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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Publié à 10:08 par fandeloup
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On apprend chaque jour quelque chose de nouveau

avenir

Publié à 10:05 par fandeloup
avenir

Les portes de l'avenir sont ouvertes à ceux qui savent les pousser

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Publié à 10:00 par fandeloup Tags : citation

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Publié à 09:58 par fandeloup
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Au milieu du néant il est une route qui mène droit à ma vraie demeure

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Publié à 09:53 par fandeloup

Crazy Horse (Sioux Oglala)

Publié à 09:50 par fandeloup Tags : femme chez amis moi enfants nuit fille femmes hiver cheval
Crazy Horse (Sioux Oglala)

Crazy Horse

"Ma femme est malade. Ce terrible et dur hiver a allumé un grand feu dans sa poitrine. Laissez-moi la conduire chez  le médecin à l'agence Spotted Tail, car si je ne le fais pas, elle va mourir. Si je dois attendre la réponse du Père de Tous (Président des Etats Unis), ma femme sera morte. D'ailleurs, je ne chasse pour aucun Père de Tous. Mon père et avec moi et il n'y a aucune sorte d'interlocuteur entre moi et le Grand Esprit."

Crazy Horse (Tashunka Witko ou cheval Fou en français) de son vivant était considéré par son peuple comme le Sauveur. Il était pourvu de toutes les qualités qui font les grands chefs : une grande force de caractère, un grand dévouement à la cause de son peuple et un courage incomparable. Dès son plus jeune âge, Crazy Horse nourrit une profonde haine à l'égard des Blancs.

Ce sentiment lui avait été notamment inspiré par la découverte du campement dans lequel il vivait près de Ash Hollow dans le Nebraska, complètement détruit par l'armée américaine, le 3 septembre 1855.

Les manifestations d'hostilité des Indiens à l'égard des Américains n'avaient jamais complètement cessé pendant la guerre civile (guerre de Sécession) mais, en 1864, le massacre de Sand Creek marqua le début d'une nouvelle période de conflit ouvert. C'est à cette époque que Crazy Horse devint un grand chef de guerre.

Il fut impliqué dans le massacre du capitaine Fetterman et de ses hommes, le 21 décembre 1866, et participa au combat de Waggon-Box, le 21 août 1867. Il était toujours le premier à mener l'attaque et le dernier à battre en retraite.

Tashunka Witko est né vers 1842 et selon certains, il serait né près de la colline nue dans le site sacré des Black Hills. Enfant, il était plutôt doux et renfermé. Mais, plutard, il devint un redoutable guerrier. Il combattit avec les plus grands chef Lakotas, tout d'abord aux cotés de Makhpiya Luta (Red Cloud ou Nuage Rouge en français) puis aux cotés de Tatanka Yotanka (Sitting Bull ou "Taureau Assis" en français).

Dès 1866, Tashunka Witko participe à la guerre de Nuage Rouge contre les blancs, et le 21 décembre de cette même année, il anéantit à la tête de ses guerriers un détachement de 80 hommes sous le commandement du capitaine Fetterman au Fort Phil Kearney. Pendant la décennie suivante, Tashunka Witko ne cessa de lutter contre les Blancs et, lorsqu'il ne les combattait pas, il les évitait soigneusement.

Au mois de juin 1876, Tashunka Witko rejoint, comme beaucoup de Sioux et de Cheyenne, le campement du chef Sitting Bull. L'armée envoya trois colonnes armées pour forcer les indiens à regagner leur réserves.

Le 17 juin, Tashunka Witko, à la tête de ses guerriers, bat et repousse les troupes du général Crook près de la Rosebud River, puis il rejoint Sitting Bull et le 25 juin, leur force conjointe remporte la célèbre bataille de la Little Big Horn sur le 7ème régiment de cavalerie du général Custer. L'année suivante fut désastreuse pour les indiens.

L'armée, désireuse de venger Custer, ne cessa de les pourchasser. Les soldats étaient supérieurs en nombres et en armes et ne laissèrent aucun répit aux Sioux et aux Cheyennes, forçant ainsi le chef Sitting Bull à se réfugier avec ses Hunkpapas au Canada. Dans cette traque, l'armée utilisa même l'artillerie pour venir à bout des indiens.

Au printemps 1877, à bout de force, les Sioux de Tashunka Witko durent se rendre. Et c'est la tête haute que le chef prit le chemin de la réserve à la tête de près de 300 familles Sioux soit environ deux milles hommes, femmes et enfants. Pour éviter d'éventuels troubles dûs à la présence de ce grand chef, l'armée décida d'enfermer celui-ci. Il fut lâchement assassiné, le 7 septembre de la même année, par une sentinelle qui prétendit qu'il avait cherché à s'enfuir.

Tashunka Witko s'éteignit dans la nuit après avoir prononcé c'est paroles : "Mon père, je suis mortellement blessé, que l'on fasse savoir aux miens qu'il est inutile de compter sur moi plus longtemps". Quelques temps avant cela, Tashunka Witko avait déjà perdu sa femme et sa fille mortes de tuberculose. Crazy Horse fut conduit à sa dernière demeure par quelques amis et, aujourd'hui encore, seuls quelques initiés savent où il est enterré

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Publié à 09:32 par fandeloup Tags : citation

Sitting Bull (Sioux Hunkpapa

Publié à 09:30 par fandeloup Tags : coeur homme vie monde mort rock chevaux
 Sitting Bull (Sioux Hunkpapa

Sitting Bull

"Regardez mes frères, le printemps est venu, la terre a recu les baisers du soleil, et nous verrons bientôt les fruits de cet amour"

Héros et martyr de la résistance amérindienne, Sitting Bull, grand chef Sioux Hunkpapa, vainqueur à Little Big Horn, incarna le courage et la fierté légendaire des cavaliers des Plaines.

Cet homme aux traits durs, à l'expression emplie de sagacité perçante, tel qu'il apparaît sur les clichés de l'époque, a porté à bout de bras la destinée de son peuple pour lequel il ne désirait qu'une chose, une vie libre. Guerrier, il le fut jusqu'au tréfonds de l'être. Et pourtant, il n'y eut pas plus ardent défenseur de la paix que lui. Sa vie entière se passa à essayer de trouver un terrain d'entente avec les Blancs et le gouvernement américain.

Rares sont les chefs indiens qui déployèrent une semblable volonté de paix. Mais quand il dut livrer bataille, il le fit avec une rage féroce. La légende qui le poursuit fait de lui un homme-médecine, un sage, un "saint homme" peu enclin aux choses de la guerre. C'est en grande partie faux.

Les témoignages laissent penser en effet que Sitting Bull avait un don de prophétie avéré, mais il fut aussi et surtout un homme de guerre, meneur de combats. C'est ainsi qu'il se distingua parmi les siens, et qu'il réussit, au milieu du XIXe siècle, être l'unificateur de plusieurs tribus des Plaines.

Comme tout leader indien il tendit entre ses mains les deux pôles qu'on pourrait croire opposés de la conscience indienne : d'un côté, une spiritualité orientée vers la paix et l'entente avec tout ce qui vit, et de l'autre une éducation guerrière extraordinairement poussée et certainement rarement égalée.

Sitting Bull fut un de ceux qui parvinrent peut-être le mieux à gérer cette apparente incompatibilité. L'envergure du personnage n'en est que plus marquante à une époque ou, côté blanc, tous ceux qui participèrent de près ou de loin à la "politique Indienne" du gouvernement américain ne furent que de médiocres figures, dont le principal souci était la carrière personnelle et l'obtention des faveurs gouvernementales, en espérant, pour certains, qu'elles finiraient bien par les hisser en haut de la hiérarchie sociale et politique, voire, ainsi que l'escomptait le général Custer, au rang de président des Etats-Unis.

Custer paya de sa vie l'aveuglement que lui valut son extravagante ambition. Quelques années plus tard, ce fut au tour de Sitting Bull, dont l'autorité, devenue plus que gênante pour ses ennemis de tous bords, Blancs et Indiens, fut à l'origine de son assassinat, il y a plus de cent ans, en cette année 1890 marquée par tant de violences et de troubles, et dont le massacre de Wounded Knee fut, en quelque sorte, la sanglante apothéose. La famine eut raison de son courage et de sa force : les troupeaux de bisons avaient été détournés par des feux de plaines et plus personne n'acceptait de lui fournir des vivres.

Il dut bien se rendre à l'évidence que presque tout le monde l'avait laissé tomber. La mort dans l'âme, il décida de rejoindre ceux des siens qui s'étaient déjà rendus, abandonnant leurs précieux chevaux, leurs armes, tout ce qui faisait leur prestance guerrière. Les journaux américains se firent l'écho de sa reddition et prétèrent à Sitting Bull ces paroles : "Notez que je suis le dernier homme de mon peuple à baisser les armes."

Un de ses neveux qui l'avait accompagné jusqu'au bout, affirma qu'il n'en fut rien, et que, solitaire comme il était, fatigué, il n'avait pas eu le ♥ à tenir de tels propos, son seul souci étant de savoir ce qu'il allait pouvoir obtenir des Américains pour son peuple. Le gouvernement décida de l'envoyer dans la réserve de Standing rock (Dakota du Nord), où il fut assassiné en 1890.

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Publié à 09:17 par fandeloup Tags : citation

Red Cloud (Sioux Oglala)

Publié à 09:15 par fandeloup
Red Cloud (Sioux Oglala)

Red Cloud

" Ils nous ont fait beaucoup de promesses, plus que je ne puis me rappeler, mais ils n'en ont jamais tenu qu'une : ils avaient promis de prendre notre terre, et ils l'ont prise. "

Red Cloud (1822-1909), fut le chef des Lakota Oglala, qui pour un temps, résistèrent avec succès à l'occupation par les Etats-Unis du territoire qui fait maintenant partie du Wyoming, Montana et Dakota du Sud. Pendant l'année 1860, Red Cloud combattit pour empêcher l'armée américaine d'ouvrir la piste Bozeman, qui conduisait aux mines d'or du Montana à travers un important territoire de chasse Sioux. En 1866 Red Cloud assuma le commandement d'un groupe de Sioux et de Cheyennes qui s'opposa au projet de l'armée de bâtir trois fortifications destinées à maintenir la piste ouverte. Pendant deux ans Red Cloud et ses alliés assiégèrent ces forts. Finalement en 1868 le gouvernement américain accepta d'abandonner trois forts. Red Cloud signa le traité de Fort Laramie le 29 Avril 1869. Le gouvernement des Etats-Unis, une fois de plus, abusa Red Cloud : bien qu'il abandonnait la piste Bozeman, le traité inclus une clause installant les Sioux dans une réserve actuellement située dans le Dakota du Nord. En 1874 George Armstrong Custer guida des experts en mines dans une expédition dans les Black Hills et y découvrirent de l'or ; de nombreuses personnes y déferlèrent afin de prospecter. Les Sioux furent ainsi trahis par la violation de leurs collines sacrées, et la guerre Sioux de 1875-1876 commença. Red Cloud n'était pas d'accord avec le chef radical, Crazy Horse, mais ne voulait pas non plus sacrifier les Black Hills. A cause de sa supériorité en matériel et en armes, l'armée américaine vainquit ainsi les Sioux et les plaça de force dans les réserves. Red Cloud fut destitué de son rôle de chef Oglala après une dispute avec un agent gouvernemental en 1881, et il passa le reste de ses jours à Pine Ridge, Dakota du Sud, Red Cloud fut destitué de son rôle de chef Oglala aprés une dispute avec un agent gouvernemental en 1881, et il passa le reste de ses jours à Pine Ridge, Dakota du Sud, ou il mourut en 1909. Il décéda en 1909, à l'âge de quatre-vingt dix ans.