Vous mes enfants,quand vous etes venu au monde, mon coeur a explosé et s'est inondé d'un amour d'une puissance que je ne pouvais imaginer même dans mes rêves les plus intenses. L'amour que j'éprouve pour vous est un amour dont seul les étoiles peuvent en comprendre le langage. Ce jour-là, à votre naissance, jour gravé à vie dans le plus profond de mon coeur et de mon âme, vous etes devenus mon étoile terrestre. Vous etes ma chair, mon sang, ma vie, et je vous dis ces mots en sachant que je suis ici pour vous accompagner, que vous etes les enfats de l'Univers et que vous ne m'appartenez pas. Je vous dis ces mots en vous faisant la promesse de vous donner au mieux tout ce je pourrai, que je suis une mère avec ses faiblesses, ses failles et ses défauts, que je veillerai sur vous et vous protégerai, avec immensément d'amour et de respect,souvenez-vous mes enfants, qu'une maman parfaite n'existe pas, mais que mon amour indéfinissable dépasse la perfection tellement il est grand et puissant. À vous mes enfants, merci pour l'immense privilège que vous m'offresz qui est celui de vous aimer, de vous chérir et surtout de pouvoir m'appeler maman. Merci mes enfants, Merci mes étoiles de vie. Votre maman

Je vous présente mon blog...vous pouvez y retrouver tous mes écrits , si vous le souhaitez vous pouvez mettre des j'aimes , les commenter ou alors vous inscrire à la newletter afin de recevoir en primeur les dernières publications ce celui ci ...n'hésitez pas à partager autour de vous ...vous pouvez également trouver sur celui ci à votre droite les bannières de mes recueils en autoédition , il vous suffit de cliquer dessus , je vous souhaite une excellent visite et une bonne lecture gros bisous.

                  Fandeloup

Quand l’espoir n’existe plus . Si tous vos rêves se sont perdus quand tout s’éteint ,même dans le noir ouvrez un peu les yeux ,je sais que vous m’entendez,essayez , aller de l’avant prenez survous, relevez vous, croyez en vous,et ne vous arrêtez pas en chemin. Quand le vent ne suffit plus a balayer toute les blessures ,abandonnez la solitude ,ouvrez un peu les yeux ,je sais que vous m’entendez,essayez, allez de l’avant prenez survous, relevez toi, croyez en vous et ne vous arrêtez pas en chemin. Si vos pleurs s’effacent, vous aurez votre place. Si le temps défile, n’ayez pas peur du vide .Je crois en chacun de vos pas, avancez ne baissez pas les bras, et si jamais vous vous perdez, je serai toujours là..

Les pages se tournent, les chapitres s'achèvent, et un livre se termine dans le bruissement du silence.

Ecrit -on un nouveau livre en ayant déjà le titre en tête, ou attend on de finir le livre pour en donner un ?

Je choisis celui d'être libre, j'en mets un avec l'option d'en changer, de l'ajuster au fil du temps.

J'ai fait le choix de l'amour, sans dieu, ni maitre. Je m'affranchis de toutes les allégeances, de tous les serments, quel qu’elles soient leurs buts et intentions, et de tous ceux et celles qui y sont liés.

Je me fous du haut, du bas, du bien, du mal, des croyances, des peurs, et de tout ce qui me sépare... Je me fous d'avoir tort ou raison... Je me fous de savoir ou de ne pas savoir... Je me fous des limites, des barrières... Je me fous de ce que l'on croit, d'une image, des stéréotypes, de l'humour bête et méchant, de l'ironie, des mensonges, des subterfuges Je me fous du politiquement incorrect...

Je suis Une, illimitée, inconditionnelle.

J'accepte tout ce que je suis, ombre et lumière, paradoxe...

J'accepte tout ce qui m'arrive...

J'accepte la vie, la mort, l'amour. J'accepte d'Être.

J'accepte d'être seule, de vivre seule, de mourir seule

J'accepte ce que je vis, ce que je ressens.

J'accepte la peur, la honte, la culpabilité.

J'accepte tout cela avec amour sans conditions préalables.

J'accepte ce que je suis même si...malgré...

Mes rêves démesurés pour certains, mesurés pour moi, mes ambitions, de n'écouter que moi, de sortir des chemins déjà parcourus par d'autres et par moi. J'empreinte des chemins nouveaux, non explorés. Ces chemins dont on ignore les destination, seul l'amour compte... Ce chemin là est le mien. Je ne me contente pas de ce que l'on me dit, je vais plus loin. Je ne veux plus être en apnée sous l'eau, alors que je sais respirer où que je sois. Je ne veux plus avoir le choix entre deux options, alors que les choix sont illimités. Je suis Une, Je suis illimitée, Je suis Amour.

Je suis une femme-grenier. Je garde tout. Si on plantait une caméra au cœur de ma mémoire, on pourrait reconstituer ma vie, comme dans un studio de cinéma. De la joie sauvage à la colère noire, en passant par la fréquence d'un battement de cils, tout est intact.

Je suis... Je suis une femme enfant, voyageant dans d'autres temps. Une éternelle rêveuse, une indéniable amoureuse. Mon cœur est un écrin, c'est là où je vous préserve avec soin. je suis un oiseau de nuit, créative à mes heures d'insomnies. J'aime souvent rire comme une enfant, retrouver l'insouciance l'espace d'un instant. Aussi forte que fragile, j'absorbe les émotions à mes risques et périls. J'aime aussi l'amour tout en poésie, incorporé à un brun de folie. Mon verbe préféré que je vous transmet dans tous mes écrits, est le mot...aimer...vous l'aurez compris.

Ne supporte pas la vulgarité, la lacheté, l'egoisme, l'intolérance, l'injustice, l'hypocrisie, la violence et l'indifférence. En résumé ne supporte pas la betise humaine. Généreux mais attention : déteste que l'on se paie sa tête!!! Trop sensible parfois, romantique et sentimental, mais bon on ne se refait pas... J'aime les personnes honnetes, sincères et franches!

Tu m'as donné le jour. Tu m'as donné le jour, tu m'as offert la vie, et bercée par ton amour se sont enfuies mes peurs d'enfant, envolées mes tristesses, sur ton cœur de maman débordant de tendresse! Suspendue à ton sourire, j'ai essayé de grandir tout doucement, de retenir les ans, et le temps qui m'a poussée vers l'indépendance désirée, n'a jamais brisé le lien qui lie mon cœur au tien ! Tu as protégé mon enfance, ensoleillé mon adolescence, tu illumines chaque jour mon existence !

Les jours s'égrènent péniblement, sans but, sans joie, trop lentement, un trop lourd fardeau, quel beau cadeau que je traine depuis l'enfance, prisonnière d'une phrase jetée au hasard d'une discussion, qui a transformé ma vie en négation, qui l'a éteinte comme on éteint une bougie dans un souffle interdit. 

On m'a dit de vivre pour moi, sans tenir compte des autres, de toujours croire en moi et d'apprendre de mes fautes.

On m'a dit de toujours garder le sourire parce que c'est important, qu'il ne fallait jamais douter de l'avenir parce qu'il apportera avec lui le changement.

On m'a dit de ne jamais m'arrêter sur mes regrets, que ça n'aidait pas à avancer, qu'il ne fallait pas oublier de rêver parce que ce sont eux qui me guideraient.

On m'a dit tellement de choses qu'aujourd'hui je suis perdu, j'ai voulu connaitre l'amour, mais j'y ai laissé des plumes, j'ai voulu combattre la mort et mon cœur, aujourd'hui, n'est plus.

Mon palais des merveilles a disparu, le bonheur ne reviendra plus, il est trop tard et le temps tourne, Cupidon fait le trottoir au pays de mes tortures, de ma passion à l'abattoir il n'y qu'une blessure et tu voudrais me faire croire que l'amour est une plaine sûre ?!

Désolé, mais j'ai bien trop de plaies à panser pour y penser, la tristesse est un cap par lequel on finira tous par passer, malheureusement, je n'en suis jamais sorti, cette connerie aura m'a vie, au fil du temps, au fil des nuits, j'ai espéré revoir le printemps, mais plus je bats des cils, plus il s'enfuit.J'ai besoin de te cracher ce que je sais, de te conter mon combat, je ne voudrais pas que tu penses que tout finit par passer, que le temps te guérira, parce que tout ça c'est des conneries, rien ne peut redonner vie à ce qui est mort depuis longtemps déjà.

On m'a dit de ne jamais perdre espoir en mon prochain, d'avoir confiance en l'humain, qu'il n'était pas rare de voir se tendre les mains, lorsque nous espérons voir s'éteindre demain, mais tout ça c'est fini, la solitude a remplacé les amis et la vie n'est autre qu'un très long suicide. Une descente aux enfers, très loin de demain, toujours plus proche d'hier. Parce que si je ne t'en parle pas, tu ne connaitras jamais mon calvaire, parce que si tu ne me regardes pas, tu ne sauras jamais qu'il est possible de pleurer des éclats de vers. Dans ma tête c'est le cahot, j'ai laissé mourir mes rêves sous les coups de certains souvenirs , me comprendras-tu si je te dis que j'ai besoin d'ailes, que je ne crois en la vie au pluriel, si je te dis que pour moi c'est fini et que j'en ai marre de tout ça ?!

Regarde-moi dans les yeux et tu comprendras que même une lueur peut partir, retiens-moi lorsque je n'aspire qu'à sourire, mais laisse-moi seul m'en sortir si je dérive sur les flots de mes souvenirs. Non pas que j'aime vivre ainsi, mais ces tristes souvenirs sont les seules choses qui me rappellent que moi aussi, j'ai eu une vie…