aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Pour le chat, il faudrait presque une carte vierge sur laquelle chacun pourrait dessiner des zones avec ses propres commentaires
Le retour de la taxe flottante ?
La hausse du prix du carburant a déclenché une vague de mécontentement à travers la France
Emmanuel Macron relance l'idée d'une taxe sur les carburants qui s'adapterait aux cours du pétrole, afin de calmer la grogne. Désamorcer la bombe. Si on a aujourd'hui du mal à savoir ce que veulent exactement les gilets jaunes, il faut se rappeler que le mouvement s'est cristallisé autour de la flambée des prix à la pompe.
Dans leur ligne de mire, les taxes qui frappent les carburants (TVA et taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques, ou TICPE), même si ces dernières n'ont en réalité été responsables que d'un tiers de la flambée que l'on a connu en 2018.
L'essentiel étant dû au boom du cours du pétrole. Qu'importe. Emmanuel Macron a compris qu'il devait faire un geste pour apaiser leur colère. Ce qu'il a fait ce mardi en présentant des mesures destinées à rendre la fiscalité écologique moins impopulaire, et en acceptant notamment de revoir le principe de la taxation des carburants.
"Je souhaite dans les trois mois une méthode pour rendre plus intelligente cette taxe aujourd'hui un peu aveugle, et avoir tous les trimestres un rendez-vous qui atténue l'effet d'une envolée des cours mondiaux", a-t-il déclaré.
Une taxe flottante déjà expérimentée, sans succès Pas question de moduler la TVA de 20% qui s'applique au carburant : s'agissant d'un impôt, il est impossible de varier son taux tous les trois mois.
Le gouvernement a donc fait le choix de modérer la hausse programmée de la TICPE, ainsi que celle de sa composante depuis 2014, la taxe carbone, si le prix du pétrole repart vers les sommets. Une façon de contenir la hausse des carburants dans une fourchette plus resserrée, afin de réduire son impact sur le budget des automobilistes.
La proposition n'est pas sans rappeler la taxe flottante mise en place par le gouvernement Jospin entre 2000 et 2002. La TIPP - l'ancêtre de la TICPE - était alors modulée à la hausse ou à la baisse quand le prix du Brent montait ou descendait de plus de 10%. L'expérience a tourné court, car ni l'Etat ni les automobilistes ne s'y sont retrouvés. Il a manqué 2,7 milliards de recettes fiscales dans les caisses, tandis que les prix à la pompe ne baissaient que de 0,022 centime par litre.
"Nous ne proposons pas de refaire une taxe aussi complexe, avec des hausses et des baisses", prend donc le soin de préciser le député LREM Roland Lescure. Il s'agit de garder une trajectoire de hausse de la fiscalité, tout en se réservant la possibilité de freiner les augmentations".
La lutte contre le réchauffement climatique est en effet entre temps devenue une priorité mondiale, et la France se veut même exemplaire en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre depuis les Accords de Paris en 2015. Les énergies fossiles représentent "une forme de soumission" de la France vis-à-vis de leurs fournisseurs étrangers, a d'ailleurs souligné le président de la République.
L'objectif est toujours d'en détourner les consommateurs en les rendant plus chères. Il s'agit également de donner des gages aux écolos, à l'approche des élections européennes. Le nouveau dispositif risque aussi de décevoir Soit. Mais l'idée d'un rendez-vous trimestriel pour décider de la trajectoire de hausse des taxes ne risque-t-elle pas de rendre les contribuables encore plus suspicieux? "A chaque échéance, le gouvernement risque d'être accusé de traîner des pieds pour freiner les taxes quand le pétrole augmente, ou inversement de les remonter trop vite quand il baisse", prévient François Lévêque, spécialiste de l'énergie à Mines Paris Tech
"Il faut observer l'évolution des prix, mais il n'y aura pas nécessairement de décision tous les trois mois", reconnaît Roland Lescure, "car ce serait une nouvelle usine à gaz." D'autant que le Parlement devrait aussi donner son accord
Le prix et les cours du baril de pétrole et la production régulée par l'Opep "Le carburant coûtera encore plus cher à l'avenir" Fiscalité écolo: Macron en a-t-il trop fait? Taxes, marges: comment se calcule le prix de l'essence? Pour l'heure, la bombe s'est désamorcée toute seule, puisque le prix du baril de Brent a chuté de 86 à 60 dollars depuis octobre.
"Le marché est excédentaire et les pays producteurs ne montrent guère de volonté de limiter leurs exportations. De nombreuses conditions sont réunies pour que les cours ne s'envolent pas", remarque l'économiste Jacques Percebois. Une accalmie qui, si elle se confirmait, permettrait au gouvernement de ne rien perdre des rentrées fiscales programmées en 2019. Tout en ayant fait preuve d'ouverture pour apaiser la grogne des Gilets jaunes.
Val-d’Oise. Elle demande de l’aide pour retrouver son poulain volé dans une pension équestre d’Aincourt
Des individus se sont introduits dans le pré d'une ferme d'Aincourt (Val-d'Oise) afin de voler un poulain de 2 mois. Les jours de l’animal sont comptés.
Un appel à l’aide lancé craignant que le pire ne lui arrive. « Ses jours sont comptés si on ne s’occupe pas de lui correctement ! », s’inquiète Vanessa. Le week-end dernier, la cavalière s’est fait voler son poulain, Imprévu, tout juste âgé de deux mois, dans le Vexin.
L’animal, toujours en période de sevrage, se trouvait avec sa mère dans un pré de la ferme du Champ-Mouton, une pension équestre située à Aincourt (Val-d’Oise).
Au cours de la soirée du dimanche , ou bien durant la nuit qui suivait, des individus se sont introduits dans le pâturage après avoir coupé la clôture faite de barbelés et de fils électriques. Les voisins ont entendu les chevaux s’agiter vers 18h », raconte Vanessa.
Emmené dans une voiture type Peugeot 205 La jeune femme précise que les malfaiteurs ont fait le tour par-derrière, évitant le premier pré sur lequel sont regroupés les poneys pour accéder directement à celui où se trouvaient la jument et son poulain.
« Ils avaient dû le repérer plus tôt », estime Vanessa avant de poursuivre : Ils l’ont arraché à sa mère et l’ont emmené dans une voiture. »
Un véhicule de type Peugeot 205 selon des témoins. « À cet âge là, un poulain a la taille d’un gros chien », précise sa propriétaire.
Appel à témoins
Cette dernière craint aujourd’hui pour la vie de l’animal. Il n’est pas sevré et a besoin de sa mère pour s’alimenter car il ne sait pas manger tout seul. » Alors que la cavalière a aussitôt contacté la brigade de gendarmerie de Magny-en-Vexin, elle lance un appel à témoins dans l’espoir de retrouver la trace d’Imprévu.
Toute personne ayant des informations susceptibles de faire avancer l’enquête est priée de la contacter au 06 89 19 49 66.
Saviez-vous que pendant la 2ème Guerre Mondiale, il y a eu une pénurie de collants en nylon, car le nylon était exclusivement utilisé pour les parachutes. Ainsi, les femmes peignaient leurs jambes avec une solution contenant de la poudre de sauce instantanée et traçaient une ligne à l'arrière de leurs jambes avec du maquillage pour les yeux pour recréer l'apparence des bas.
Heureusement, il n'y a plus de problème pour obtenir ce produit délicat
Nous avons reçu ce texte qui pourrait être un conte de Noël
Il fait partie sans aucun doute de "nos belles histoires" celles que vous nous envoyez, celles que vous aimez partager ! Merci « le samedi 4 Octobre 2014, j'ai pris le chemin de la SPA, une fois arrivée Evelyne m’a accueillie bras ouverts , en me demandant ce que je recherchais. Je lui ai dit un petit chien qui aboie peu. J'ai fait le tour des chenils mais tous aboyaient, une grande excitation de tous les chiens de voir du monde. Tout le monde était aux aguets... Tous ! Sauf un…
Roulé en boule dans l'abri, faisant l'aller retour dans son box tête baissée, inquiet et apeuré par tous les bruits des autres pensionnaires, les yeux remplis de tristesse et d’espoir à la fois. Evelyne m’a proposé de le sortir, tellement pressé de sortir, sa laisse est tendue, rampant sur le sol vers la sortie.. Je me suis accroupie, et tout en délicatesse il a posé ses 2 pattes avant sur mes genoux et m’a léché le visage son regard me disait je veux être avec toi je t'ai choisie.
Depuis ce jour son nom résonne dans ma tête BALADIN, ce chien fidèle rempli d'amour que j'ai toujours rêvé. Aujourd'hui nous entamons notre 4 ème année de bonheurs. Un bonheur que je souhaite à tout le monde aussi bien pour les 2 pattes que les 4 pattes ! Une relation si exceptionnelle… BALADIN mon amour de chien »
La spa - refuge de Cholet
Coup de chaud en vue sur les prix de l’électricité
Les particuliers représentent 35 % de la consommation totale d’électricité.
Les prix de l’électricité pourraient augmenter de 2,3% en 2019 et de 3,3% en 2020. De quoi alimenter la grogne des Français qui ont du mal à boucler les fins de mois.
Un nouveau caillou dans la chaussure d’Emmanuel Macron ?
Alors que les Gilets jaunes préparent une nouvelle mobilisation nationale samedi contre la hausse des taxes sur les carburants - + 6 centimes sur le diesel et + 3 centimes pour l’essence au 1er janvier -, une autre hausse pointe elle aussi son nez : celle de l’électricité. Un paramètre qui n’a, semble-t-il, pas été anticipé par le gouvernement pourrait alourdir encore un peu plus le prix de l’électricité qui a déjà bondi de 35% en dix ans.
L’obligation pour EDF de revendre à ses concurrents une partie de sa production nucléaire pourrait, selon nos calculs, se traduire par une augmentation de 2,3 % en 2019 et de 3,3 % en 2020. LIRE AUSSI >Nucléaire, solaire, éolien... Comment est produite l’électricité française Inscrite dans la loi Nome (Nouvelle organisation du marché de l’électricité) votée en 2011, cette obligation légale avait pour but d’éviter une distorsion de concurrence entre EDF, qui était en situation de monopole jusqu’à la libéralisation du marché en 2007, et les fournisseurs « alternatifs » d’électricité.
Comment : en faisant à ces derniers de bénéficier eux aussi de la « rente » du nucléaire. C’est ce que l’on appelle l’Arenh (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique).
Problème : selon la CLEE, association de consommateurs industriels et tertiaires d’électricité, ces 25% de la production nucléaire - soit 100 Twh - ne répondent plus à la demande des alternatifs. « Lorsque l’Arenh a été créée, la concurrence était très faible, explique Frank Roubanovitch, le président de la CLEE. Il était facile de satisfaire les exigences de chacun des fournisseurs en fonction du nombre de leurs clients. Sauf qu’aujourd’hui, leur nombre a explosé. Il devient impossible de contenter tout le monde. »
- Un surcoût de 360 millions en 2019 Résultat : impossible d’acheter à EDF suffisamment de MWh d’électricité nucléaire au prix fixé par les pouvoirs publics : 42 €/MWh. Quand les prix du marché de gros passent sous ce seuil, pas de problème. Les alternatifs préfèrent se fournir sur le marché. En revanche quand les prix flambent, il devient très intéressant pour eux d’acheter un maximum de MWh au prix de l’Arenh.
Ce qui leur permet de proposer des offres concurrentielles aux particuliers. D’après la CLEE, si les autorités ne relèvent pas ce plafond de 100 TWh, le surcoût pour les consommateurs d’électricité (particuliers et entreprises) pourrait atteindre 1,05 milliard d’euros dès 2019 et 1,55 milliard en 2020. Sachant que les particuliers représentent 35 % de la consommation totale d’électricité, le coût pour ces derniers - il sont 31 millions d’abonnés - serait de 360 M€ en 2019. Et de 530 M€ en 2020. Ce qui aboutirait une hausse par ménage de 12 € en 2019 puis de 17 € en 2020.
A cela, il faut ajouter les augmentations liées à la hausse des taxes sur l’électricité, des prix du marché, des certificats d’économie d’énergie, etc. Bref, le pouvoir d’achat n’a pas fini de faire parler de lui.