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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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vignettes

Publié à 16:10 par fandeloup
vignettes

Qui a connu ? 



jeu

Publié à 15:52 par fandeloup Tags : animaux nature aimer
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Jouer est sa nature première ! Partager et aimer ..que de leçons nous donnent ces animaux !



brique

Publié à 15:37 par fandeloup

naissance

Publié à 15:29 par fandeloup Tags : nature
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Fascinante Nature| Quand un crocodile sort de son œuf.



humour

Publié à 15:09 par fandeloup Tags : sur martine
humour

Faites comme Martine sur la route écoutez Rire & Chansons



Un gène ''zombie''

Publié à 14:52 par fandeloup Tags : place monde bonne homme chez sur mort afrique cadre animaux animal
Un gène ''zombie''

Un gène ''zombie'' aiderait les éléphants à combattre le cancer

 

Une étude américaine vient de découvrir le gène luttant contre le cancer chez les pachydermes. D'origine très ancienne, c'est une arme très efficace contre cette pathologie. Mercredi, 22 août Malgré leur taille impressionnante, les éléphants ne sont que rarement touchés par le cancer.

Alors qu’aujourd’hui le cancer est l’une des principales causes de mortalité chez l’Homme, il n’en est rien chez l’éléphant. Pourtant d’un point de vue physiologique, l’animal terrestre le plus massif du monde semblerait être un candidat tout choisi pour cette maladie.

Cependant, l’équipe menée par Vincent Lynch, biologiste de l’évolution à l’Université de Chicago, vient de lever le voile sur une partie du mystère de l’incroyable résistance génétique de ces colosses dans une étude publiée dans la revue scientifique Cell Reports.

Selon celle-ci, leur résistance à cette pathologie serait due à la présence d’un gène qui détruit les cellules dont le patrimoine génétique est endommagé : facteur inhibiteur de la leucémie 6 ou LIF6. La plupart des mammifères ont un gène LIF mais la particularité de l’éléphant est qu’il en possède plusieurs. Initialement, la fonction première de LIF réside dans l’inhibition de la différenciation cellulaire, lorsqu’une cellule passe d’un état indifférencié à un état spécifique dans une partie du corps, afin de contrôler la croissance d’un individu. Il est également connu pour son rôle dans l'amélioration de la fertilité.

En revanche, chez l’éléphant, la sixième version du gène a subi des modifications dans son comportement. Elle élimine désormais les cellules sujettes à des mutations pouvant être à l’origine de cancers. D’après les scientifiques de l’étude, le gène serait apparu il y a environ 59 millions d’années chez les ancêtres des éléphants actuels et des mammouths. À l’époque inutile, il aurait évolué conjointement avec les espèces.

Endormi jusque-là, le gène « zombie » serait sorti de sa léthargie et devenu fonctionnel.

 

UNE CASCADE GÉNÉTIQUE FATALE

Activé par le gène TP35 chargé de détecter l’ADN endommagé, LIF6 rentrerait en action dans les mitochondries des cellules mutées. Une mitochondrie est un élément de la cellule chargé de lui fournir de l’énergie. Lorsque les protéines issues du gène pénètrent dans ces dernières, elles ouvrent les parois des mitochondries dans lesquelles se trouvent des molécules toxiques pour la cellule hôte. Ainsi ayant ces molécules dans son environnement interne, la cellule touchée meurt.

À l’instar de LIF6, le gène TP53 est notamment responsable de la résistance des éléphants au cancer. Présent chez tous les mammifères, il est vital pour la prévention de la maladie. Ce gène code pour une protéine appelée p53 qui veille à la bonne structure de l’ADN. Dès qu’une cellule est endommagée, p53 se fixe sur les mutations concernées qu'il peut soit réparer, soit en bloquer la division cellulaire voire déclencher l’apoptose, la mort cellulaire. Une étude publiée en 2015 dans la revue scientifique eLIFEet toujours menée par le Dr Lynch avait démontré que, contrairement à l’Homme qui ne possède qu’une copie de TP53 dans son ADN, l’éléphant en comprend 20. Une étude de l’Université de l’Utah publiée dans la revue Jama Network était arrivée à la conclusion similaire durant la même année.

Ce nombre important de versions de gènes lui permet d’être plus présent et plus performant dans les cellules.

 

LE PARADOXE DE PETO OU LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LE CANCER

Le cancer est un groupe de maladies dans le cadre desquelles se développent des tumeurs liées à une multiplication incontrôlée de cellules mutées. Ces mutations sont dues à l’accumulation d’erreurs dans les gènes des cellules se dupliquant. L'éléphant de savane d'Afrique (Loxodonta africana) est le plus gros animal terrestre du monde. Il mesure en moyenne 4 mètres à l'épaule pour un poids d'environ 6 tonnes pour le mâle et 4 tonnes pour la femelle.

 Il serait alors cohérent d’imaginer qu’un animal grand et massif tel qu’un éléphant comprenant un nombre très élevé de cellules - de l’ordre du billion - soit plus susceptible de posséder des mutations cellulaires responsables d’un cancer. De la même manière, un animal vivant plus longtemps a également logiquement davantage de risques de détenir des modifications génétiques délétères. Or chez les mammifères, cette vérité ne s’applique pas.

Un homme a, par exemple, autant de chances de développer un cancer qu’une souris. Cette antithèse scientifique établie dans les années 70 se nomme le « paradoxe de Peto ». Il permet d’expliquer entre autres les nombreuses stratégies des grands mammifères leur permettant de déjouer la pathologie. Outre les mécanismes génétiques mis en place par les pachydermes, ces animaux semblent avoir d’autres ressources pour lutter contre le cancer.

La principale autre stratégie étant leur métabolisme lent, il leur permet ainsi de limiter les erreurs dans la duplication cellulaire. Le modèle génétique de l’éléphant peut être très inspirant pour l’Homme et pourrait dans les années à venir aboutir à de futurs axes de recherches de traitements contre le cancer.



vivre

Publié à 11:58 par fandeloup Tags : nature sur vie aimer
vivre

Même s’ils sont persuadés que la vie est le bien le plus précieux, il est rare que les humains comprennent que, dans cette vie, le plus important c’est la vie elle-même. Si, au lieu de s’éparpiller dans des activités qui les affaiblissent, ils s’efforçaient de développer leurs facultés psychiques et spirituelles, ils découvriraient que c’est dans les actes les plus simples et les plus quotidiens que la vie a enfoui ses vrais trésors. Respirer, se nourrir, marcher, ouvrir les yeux sur la nature, aimer, penser, voilà les véritables dons de la vie.



loups

Publié à 11:38 par fandeloup Tags : bonne bonne journée
loups

Il fait un peu frisquet ce matin bonne journée à tous bizzz.....



haine

Publié à 10:45 par fandeloup Tags : france
haine

La meurtrière de " Fudji " le berger allemand brûlée vive est décédée malgré les soins des vétérinaires…  Reposes en Paix petit cœur…. Que justice soit faite !!!

Cette saloperie a un élevage !

Elevage du triskell des cornouailles

Mme Forcheron Marie

71360 Epinac

71 Saone et loire France.



tardigrade

Publié à 08:46 par fandeloup Tags : photo animaux
tardigrade

Le tardigrade résiste à tout, même aux radiations

 Avec son allure de sac d’aspirateur à demi dégonflé l’ourson d’eau ou tardigrade a plus d’un tour dans sa besace. On le savait résistant à la température, pouvant supporter le quasi zéro absolu ou renaître après un passage à 100°C.

Ces petites bêtes de moins d’un millimètre peuvent même se passer de nourriture et d’eau durant 30 ans sans en pâtir et vivre au sommet des plus hautes montagnes ou dans les profondeurs océaniques.

Grâce aux études de chercheurs japonais, les tardigrades peuvent ajouter une ligne à leur CV. En effet, ils détiennent dans leur corps une protéine qui leur confère une résistant à des taux de radiations fatales pour les autres animaux .

Les scientifiques étudient désormais cette protéine qui pourrait nous être d’une grande utilité, notamment lors de traitements de chimiothérapie. 



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