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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Avant, je regardais la Télévision, je lisais des livres et j'écoutais la radio. Maintenant, je regarde internet, je lis internet et j'écoute Internet
L'étoile de nuit est au rendez-vous , elle arrive habillée de satin et de lumière ... Laissez la entrer dans votre cœur. Elle vous montrera le chemin des rêves et le temps d'une nuit .Le bonheur vous touchera du bout des doigts. Je vous souhaite une bonne fin de soirée
Haute-Loire.
Depuis des semaines, les quatre chiens étaient prisonniers de leur taudis.Le Puy-en-Velay. Hier, pompiers et policiers ont pénétré de force dans un appartement de la rue Saint-Jacques duquel émanait une odeur pestilentielle. À l’intérieur, sur des planchers souillés d’excréments, ils découvrent quatre chiens très affaiblis et livrés à eux-mêmes. Sûrement depuis des semaines.
Hier en début d’après-midi, ce sont des riverains de la rue Saint-Jacques qui ont fini par décrocher leur téléphone et appeler les sapeurs-pompiers. Ils s’inquiètent du devenir d’un habitant du quartier. Ce dernier occupe un appartement situé au premier étage de l’immeuble portant le n° 26. Le jeune homme n’a pas été aperçu depuis un long moment et une odeur pestilentielle s’échappe de son appartement jusque dans la cage d’escalier. Derrière la porte du logement, des chiens gémissent quand ils n’hurlent pas à la mort.
Pompiers et policiers se rendent sur les lieux. L’immeuble est vide de tout occupant. L’appartement du premier, qui est le seul occupé dans les trois étages de cette construction ancienne, est inaccessible. Sauf par les fenêtres. Une échelle est accolée en façade et un carreau est brisé. Le spectacle qui attend les sauveteurs juste derrière est atterrant : dans cet appartement sans dessus-dessous, les sols des pièces à vivre sont souillés d’excréments. L’odeur y est insoutenable. Le canapé du salon a été littéralement éventré… Et c’est dans cet univers d’une crasse repoussante que les soldats du feu découvrent quatre chiens, un mâle, une femelle et deux chiots, livrés à eux-mêmes. Tous les quatre sont très affaiblis. La femelle est squelettique. Tous n’ont plus de nourriture et sont contraints de manger leurs propres excréments… Probablement depuis des semaines.
Les quatre malheureux animaux ont été recueillis par la SPA de Polignac. Le président, Dominique Chaudy, s’est lui-même rendu sur place avec une bénévole. Les quatre animaux ont été aussitôt transportés chez le vétérinaire Jacques Mosser pour y recevoir des soins.
Le locataire de l’appartement était, quant à lui, absent et injoignable. La propriétaire de l’immeuble, une octogénaire de Saint-Germain-Laprade, avait fait le déplacement. « C’est intolérable. Le locataire ne répond pas à mes courriers ou à mes appels. Il ne paye plus depuis longtemps. Là je découvre qu’il a abandonné ses chiens et que l’appartement, le plus propre de tout l’immeuble, est devenu un taudis ! » Le jeune homme devrait être convié à s’expliquer au commissariat et probablement devant la justice. Ses animaux resteront au refuge de la SPA.
La belle histoire du jardin secret nous rappelle que les enfants ne sont pas toujours très tendres et apaisés. Il faudra toute la magie et la beauté d'un petit bout de Paradis pour leur rendre le sourire
MIRMANDE (DROME)
“Viognier de Conquet”, un demi-sang arabe âgé tout juste de deux ans, a été « abattu par une balle pour sanglier qui l’a frappé derrière l’épaule » confient Myriam et Bruno Maignien.
Tué lors d’une battue aux sangliers
Émus et en colère, les époux Maignien confient : « Le 1 er novembre, peu avant midi, nous avons été alertés par les gendarmes. Ils nous apprenaient que l’un de nos chevaux avait été tué lors d’un accident de chasse. C’est le chef de la battue aux sangliers, organisée ce jour-là qui venait de les appeler. Au moins deux heures après le tir mortel… »
Myriam Maignien insiste : « Ce chasseur était à moins de 20 mètres de “Viognier de Conquet”, un demi-sang arabe âgé tout juste de deux ans. Son père est un Connemara très réputé et sa mère, un pur-sang arabe. Il a été abattu par une balle pour sanglier qui l’a frappé derrière l’épaule ».
« J’ai vu quelque chose de noir et j’ai tiré ! »
Écœuré, son mari ajoute : « J’élève depuis 1976. Ces chevaux, c’est toute notre vie ! Depuis, ils sont tous revenus en Ardèche ! »
« J’ai entendu du bruit dans les broussailles. J’ai vu quelque chose de noir et j’ai tiré ! » Voilà ce que le chasseur a livré, mercredi matin aux époux Maignien pour expliquer son geste. « C’est un scandale ! Avoir pris notre cheval pour un sanglier, c’est très grave ! Si un ramasseur de champignons ou un enfant portant du pain sec aux chevauxs’était trouvé là, dans le parc, il l’aurait abattu de la même façon. Et aujourd’hui, il serait en prison ! »
Conte populaire des plus célèbres, La Belle et la Bête exigeait tout le talent de Jean Cocteau pour être adapté au cinéma. Le résultat est fascinant, le film est doté d'une atmosphère terrifiante, envoûtante. Magique
mercredi 30 novembre 2011 CHÂTELET
- Des barbares ont émasculé la bête et lui ont coupé les oreilles. C’est un spectacle atroce pour tous les amis des animaux : dans la nuit de jeudi à vendredi, un poney a été torturé et tué par des inconnus qui ont fait preuve d’une barbarie sans nom. C’est vendredi matin que Serge-Jean Delannoy, qui habite la cour d’Ormont à Châtelet, est allé rendre visite à ses deux poneys et ses deux ânes, qui paissent dans un pré proche de chezlui. « Quand je suis arrivé, c’était l’horreur totale », déplore ce dernier, des trémolos dans la voix. « Poly, mon poney de 7 ans, était mort et son cadavre portait les traces de tortures innommables. Des sauvages lui ont coupé le pénis et les oreilles. Il présente d’autres plaies à la bouche et aux yeux. Il y avait une grosse pierre à côté de lui : j’espère qui l’ont au moins assommé avant de lui faire ça ».
Avertie, la police locale s’est rendue sur les lieux. Une enquête est ouverte mais pour l’heure, Serge-Jean Delannoy ignore quel individu a pu se rendre coupable d’un tel acte de barbarie. « Je ne me connais pas d’ennemis », ajoute le propriétaire de Poly. « Ici, les voisins adorent mes animaux. Nous avons même supprimé les séparations entre les terrains pour les laisser galoper. C’est probablement un acte gratuit. J’ai lu sur le Net qu’il pourrait s’agir d’une secte, mais ce n’est qu’une rumeur ».
Ce mardi, le cadavre de Poly a été emporté par le clos d’équarrissage. Depuis cette cruelle agression, Serge-Jean Delannoy ne ferme plus l’œil. « Je suis sur le qui-vive. Dès qu’il y a un bruit, je me rends auprès de mes trois équidés. Ils sont comme mes enfants. Je suis Bruxellois d’origine et si j’ai acheté à Châtelet, c’est justement pour qu’ils aient de l’espace ».
Selon Serge-Jean Delannoy, un autre voisin, propriétaire de chevaux, a bien failli être victime d’un fait similaire. « Il faudrait qu’on agisse pour empêcher cela. Faire des rondes », poursuit le propriétaire. Mais vu la répétition des cas de cruauté envers les animaux, l’alourdissement des sanctions pénales ne serait peut-être pas inutile.
En 1947, les enfants découvraient les Aventures fantastiques du Baron Munchhausen. Ce vieil homme raconte les innombrables péripéties qui l'ont conduit à Constantinople, à Venise, à Vienne et même... sur la Lune