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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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sterne arctique

Publié à 10:03 par fandeloup Tags : mer vie chez sur afrique animal pouvoir voyage hiver oiseaux maison voyages
sterne arctique

L'incroyable migration de la sterne arctique dévoilée par des GPS Chaque année, le plus grand voyageur du royaume animal effectue un aller-retour de 70 000 km, poursuivant sans relâche aux quatre coins du globe la lumière du jour. 

Je viens de prendre un vol reliant Londres à la Caroline du Nord, soit une distance de 6 200 km. Face au périple de la sterne arctique, ce voyage fait en réalité bien pâle figure, digne d'une simple balade au parc. Chaque année, le plus grand voyageur du royaume animal effectue un aller-retour de 70 000 km, poursuivant sans relâche aux quatre coins du globe la lumière du jour.

La sterne arctique passe l'été sous le soleil de l'Arctique, avant de mettre le cap vers les cieux tout aussi lumineux de l'Antarctique en hiver. Au cours de ses 30 ans de vie, cet aéronaute parcourt plus de 2,4 millions de kilomètres, l'équivalent de trois voyages aller-retour sur la Lune.

Bien que le vol olympique de la sterne arctique soit assez connu, évaluer la distance d'un tel périple n'est pas chose aisée. Ne jetons pas l'opprobre sur les scientifiques : leurs estimations ne reposaient jusqu'ici que sur des observations en mer et sur la capture à différents endroits d'oiseaux bagués. Rares sont ceux qui auraient deviné à quel point les chiffres avancés dans les manuels étaient erronés.

Selon ces derniers, la sterne parcourrait 40 000 km par an. Une insulte pour l'oiseau, qui vole près du double de cette distance. Grâce à la pose de minuscules traceurs, son véritable itinéraire vient tout juste d'être découvert. Des dispositifs semblables avaient d'ores et déjà révélé les trajectoires de vol d'oiseaux marins plus grands, notamment d'albatros, de pétrels et de puffins. Mais ces gadgets étaient trop imposants pour pouvoir être attachés à des oiseaux plus petits ; poser un dispositif de 400 g sur un oiseau qui en pèse 100 ne donnera pas un aperçu fidèle de ses capacités de vol. Carsten Egevang, de l'université d'Aarhus au Danemark, a changé la donne avec le développement de minuscules dispositifs de géolocalisation de moins d'un gramme.

Ces capteurs peuvent suivre les mouvements des oiseaux migrateurs en enregistrant la quantité de lumière reçue à différentes étapes du voyage. Ils ont d'ores et déjà été inaugurés avec le suivi de toute la migration des oiseaux chanteurs. Le chercheur les a posés sur les pattes de 50 sternes et est parvenu à en récupérer onze lors du retour des oiseaux la saison suivante. La migration vers le sud constitue la portion la plus difficile du voyage.

Au terme de la saison des amours, les sternes s'envolent depuis le Groenland et l'Islande et volent en direction du sud-ouest, vers une escale inconnue jusqu'alors. Cette étape se fait au cœur de l'Atlantique Nord, où les eaux du nord riches en nourriture se joignent aux remous méridionaux plus chauds mais moins féconds. Les sternes y restent en moyenne trois à quatre semaines entre août et septembre, où elles reprennent des forces avant de prendre la direction du sud-est, vers l'Afrique. Elles suivent toutes le même itinéraire jusqu'aux îles du Cap-Vert, au large de la corne d'Afrique de l'Ouest, où elles se scindent en deux groupes. Une troupe poursuit son périple sur la côte africaine, tandis qu'une autre traverse l'Atlantique et suit la courbe du Brésil.

À près de 40 degrés au sud, les deux groupes passent d'un vol en direction du sud à des mouvements d'est en ouest plus désordonnés, certains oiseaux allant même jusqu'à l'océan Indien. En novembre, elles arrivent toutes à destination. Il leur aura fallu en moyenne 93 jours, voire 69 jours pour les plus rapides d'entre elles. Après l'effort, le réconfort : la lumière du soleil continue commence à rayonner sur la côte Antarctique, leur permettant de picorer 24h/24 les riches mers locales à la recherche de krill et d'autres aliments.

Elles y restent plusieurs mois avant de reprendre la direction du Nord à la mi-avril. Ce trajet est cette fois plus direct. Les batteries rechargées par le krill et les vents jouant en leur faveur, les sternes parcourent chaque jour 500 km et il ne leur faut pas plus de 40 jours en moyenne pour arriver à la maison. Plutôt que de survoler les côtes, elles empruntent des trajectoires directes au-dessus des eaux profondes.

Elles tracent une forme de S dans l'atmosphère, se dirigent vers le sud-ouest de l'Afrique, traversent l'Atlantique et reviennent au même point de transit de l'Atlantique Nord que lors de leur périple vers le sud. Elles finissent par arriver dans l'Arctique au mois de mai, éreintées et prêtes à se reproduire. Si la sterne arctique est certainement le plus accompli des migrateurs à plumes, elle est loin d'être la seule. Nombreux sont les oiseaux qui nichent dans l'Extrême-Arctique afin de migrer plus au sud en hiver.

Or, la migration n'a rien d'une promenade dominicale ; il s'agit d'un super-marathon qui draine toute énergie et confronte les oiseaux à des conditions météorologiques extrêmes. Beaucoup d'entre eux meurent en chemin et même les survivants doivent surmonter le climat extrême de l'Arctique et être suffisamment résistants pour s'y reproduire. Pourquoi s'infliger de tels périples ? Les avantages d'une destination plus au nord doivent être considérables pour compenser un tel investissement.

Selon des études antérieures, il y aurait deux raisons à cela : les parasites se font plus rares à des latitudes plus élevées et les journées plus longues offrent aux oiseaux plus de temps pour attraper la nourriture dont ils ont besoin. Toutefois, les oiseaux pourraient toujours bénéficier de ces avantages s'ils s'arrêtaient plus au sud, dans les régions subarctiques, réduisant leur voyage de manière drastique et leur permettant de se reproduire sous des climats plus cléments. Laura McKinnon, de l'université du Québec, a désormais une troisième explication à ce dernier élan vers le nord : cette trajectoire est plus sûre.

La chercheuse a analysé l'influence des prédateurs dans une étude continentale. Pour ce faire, elle a disposé plus de 1 500 nids artificiels sur des sites de nidification à travers le Canada, des latitudes subarctiques à 53 degrés à l'Extrême-Arctique situé à 83 degrés. Étudier la prédation est une tâche revêche. Chez les oiseaux, les parents pourraient lutter contre des mâchoires affamées au moyen de méthodes de défense vigoureuses, du camouflage ou en choisissant le moment opportun pour se reproduire.

Alors que ces variables faussaient habituellement les expériences de ce type, les tests artificiels de Laura McKinnon les ont évincées pour ne se concentrer que sur la localisation. Elle a alors découvert que la reproduction à un degré de latitude plus élevé réduisait les risques d'être mangé. Dans son expérience, 29 degrés séparaient les sites de nidification les plus au nord de ceux les plus au sud, soit un risque plus faible de 65 % de finir entre les griffes de prédateurs.

S'il s'agit d'un avantage non négligeable par rapport aux autres oiseaux, compense-t-il véritablement l'énergie dépensée par la migration ?

mots

Publié à 08:54 par fandeloup Tags : douceur
mots

C’est la lumière de mon cœur que j’exprime.... C’est les mots de douceur que je partage.... C’est mon expérience que je transmets....

sensibilité

Publié à 18:12 par fandeloup
sensibilité

Les personnes hyper- sensibles sont souvent perçues comme des faibles ou des êtres brisés. Ressentir intensément les choses n'est pas un symptôme de faiblesse, c'est la marque de fabrique de l'être authentique et compatissan

astre

Publié à 17:47 par fandeloup
astre

Je suis en train de dorloter un astre qui luit, Ça suffit à me rendre happy,

droit

Publié à 17:31 par fandeloup
droit

Tu as le droit de pleurer, de rester en boule, fatigué, de te sentir, dans ta chair, à l'étroit.

liberté

Publié à 17:16 par fandeloup Tags : nature
liberté

Perdue dans la forêt, On aurait une petite cabane. Un endroit simple qui respire la paix. Libres et vivants devant la nature qui se pavane.

danger

Publié à 16:58 par fandeloup Tags : vie
danger

Les dangers de la vie font sa valeur, les héros sont ceux qui relèvent la tête quand toutes les chances sont contre eux .

Simb gaïndé

Publié à 16:17 par fandeloup Tags : enfants sur femme histoire femmes danse homme
Simb gaïndé

Le « Simb gaïndé » une tradition ancestrale sénégalaise

Le nom de Simb viendrait d’ailleurs du mot « simboo », nom donné à un lion particulièrement puissant en son temps. Il a toute une histoire qui est liée à l’histoire culturelle du Sénégal.

Selon la légende, à l’origine, le faux-lion est un rite de possession. Il remonterait à l’époque où le Sénégal était couvert d’épaisses forêts peuplées d’animaux sauvages comme les lions.

On raconte que le chasseur qui avait été attaqué par un lion et avait survécu devenait une personne étrange. Choqué par sa rencontre, il perdait la tête, rugissait comme un lion, ne mangeait que de la viande crue, des poils lui poussaient sur le corps, ils deviennent dès lors des faux lions. Bref il se comportait comme un lion.

Pour le soigner, les guérisseurs procédaient alors à des rituels de possession, tels qu'on en voit encore aujourd'hui dans les cas de possession par un esprit ancestral. Suite à une rencontre avec un diable transformé en lion, ou avec un lion particulièrement fier et féroce, un homme pouvait, choqué par une rencontre aussi imposante, être possédé à son tour.

Cela n’était pas sans conséquence et une cérémonie de désenvoutement était alors indispensable pour permettre à l’homme de réintégrer la communauté humaine. Dans la tradition sénégalaise, le lion est le totem des « ndiayéennes » (ceux qui ont N’diaye comme nom de famille), donc ce sont eux qui ont le don de faire le « Djaat » à un vrai lion. Mais s’il s’agit d’un faux lion, ça reste l’apanage des « Guéweuls » (Griots) et « Niénio ».

Le « Djaat » consiste à chanter les louanges du faux lion en question. Dans un discours épique, il faut rappeler ses actes héroïques, son courage ainsi que faire les éloges de sa famille et de ses ancêtres pour bénéficier de son calme et de sa clémence. Cette cérémonie culturelle « héroïque » s’organise autour des villages, des quartiers populaires, etc.

Elle est riche en culture dans la mesure où elle combine la danse, le "sabar", mais aussi des pratiques plus ou moins mystiques. Les Faux-Lions se maquillent soigneusement, et, au fur et à mesure de leur transformation, « changent de peau » en se laissant posséder par l’esprit de l’animal. Une fois métamorphosés, avec ses assistants (comme, par exemple, deux Hommes-Lions, deux Hommes-panthères et deux Hommes-Femmes), ils pénètrent enfin dans l’arène aménagée pour le spectacle. Les danses sont vives, endiablées, le tam-tam insistant et le Faux-Lion et ses acolytes font l’admiration des foules pour leurs talents de danseur. Dès que les "sabars" résonnent, les enfants commencent à s’agiter, et les téléspectateurs viennent de partout.

Petit à petit, une foule s’installe. Traditionnellement, les « faux lions » sont au nombre de quatre et arrivent un à un de façon hiérarchique ; après l’installation des entrées et des tambours-majors. Il ne faut pas oublier le « Goor-Jigeen » qui est un homme qui s’habille en femme pour susciter le rire et l’attention des téléspectateurs.

Après les arrivées, les « faux lions », plus connus sous le nom de" Gaîndés", vont toujours à la quête des gens qui n’ont pas acheté de ticket et qui veulent assister clandestinement à la cérémonie. Et généralement, quand ils réussissent à attraper une personne, ils essayent de la faire danser sous peine de sanction publique (frapper, « griffer », etc.)

Hormis ces évènements particuliers, nous pouvons voir aussi de faux lions lors des combats de lutte ou d’autres évènements purement culturels. C’est simplement un fait culturel qui se manifeste culturellement. Source: Africavivre.com, Cheikh Cissé (écrivain), "Simb le jeu du faux-lion"

Vous pourrez trouver de riches renseignements dans l’un des rares textes disponibles traitant de ce sujet, « Simb, le jeu du Faux-Lion », de Hana Geroldova (dans « De l’instinct théâtral » aux éditions de L’Harmattan, 2004).

singes

Publié à 15:10 par fandeloup Tags : cadre homme chez sur base coup rouge
singes

Pourquoi les chimpanzés raffolent-ils du cerveau des bébés singes ?

Une nouvelle étude révèle la façon surprenante qu'ont ces grands singes de consommer de la viande.

De Shauna Steigerwald

Dans le parc national de Gombe en Tanzanie, un mâle chimpanzé mange un singe colobe. 

Dans la forêt du parc national de Gombe, en Tanzanie, là même où Jane Goodall a commencé à étudier les chimpanzés en 1960, un groupe de ces primates se balade lorsqu'il tombe sur des colobes rouges, une autre espèce de singes. Les chimpanzés surveillent leur proie.

La chasse démarre. Dans le chaos qui règne, des singes tombent des arbres tandis que les chimpanzés lancent des cris en tuant leur repas. La scène entière est filmée. Ian Gilby, anthropologue à l'Université d'État de l'Arizona et auteur principal d'une nouvelle étude sur le sujet, a filmé des individus de la communauté de Kasekela, habitués à l'Homme, à Gombe.

Le but de cette étude était d'en savoir plus sur la façon dont ces singes partagent leur viande. C'est en visionnant les vidéos plus tard qu'Ian a découvert que les chimpanzés commençaient par manger leurs jeunes proies, des bébés, des jeunes et des adolescents, par la tête.

Par contre, la consommation de viande de singe adulte est moins fréquente. Il est donc parvenu à une question peu étudiée qui a un lien avec la façon dont les humains ont évolué : pourquoi les primates préfèrent-ils manger une partie spécifique du corps en premier ?

UN INTÉRÊT POUR LE CERVEAU

Ian Gilby pense que cela a un lien avec la nutrition. « Nous avons tendance à dire que la viande, c'est juste de la viande. Mais sa teneur en nutriments varie », a déclaré l'anthropologue, dont l'étude a récemment été publiée dans la revue International Journal of Primatology.

« Si les nutriments sont nombreux dans toute la carcasse, c'est encore plus vrai pour le cerveau ». Les cerveaux sont riches en matières grasses et contiennent des acides gras à longue chaîne, qui aident au développement neurologique. Un chimpanzé attrape un jeune colobe rouge au cours d'une chasse.

 Si les chimpanzés sont capables de briser le crâne d'un jeune singe en un coup de dent, ce n'est pas le cas pour les primates adultes, dont le cerveau est plutôt difficile d'accès. En essayant d'ouvrir le crâne d'un adulte, le chimpanzé risque de se faire voler son butin par d'autres individus. Par conséquent, lorsque des chimpanzés tuent des singes adultes, ils commencent par manger les organes riches en nutriments, comme le foie. Cela pourrait expliquer pourquoi les chimpanzés de Gombe s'attaquaient parfois au torse de primates adultes en premier.

« Cette étude est l'une des premières à fournir des informations sur la façon dont les chimpanzés consomment leurs proies », a indiqué Jill Pruetz, anthropologue en biologie spécialisée en primatologie à l'Université d'État du Texas et exploratrice National Geographic.

UNE QUESTION DE NUTRITION ET DE CULTURE

Au Sénégal, sur son site d'étude, Jill Pruetz a observé des comportements similaires. Là-bas, elle étudie les pratiques de chasse des singes dans le cadre du Fongoli Savanna Chimpanzee Project. Elle a notamment observé des chimpanzés manger tête la première des galagos. Elle a aussi découvert un cas de cannibalisme chez des chimpanzés, toujours au Sénégal.

Les opinions divergent sur les raisons de cette consommation de viande chez des primates omnivores, puisque la viande n'est pas un aliment de base dans leur régime. Bien que l'anthropologue adhère à l'hypothèse selon laquelle les chimpanzés font cela par soucis de nutrition, cette dernière n'explique pas toutes les différences observées sur les sites étudiés. Certains chimpanzés mangent des oeufs, alors que d'autres non. À Fongoli, les chimpanzés qui chassent les babouins laissent parfois la tête de côté et les intestins sont peu consommés, sans que l'on ne sache pourquoi. Jill Pruetz pense que les traditions culturelles et celles apprises au sein des populations pourraient être à l'origine de ce comportement.

UNE ÉVOLUTION RENDUE POSSIBLE PAR UN RÉGIME CARNÉ ?

Comme nous partageons un ancêtre commun avec les chimpanzés, les études portant sur la consommation de viande de ces derniers pourrait permettre de mieux comprendre l'évolution humaine. D'après Ian Gilby, les espèces dont descendent les premiers hominidés ont commencé à manger plus de viande. Son étude révèle que l'explication a cela pourrait être un besoin en matières grasses. « L'une des meilleures solutions pour comprendre les premiers hominidés est d'utiliser des chimpanzés comme modèle », a souligné Jill Pruetz. « Plus on en sait sur la façon dont chassent les chimpanzés, plus nous pouvons faire des hypothèses ou déterminer le comportement des premiers hominidés ».

humour

Publié à 13:56 par fandeloup Tags : air sur
humour

Sur l'autoroute, un contrôle radar enregistre une Ferrari à 19 Km/h.

OUI ! OUI ! Seulement 19 Km/h

Le policier, qui vient d'effectuer le constat, rattrape donc, en trottinant, le véhicule et tape à la vitre pour demander des explications.

Au volant, une blonde lui répond en souriant

- “Je respecte les limites de vitesse indiquées sur les panneaux. Il y a inscrit “A 19”, alors je roule a 19…”

Le policier répond, en souriant - “Mais non, A19, c'est le numéro de l'autoroute ; ce n'est pas la limite de vitesse !” Et, regardant la passagère, il rajoute - “Et vous devriez vous dépêcher, car votre amie à l'air d'être malade. Elle est toute blanche…”

Et la blonde - “Je crois que c'est parce qu'on vient de quitter l'A313.”