Fandeloup

Super

Quelle allure ! 

Lévrier Azawakh est un lévrier originaire d'une région sahélienne qui va du Mali, au Niger et au Burkina Faso. Il tire son nom de la vallée de l'Azawakh, près du plateau central du Niger et de la frontière du Mali. On l'appelle aussi Lévrier Touareg, Sloughi Touareg, ou encore Lévrier du Sud saharien.

Victoire : 1 an de prison ferme pour un tueur de chat

 Un peu plus d’un mois après les faits, l’homme qui avait sauvagement tué un chat à Limoges vient d’être jugé et condamné à 18 mois de prison, dont 12 mois ferme, et à l'interdiction de détenir un animal pendant 5 ans.

C’était le 8 octobre dernier, en plein après-midi. Un homme âgé de 20 ans avait attrapé un chat au jardin de l’Évêché à Limoges, après l’avoir appâté avec de la nourriture, relatait, à l’époque, France Bleu.

L’ayant battu à mort, le bourreau s’était ensuite amusé à écrire sur les arbres du parc et sur un lampadaire avec le sang de l’animal. Il avait immédiatement été interpellé par la police.

Le jeune homme était apparemment connu des autorités, et avait déjà été condamné par le passé à 6 mois de prison pour d’autres faits.

"UNE PEINE EXEMPLAIRE"

Une pétition avait été lancée en ligne pour réclamer "une peine exemplaire". Elle réunit, à ce jour, près de 90 000 signatures. Plusieurs associations, dont la Ligue de défense des droits des animaux, s’étaient constituées partie civile et demandaient la peine maximale que prévoit l'article 521-1 du Code pénal, soit 2 années d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

Le verdict est tombé au tribunal correctionnel de Limoges : 18 mois de prison, dont 12 ferme, une obligation de soins, une mise à l’épreuve de 3 ans et une interdiction de détenir un animal durant 5 ans, expose France Info.

Chacune des associations recevra également 400 euros "au titre du préjudice moral", indique à France Bleu  Limousin la SPA de la Haute-Vienne.

Beauté sauvage à travers un buisson en fleurs, dans un regard lumineux

Je voudrais tant célébrer la paix sur terre, quand partout se déclarent d’horribles guerres : Saurez-vous percer ce curieux mystère d’une Humanité au ♥ d’or et aux mains sanguinaires ?

Equidé sauvage à l’assaut des grands espaces fleuris, dans l’attitude rebelle propre à générer de fantastiques ruades, dont la fougue rageuse revendique une libre énergie, symbole d’indépendance liée à de fières et dynamiques bravades …

Instant de quiétude au pied du grand chêne, propice à une méditation calme et sereine, dans la douceur d’un soleil éclairant la plaine, dont les forêts verdoyantes se font reines

Je perçois ici la divine magie de la nature, et je ressens toute l’harmonie de ce cadre idyllique,ou s’épanouit une merveilleuse verdure, que l’absolu du temps semble rendre si fantastique.

 Sur le sentier tortueux de mes préoccupations, j’avance péniblement en faisant attention, car le moindre faux-pas occasionnerait une commotion. Je reve d’une existence tranquille au sein de la végétation, occupé à composer des poèmes en inspiration, dans le calme majestueux des paysages emplis d’émotions, où de jolies fleurs parfument notre exaltation.

Nous, les éléphants, calmes et sereins, nous n’avons jamais bien compris les humains, dangereusement obnubilés par l’appat du gain, mais sachant aussi rendre grace au Divin … Notre prodigieuse mémoire nous fait rarement défaut, quand des braconniers nous repoussons les lâches assauts, a travers la magnifique savane et ses divers végétaux, songeant que cette gratuite violence leur reviendra en écho.