Parfois, il y a des moments où l’absence nous semble si réelle, on croit perdu l’espoir Sentiments de doutes, d’abandon en soi, contrariétés, qui nous poussent vers un départ, Tristesses qui pleurent en cascade, indifférence qui tue les mots, un vide brode de noir. Douleur qui nous maîtrise, qui brûle comme la lave d’un volcan, sentiments qui fuirent en colère Des pas perdus qui se bloquent devant le miroir de l’âme, un dernier souffle nécessaire. Parfois, juste le temps d’un détour, d’un frôlement de cils, on aperçoit l’aurore Dans un petit coin merveilleux, ou, malgré les absences, les regards se croissent, On reste présente par la pensée, des ailes qui laissent des traces au fond du ♥.