Fandeloup

L’histoire de Judith, une chienne enchaînée et négligée la quasi-totalité de sa vie fend le cœur, mais n’est encore que trop courante.

Pendant plusieurs années, des voisins soucieux de son état de santé et de son bien être ont alerté le refuge pour animaux de Burnaby, au Canada. Mais rien à faire, la seule chose que le refuge de la ville était disposé à mettre en œuvre était de l’euthanasier contre une somme d’argent.

Quand l’association de protection des animaux « animal Advocates Society » est venu chercher l’animal, les maîtres s’apprêtaient à le faire euthanasier.

Négligée et attachée pendant 10 ans Le chien vivait dehors, enchaîné depuis 10 ans à sa niche, sans couverture, nourriture ni eau potable à proximité. Pas même un jouet ou un os à ronger pour l'occuper.

La pauvre bête évoluait avec peine dans ses propres excréments, handicapée du train arrière à cause de la malnutrition et des bourres énormes présentes dans son pelage.

Il n’y avait plus de temps à perdre pour remettre l’animal d’aplomb. Renommée Judith, la chienne a été examinée par un vétérinaire, s’est fait raser l’arrière train pour l’alléger de ses bourres de poils, a été nourrie et couchée avec décence.

Une fin heureuse pour la chienne Rapidement, un couple tombe sous le charme de Judith et l’adopte aussitôt. Ils l’aiment, sont attentionnés, la chérissent… Et lui procurent un chariot pour qu’elle puisse se déplacer malgré son handicap du train arrière. Judith est décédée après 18 mois d'un traitement qu’elle n’avait jamais connu pendant 10 ans de maltraitance. Mais qu’importe le passé, un chien vit dans le présent et Judith n’aura retenu de sa vie que les instants qu’elle a passé en compagnie de ses maîtres aimants.

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Il est orphelin et on suppose qu'il a été abandonné par sa mère. Il a débarqué il y a environ un mois dans la cour de la famille de Matevz Logar, à Podvrh, un village du centre de la Slovénie. Les facéties du petit ours brun, âgé aujourd'hui de 3 mois et demi, ont vite charmé tout le pays, raconte le site BBC news World. Baptisé «Lucky» par les médias locaux, le petit animal développe une relation très câline avec sa famille d'accueil, y compris avec le chien, qui se laisse mordiller visiblement sans broncher. Et «Lucky» ne cache pas son plaisir de pouvoir se rouler sur le canapé en toute liberté. Mais, évidemment, les belles histoires ont une fin et elle pourrait bien arriver prochainement car les autorités craignent que l'ourson devienne rapidement un animal dangereux pour ses bienfaiteurs. La famille Logar a dès lors demandé la permission de construire un enclos. L'ours brun est l'un des plus grands carnivores de la planète et les mâles peuvent peser jusqu'à 350 kg.

douce entente

adorable

trop mimi

La vie n'est pas toujours rose comme on nous la decrit ,elle est meme parfois noir et triste de désespoir, pourtant malgré cette noirceur, le sourire doit rester coller a nos levres

M E R C I

les conditions d'abattage des animaux à fourrure en Chine, le lobby des fourreurs en profite pour entamer une véritable campagne de désinformation. Aujourd'hui, les militants pour les droits des animaux ne veulent pas laisser passer de tels mensonges et veulent rappeler que TOUTE fourrure est le résultat de souffrances et de tortures, il n'y a pas d'exception ! Les animaux d'élevage passent leur misérable vie entassés dans des cages sales et minuscules, entièrement grillagées pour laisser passer leurs excréments sans risquer de salir la fourrure. Ces conditions de vie amènent à des comportements dégénératifs comme l'auto-mutilation ou le cannibalisme. Ils sont mis à mort dans des conditions tout aussi atroces et sont bien souvent encore vivants lorsqu'on leur arrache la peau. Et que dire des animaux sauvages piégés dans des pays comme le Canada où les pièges à pattes et à collet sont tout à fait légaux

Même si l'on perd un ami très proche, le souvenir dans notre coeur le fait survivre ici-bas. Et c'est soudé avec notre entourage que l'on remonte la pente et sourit à nouveau