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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Est-ce le but de l'homme sur terre que de faire tant de mal?
Est-ce l'ultime objectif de sa vie au final?
Est-ce que sa vie en elle même ne peut lui suffire?
Tant de questions, qui en soi-même, font périr. Tant de vies souffrances qui meurent sur l'étal de l'indifférence, tous ces animaux qui meurt au nom de la mondiale puissance ,pour l'universel appât du fric, l'argent, le gain, pour nourrir un monde qui a toujours faim!
Nés du ventre de la Terre, les hommes sont délétères, sourds aux cris vains de notre mère nourricière, qu'ils maltraitent pertinemment, inlassablement, c'est ici bas qu'il a crée l'enfer. Ne faisant que le mal, pareil pour ses soeurs et ses frères, ses propres congénères. Ils tuent sans vergogne, sans compassion, dans le but d'avoir quoi! Ils n'auraient jamais dû apparaitre sur terre, et la douleur ne serait pas à cette heure meurtrière, toutes ces vies perdues, mutilées, spoliées, assassinées. Les hommes ne sont que cupidité, tristes à pleurer.
Sauvage, indomptable, Je ne supporte pas l'étouffement, les cages. Je veux vivre sans prisons mentales, sentimentales. Je ne veux pas qu'on m'empêche de respirer, le meilleur moyen pour moi, de m'éloigner, Je fuis dès qu'une porte est sur le point de m'emprisonner, comme les chats, je déteste les portes closes, fermées. Je veux pouvoir, à tout moment, m'envoler, m'aérer, quitte à me fracasser, mais mon indépendance, ma force, ma rage, mes ronrons, mes silences... N'allez surtout pas croire qu'un être féru de liberté est exempt de sentiments, il sait aimer. Mais quand on essaie de l'embrigader, se sentant menacer Il court, se hâte, ne pensant qu'à s'en aller
Je ne suis pas de cet univers, je ne suis pas de cette planète, je ne suis pas de ce territoire. Je suis d'ailleurs, je suis un esprit, je suis une force, je suis un magnétisme, une énergie, quelque chose qui va susciter, qui va pouvoir engendrer d'autres choses... Je suis un loup, un animal sauvage, indomptable, je me suis fabriqué mes rites, mes autels
Tout est paradoxes chez moi .Le feu comme le froid.. Amour comme haine.. Noir comme blanc.. Déconneuse comme sérieuse.. Présente comme absente.. Mourante comme vivante, ..Je souris comme je fais la gueul.. Silencieuse comme parlante, un peu.. Aimée comme méprisée.. En long comme en large, en travers, diagonale comme horizontale, paradoxale, incompréhensible pour le banal des mortels.
Ce matin là, elle se réveilla le ♥ décharné, les yeux harassé par la vie fatiguée, elle se leva péniblement, regarda par la fenêtre. Elle ne vit que le gris de ses visions qui fusait dans sa tête. Elle resta ainsi figée devant cette fenêtre à regarder dans le vide, maugréant contre les oublis de la vie. Elle finit par s'éloigner le pas lourd. Elle alluma une cigarette, la fumée opaque de ses voyages intérieurs dans le regard, elle pensait à sa vie qui s'étiolait, qui s'assombrissait, volait en éclats. Elle avait maintenant la nausée, celle d'un présent pesant, elle avait froid dans sa vie, elle était gelée. Elle aurait voulu mettre des tonnes de pulls sur son ♥, sur son âme en pagaille comme on met des pulls sur sa peau frissonnante mais rien n'aurait pu la réchauffer, elle se sentait tel un cadavre déambulant dans les couloirs des ténèbres des vivants. Elle pansait son organe de battements minutes comme elle pouvait, comme elle savait le faire tant bien que mal mais il n'y était plus, il faiblissait, agonisait, gémissait...
A vivre au milieu des fantômes, on devient fantôme soi-même et le monde des ténebres n'est plus celui des étrangers mais le nôtre, surgi non de la nuit mais de nos entrailles