans cesse de trajectoire pour nous tromper. Le sang battait à mes tempes et je sentais l'air s'engouffrer dans ma large poitrine après les premières secondes où j'avais retenu mon souffle. Mais je suis un coursier. Un chasseur et un coursier, et je ne le quittais pas du regard. Je percevais son affolement. Les hommes criaient, tapaient dans les mains, criant les noms des chiens qui couraient pour eux. J'étais presque sur lui, je recevais de minces giclées de poussière soulevées par ses pattes.

Et puis, il y a eu cette motte de terre qui a cédé sous ma patte, j'ai perdu l'équilibre un instant, mais je ne suis pas tombé. Blas, un grand galgo noir en a profité, il m'a devancé et a attrapé le lapin. Il l'a secoué dans sa gueule, en sautant en l'air de plaisir. Je me suis approché, mais il a grogné. Il était le vainqueur. Les hommes sont arrivés en courant, ils ont retiré son trophée à Blas. Il a aboyé. Il a reçu un coup de fouet.

Mon maître était furieux, je l'ai vu donner des morceaux de papiers au maître de Blas. Il m'a attrapé par le collier, méchamment et a serré. J'ai gémi. Il m'a donné des coups de poings et des coups de pied. Ce n'était pas ma faute, je ne l'avais pas vu cette motte de terre, et puis, le plus important c'était bien que le lapin qui s'était échappé ait été rattrapé. Même par Blas ! En revenant vers les voitures, j'ai aperçu Libra. Elle se traînait sur trois pattes. Elle était tombée. L'os sortait de sa patte arrière droite, juste au-dessus de la cheville. Son propriétaire, un gros chasseur du coin l'a insultée, puis il l'a rouée de coups de pieds. Chaque fois que les coups atteignaient sa patte brisée elle hurlait. Il riait et il tapait encore plus fort. Puis il a donnée un coup de talon sur son dos. Elle n'a plus bougé. Plus gémi. Mais j'ai vu ses yeux. Elle était encore vivante. Ils l'ont laissée là.

Il y avait de la bière, les hommes ont bu en plaisantant. Le soleil commençait à chauffer. Mon maître m'a attaché au bout d'une corde et il m'a entraîné vers la voiture. Je suis monté à l'arrière, aidé d'un bon coup de pied dans les reins. Tout en conduisant, très vite malgré l'état de la route, il n'a pas arrêté de hurler après moi. De m'insulter. De temps en temps il se retournait et me frappait avec un bâton qu'il a toujours avec lui. Arrivé à la ferme, il m'a attaché. Très court. Je ne pouvais pas atteindre la vieille bassine pleine d'eau sale dans laquelle je bois habituellement. Il est rentré. Je l'ai entendu hurler encore.

Puis il est sorti, avec un fouet et il a commencé à me frapper. Je ne pouvais pas m'enfuir, tout au plus me rouler en boule. Le fil de fer m'étranglait et je suffoquais tandis que les coups pleuvaient sur mon dos, sur mes flancs.

Pourquoi ?

Au bout d'un moment il s'est calmé. Il est rentré. Le soleil cuisait mes plaies, les mouches se posaient sur moi, mais je n'avais même plus la force de les chasser.

Nina, une petite galga est venue lécher mes plaies. Je n'ai pas réagi. Cela apaisait un peu la brûlure. Mais elle ne pouvait rien faire pour ma gorge serrée et desséchée par la soif. Nina est là depuis longtemps, elle fait souvent des petits. Ils partent très vite. Elle est vieille maintenant, elle est très maigre. Elle est là depuis au moins cinq saisons de chasse. La journée a été longue. Le maître est parti à la chasse, avec Nina. Au soir il est revenu. Seul. Je ne disais rien, je ne faisais aucun mouvement, comme si j'avais voulu me confondre avec le sol. Mais il est revenu vers moi. Il m'a craché dessus et donné un coup de sa botte ferrée. Toute la nuit, j'ai grelotté, de froid, de fièvre, de douleur. Les tiraillements de ma peau déchirée rendaient chaque mouvement douloureux. Même respirer devenait un calvaire.

Au matin, il est venu vers moi, il avait une longue corde. Il m'a détachée, a passé la corde dans le fil de fer qui me sert de collier et il m'a traîné. Je pouvais à peine me tenir debout. Il m'a attrapé par le cou et par une patte et m'a jeté dans la voiture. J'ai hurlé. Il a ri. J'avais mal. Mais son rire m'a rassuré. En général, quand il rit, il ne frappe pas trop longtemps. Ou moins fort. Il a pris un chemin de montagne, un de ceux que nous prenons quand il m'emmène chasser. Mais jamais je n'aurai la force de chasser. Je ne peux même pas me remettre debout dans la voiture. J'ai glissé entre les sièges, sur le plancher et je ressens tous les cahots de la route empierrée. Il fait beau. Au loin j'entends des oiseaux chanter. Une abeille est venue se poser sur ma truffe. Je ne pouvais même pas la chasser. Elle s'est envolée. Il doit y avoir pleins de lapins par ici. Je sens l'odeur de leurs crottes. Il arrête la voiture. Il sort et fume une cigarette. Par la fenêtre j'aperçois la fumée bleutée qui s'élève, mais je ne le vois pas, ma tête posée sur le plancher de la voiture. J'entends sa botte qui racle le sol. Il écrase sa cigarette. Il fait toujours cela. Il ouvre sa porte et se saisit de la corde et il tire d'un coup sec. La douleur est fulgurante. Mon souffle est coupé. Il empoigne sans ménagement la peau de mon dos, comme le faisait ma mère lorsque j'étais chiot. Mais il me fait mal. Je ne suis plus un chiot. Il me jette part terre et il me traîne en me tenant par les pattes. Ma langue sort de ma bouche, je n'ai plus de salive et la douleur de ma gorge est comme un fer rouge. Il s'arrête enfin. Je sens alors les cailloux coupants du chemin qui ont ravivé mes plaies. Il me regarde. Me donne un coup de pied dans la mâchoire.

Pourquoi fait-il cela ?

Puis il saisit le bout libre de la corde et il le lance dans un arbre, en travers d'une branche. Je ne comprends pas ce qu'il veut faire. Puis il se met à tirer. J'essaie de bouger, de me mettre sur mes pattes, mais je suis trop faible et je retombe, sans force. Il tire toujours, je sens ma tête qui s'élève, la pression sur ma gorge est horrible. J'essaie d'aboyer mais je ne peux pas. Il tire encore, mes pattes de devant quittent le sol, je sens mes vertèbres tendues à se rompre. Ma tête est rejetée en arrière. Et j'aperçois Nina. Elle est là. A quelques mètres. Son corps noir et blanc tournoie à un mètre du sol. Sa langue sort entre ses lèvres et des babines retroussées lui font un rictus menaçant, elle qui n'a jamais résisté.

Mes pattes arrière touchent le sol. La souffrance est de plus en plus horrible. Mes antérieurs griffent désespérément l'air, je me débats, en vain. Mes cuisses sont tendues.Je veux vivre ! Je sens la tétanie qui les gagne, mes muscles tremblent. Le maître a allumé une cigarette. Il regarde. Il parle. Il me demande quel air je suis en train de lui jouer sur mon piano. Je ne comprends pas. L'air passe de plus en plus difficilement dans ma gorge. Une de mes pattes arrière vient de céder. La pression se fait encore plus forte sur mon cou. Je sens l'odeur des arbres, de la sève. Mais aussi l'odeur de l'homme, sueur, alcool, tabac et essence. Une odeur que j'ai appris à craindre. Il rit. Ma vision s'obscurcit. L'air ne passe plus. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là. Les oiseaux qui s'étaient tus se sont remis à chanter. Le soleil est haut dans le ciel. Je sens sa chaleur. Mais je ne le vois plus. Je n'en peux plus. Trop mal.

La délivrance.

Pour bien comprendre le titre de ce texte, il faut savoir que lorsqu'un galguero pend son chien, s'il a bien chassé ou bien couru, il s'arrange pour que sa mort soit rapide. Si, au contraire, le chien a mal chassé ou l'a déshonoré en perdant une course, il doit souffrir le plus longtemps possible. Le chien, pendu avec les postérieurs touchant le sol, pourra mettre des heures à agoniser. Ses antérieurs qui s'agitent évoquent, pour les galgueros, les mouvements d'un Pianiste sur son clavier. Ils utilisent aussi le terme de " Dactylo "

L'équipage du Titanic

Publié à 19:49 par fandeloup
L'équipage du Titanic

Les survivants de l'équipage du Titanic se voient remettre des vêtements secs à leur arrivée à New-York. Outre les critiques sur les manoeuvres du bateau, des questions émergent très vite sur l'évacuation. 189 membres d'équipage ont été sauvés, ce qui semble, en proportion, très élevé

capable

Publié à 19:39 par fandeloup Tags : voyage vie soi
capable

On doit être capable de tirer un trait sur son passé, être capable d'accepter le fait que le soleil ne puisse pas briller tous les jours et lorsque la tristesse et le malheur tisse l'horizon, il faut se souvenir, il faut se souvenir que c'est seulement quand les ténèbres nous entourent qu'on aperçoit les étoiles, il faut se laisser guider par leur lumières. Alors n'ayez pas peur de faire des erreurs, de trébucher ou de tomber, parce que le plus souvent, c'est lorsque l'on accomplit les choses qui nous effrayent le plus qu'on est le plus fier de soi. Peut être que la vie vous offrira à tous ce dont vous rêvez ou peut être qu'elle vous offrira plus que vous ne l'auriez jamais imaginé. Qui sait ce que l'avenir nous réserve. La route est longue mais au final le vrai but c'est le voyage lui-même

Margaret Tobin Brown

Publié à 19:06 par fandeloup Tags : mort
Margaret Tobin Brown

Margaret Tobin Brown, rescapée du Titanic, photographiée avant le naufrage et lors de son arrivée à New-York. Cette richissime américaine, philanthrope, va fonder le Comité des survivants et pointer du doigt le comportement de certains membres de l'équipage. Elle deviendra célèbre après sa mort sous le nom de "l'Insubmersible Molly Brown

echec

Publié à 18:55 par fandeloup
echec

Considérons nos échecs comme une expérience, un apprentissage... Ils seront ainsi une étape vers une autre voie... une prochaine réussite

Frederick Fleet, celui qui a vu l'iceberg

Publié à 18:42 par fandeloup
Frederick Fleet, celui qui a vu l'iceberg

Ce rescapé du Titanic a lui aussi une importance toute particulière : Frederick Fleet, marin britannique, est connu pour avoir repéré l'iceberg que le paquebot a percuté le 14 avril 1912. Après son alerte, le bateau va tenter de tourner pour éviter la collision. Du haut de son mât, il verra le choc et les premiers blocs de glace tomber sur le pont.

bb

Publié à 18:20 par fandeloup Tags : bébé
bb

Pour Pâques, un bb dans les bras....... pas dans une assiette!!!!!

Frederick Dent Ray

Publié à 18:16 par fandeloup
Frederick Dent Ray

Frederick Dent Ray, stewart du Salon de première classe, photographié après le naufrage. Ce dernier a lui aussi joué un rôle mystérieux lors de l'accident du Titanic. Il aurait transféré le contenu d'un certain nombre de coffres forts du bateau dans des sacs de toile qui ne seront jamais retrouvés après le sauvetage