Fandeloup

humour

Un retour de main, la terre se retourne, le ciel s'ouvre. Et l'eau ouvre le chemin à l'entrain de notre amour. A quand viendra l'éternité, ce combat final, en donnera la semence pour tant de violence passé ! Il n'en restera plus que de la poussière, au combien elle sera de lumière, sous l'ombre de nos regards ! Sous les éclats d'un soleil au rayons de son sourire, sous les chants de la lune au son de sa voix, sous la brillance des étoiles au fond de ses yeux larmoyants. Sous les éclairs du temps, afin de nous unir à tout instant, nos lèvres en donneront la sève emflammé, d'une nuit d'été à la saveur de l'orage pour cet hiver de flamme

amitié

pour le loup

Il n'y a d'oasis que pour ceux qui n'ont pas de sable dans les yeux. Sache que tes yeux peuvent faire des miracles. Ouvre-les bien et grandement, et tu verras tout, autrement et mieux.

C'est ainsi que tu verras, tout comme moi, briller des larmes aux cils des fleurs ; surgir de la mer des îles fabuleuses ; apercevoir au cœur de la forêt des clairières où dansent les loups et où chantent les chevreuils.

C'est ainsi que tu découvriras également la montagne sacrée, la source de toutes les magies, le pont d'or qui relie le ciel et la terre ; la face cachée de la lune, toutes les oasis du désert et les châteaux de l'Espagne.

Tu verras des nuages te sourire et des anges te faire de grands signes de la main. Et tu auras étalées pour toujours devant tes yeux, et rien que pour toi, les splendeurs jamais éteintes de l'aube et du crépuscule. Bonneroute ou bon ciel à toi, mon semblable !

Les photos ne sont que l'ombre de ce que l'on pense, mais seul les cieux en délivrent bien des secrets. À travers les reflets de nos larmes en nos creux, sous les cils de nos yeux dont l'arcane s'écoule... Du fond de nos ♥♥, il suffit de savoir lire à l'intérieur. Pour en trouver ce qu'on ne peut dire par de simple mots

Chaque goutte de pluie aujourd'hui, est un baiser magique envoyé par les fées,pour mettre du soleil dans vos coeurs

Devant moi se retire la mer, derrière moi pleure la lune, au-dessus de moi les étoiles quittent le ciel ,et sous mes pas cède le bitume. Le silence a remplacé les notes de musique, l'errance est la menotte du dramatique. Plié sous les piliers de l'obligation de certaines femmes, j'en viens à voir pleurer mon âme. Ce n'est plus qu'une histoire dans les méandres de mon passé, c'est comme regarder descendre l'espoir pour s'écraser. L'écume du goudron refroidit par une averse d'été, les corps s'entremêlent à mes projets et me voilà blessé, allongé sur l'écorce d'une tombe, je vois trembler mon ombre. L'immense n'est pas si grand, et l'infini d'habitude symbole des romances, devient la prison de nos sentiments, et voilà que nos cœurs sont dépecés

Quand la mémoire va ramasser du bois mort, elle rapporte le fagot qui lui plaît

Souvent, je pars vers d'autres rivages ..D'autres contrées où j'aime me réfugier.. Là où tout est beau ..Les couleurs du renouveau.. Je vis mes envies.. Tu y es infini ..Dans ce pays merveilleux où je vis, que de doux sentiments, que d'amis(es) ..J'y vois des couchers de soleil ..Des rivières y ruissellent.. J'y contemple les étoiles qui, jamais, ne se voilent ..Elles me joue leurs mélodies.. Des airs d'amour infini.. J'y caresse la Lune ,gardienne de ma Plume ..Cet endroit qui est le mien, tu as aussi le tien ..Ce Pays des Rêves que je fais sans trêve