Comme une somnambule, je divague le long de ses rues rampantes en solitaire, dans l’absence de ta présence qui me paraît lancinante. En silence j’attends en vain à te retrouver au travers de la rosé d’un matin, où je m’enivre à sentir tes éclats bruns, un rêve parmi tant d’autre qui me plait d’espérer à revoir cette réalité qui m’en a mis les larmes aux yeux ,quand tout s’est dissipé, quand j’ai du m’en aller loin de toi, loin de ta flamme . Emportant avec moi un bout de toi, qui m’aide à m’endormir à chaque fois où je peine à trouver le sommeil, à me laisser plonger dans mes rêves. Où le cauchemar est de se lever sans te voir au réveil, sans trouver ce qui m’émerveille juste auprès de moi, juste à mes cotés, juste devant mon regard quand je perçois cet univers décimé par le manque de ton être. Le néant c’est d’être loin de toi, mon ange qui me rend la vie si mélodieuse, si harmonieuse.