Fandeloup

Dans ces rives de clair de lune où se fanent les étoiles, où ruissellent à pas feutrés nos rêves d’enfants, je t’aperçois sur le rivage des dunes  a t’habiller de candeur et d’insouciance, démêlant le vent pour y dénouer la pluie ,enchâssant la mer pour y cueillir une étreinte. Tu chevauches mes songes mouillés, lorsque perdue dans mes pensées, je ne sais plus rêver, lorsque mon cœur épris de toi dégèle les silences de nos parcours. Je me surprends à recueillir ta voix au fond de ces ondées d’étoiles glissant de mes yeux, a rêver de tes bras de lune autour de mon corps. Sur des passerelles d’écumes je tapisse tes soupirs dérobant aux rivages tes grains de rêves oubliés, noyant tes sourires dans des miroirs de larmes qui tambourinent au fond de mon cœur Gommant des airs d’étoiles en quête de rêvasseries, me surprenant à m’enivrer à ta vague captive…..

Vogue, vogue sur les lames de l’aurore .Mille feuillets d’écume portant mes adieux. Notre bateau ivre tanguant sur l’eau  a fait naufrage loin de mes rêves. Les vagues imprégnées d’amertume portent je crois, des couleurs de deuil. Le fleuve du chagrin noyé en ma peine, rempli l’urne de ma solitude. Où es-tu  mon ange, long est ce temps qui vagabonde sur l’eau ,se mirant au pouls de l’ombre. Les voiles du vent emmêlés de cordages claquent forts en leurs détresses. Je n’entends plus l’écho de ta voix murmurer à l’onde grise des je t’aime. Les paysages de mes yeux ne sont plus qu’une forêt de voiles sur la mer. Mort est mon cœur en longue agonie de larmes…..

Jeune femme ivre de la vie, qui n'attendait que la fin. Son chagrin l'entourait et sa douleur lui brulait les ailes, Pourquoi tendre vers le bonheur, alors que c'est le destin ? Qui pourrait l'aider à sortir de son enveloppe mortelle ? Jeune femme suivit alors le chemin qui se traça face à elle, Sans phare pour la guider, sans lumière pour l'éclairer. Seul son instinct pour la mener vers d'autres prairies, Où le soleil brillerait de mille éclats, en tout sérénité. Jeune femme cru que la vie pouvait être belle, accueillante et chaleureuse. Mais elle est sournoise, dangereuse elle apprit au dépend de sa vie. Jeune femme prise dans un élan de sympathie, alla explorer ça prairie, Mais embarqué par un courant d'air, percuta de plein fouet la faucheuse. Ironie tragique pour ce être emplit de raison, Mais qui, obstrué par l'aveugle envie d'être heureuse, Oublia à quel point la mort nous guette du fond des yeux, Lorsque nous faisons preuve d'une incroyable inattention…

Je suis la assise dans un coin , je ne réagis plus .. J’entend autours de moi les gens parler , crier de me reprendre , de ne pas me laisser abattre .. Mais que savent-ils vraiment ? Je ressens cette souffrance qu’eux ne ressentent pas , je vois tout nos moments ensemble , nos éclats de rire , nos sourires repasser en boucle dans ma tête .. Cela deviens insupportable , j’ai cette envie d’arrêter de pensée , j’ai envie de tout arrêter en fait .. En boule sur le sol , en larmes , ils ne comprenne pas et ne comprendrons surement jamais .. J’essaye de te chercher entre toute ces personnes , sans jamais te trouver , je sais déjà que tu n’es plus la .. Que tu ne pourra plus jamais être la a mes cotés .. Pourquoi m’avoir abandonné ? Maintenant ? J’en peux plus .. Je regarde la vie continuer , je vois mon passé mais surtout mon avenir défiler devant mes yeux .. Cela me tue doucement de savoir que tu n’es plus la , que tu ne fera plus parti de cet avenir .. Pourtant cet avenir on l’avait tracé ensemble , on avait commencé a le construire , toi et moi , moi et toi , nous .. Mais le destin a préféré écrire sa propre version a lui. La vitesse ,  toi au travail,  une perte de contrôle ,  toi sur le sol , un choc , du sang , des larmes , la Fin .

A TOUS

L'amour est si doux que son goût est subtil, Légèrement sucré pour nous rendre dépendant Et nous conduire en direction du firmament Pour vivre sous la chaleur du soleil, notre idylle.

Une rencontre .Un paradoxe. Une rencontre sans équivoque. Puis la passion prend possession de nos âmes en action ,qui perdent la raison. Quand tu n'es plus là, quand tu pars loin de moi et que seul j'espère te voir venir me sortir de ce noir. Tu disais ce moment temporaire .Mais tu n'es jamais revenu. Tu m'as plongé dans l'inconnu. J'ai cru être arrivé en enfer. Si tu pouvais ressentir toute la douleur que la peine de ton départ a causée. Dans un feu éternel que ton absence entretient. Tragique mélodie qui se répète comme un refrain. Une ritournelle pour rythmé ma vie dans l’ennui

esperance

vous souvenez du celebre dessin animé de Walt Disney : BAMBI et de son ami le lapin et bien voici la raison de son nom en photo .... ehhh ... PAN PAN ... dans le popotin du vilain chasseur

Lorsque tu me manques... Je mets ma main sur mon cœur et je ferme les yeux... Car je sais que c'est le seul endroit où tu existeras toujours