Fandeloup

Et s'il fallait me laisser glisser sur la tempête que l'océan envoie sur ma vie, ce ne serait qu'un nouveau défi. Et si je devais me coucher là contre la peur ,que la douleur pose sur ma vie, ce ne serait pas sans mépris. Et si pour faire taire le tourment qui s'installe insidieusement dans le creux de ma vie je devais encore une fois déposer les armes, et laisser glisser mes larmes, ce serait avec nostalgie. Mais peut-être, Sans rancoeur je laisserais le temps prendre mon dernier espoir. et dans le miroir je verrai enfin le bout du chemin

Penser des mots , les coucher sur le papier, en espérant se retrouver, au dedans d'un corps blessé. Écrire des phrases avec au ♥ un goût amer, que seul le ciel peut connaître et n'y rien laisser paraître! Se faire l'écho de ses propres propos ,mais toujours se taire et ne rien entendre à l'horizon. Ne plus faire de rimes ,sauf des mots qui assassinent l'espoir d'un renouveau. Se moquer de la place des idées qu'on met sur une page blessée et n'en rien retirer si ce n'est du soulagement d'avoir oser délicatement ouvrir son ♥ devant la peur d'un moment de doute, d'un moment de “Pourquoi”?

Et la tendresse l'emporte toujours

Il est des états d'âme qui reçoivent trop de blâme! Ne plus pouvoir dire ce qui nous fait souffrir devient un vrai dilemme. Et là, on reste blême devant le mur du silence, et s'en va l'espérance d'un avenir meilleur qui fait gonfler notre ♥. Mourir, la belle affaire! Il est des états d'âme dans le ♥ d'une femme qui laissent trop de traces. Ce sont des menaces qui brisent nos attentes . Il est des états d'âme qui se cachent chez une femme. Il est des états d'âme tapis sous les drames qui jaillissent si vite . Il est des moments où l'âme se perd

Un animal, c'est de la vie enveloppée de fourrure ou d'écailles, habitée par l'inquiétude, capable oh combien capable de tendresse, de force, de courage et de peur.

Dans l'attente on souffre tant de l'absence de ce qu'on désire ,

L'enfance. Cette heureuse et brève période de l'existence où l'on a tout juste assez de conscience pour savourer la joie d'être et d'inconscience pour ignorer les difficultés de la vie.

En ce moment, beaucoup de gens ont renoncé à vivre. Ils ne s'ennuient pas, ils ne pleurent pas, ils se contentent d'attendre que le temps passe. Ils n'ont pas accepté les défis de la vieet elle ne les défie plus.

Heureux deux amis qui s'aiment assez pour (savoir) se taire ensemble.

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