Scène inhabituelle à Pairi Daiza: les deux gorilles du parc se sont battus violemment 

Le parc animalier Pairi Daiza a publié sur les réseaux sociaux des images de cette lutte.

 Ils ont pu assister à un combat entre Shomari et Wazungu, deux gorilles du parc. Ce dernier a publié sur les réseaux sociaux des images de cette lutte. Des clichés pour le moins impressionnants. Rien de grave cependant, puisque c’est dans la nature des gorilles de se chamailler quand ils se retrouvent en groupe. Wazungu, le mâle dominant, a donc l’habitude d’être « testé » par des plus jeunes comme Dayo ou Shomari.

Les primates sont semblables aux humains, car ils nous ressemblent et se comportent de la même manière. Ces adorables singes copient tout ce que nous faisons dans les moindres détails, aucun autre animal domestique ne peut les égaler.

Les grands singes seront-ils bientôt considérés comme des "personnes" ?

Durant le colloque "Sauver les grands singes : un enjeu pour l'Humanité", une table ronde était consacrée à l'idée de la création d'un statut spécifique dans le droit français et international pour ces animaux.

Les grands singes auront-ils un jour un statut juridique spécifique ?

Doter les grands singes d'un statut juridique spécifique : des juristes et des politiques veulent faire bouger les lignes du droit français pour mieux protéger ces primates en voie d'extinction, en poussant le concept émergent de "personne non-humaine".

Des grands singes inscrits dans la Liste rouge des espèces menacées La situation à l'état sauvage des grands singes est alarmante : les gorilles et les orangs-outans sont au bord de l'extinction, selon le dernier bilan de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

Et le chimpanzé et le bonobos sont considérés comme en danger d'extinction. Enfin, une troisième espèce d'orangs-outans de seulement 800 individus, découverte récemment, est menacée par un projet de barrage hydroélectrique, s'alarment des scientifiques et des ONG. Dans ce contexte tendu, en avril 2018, l'actrice Nathalie Baye, la primatologue Sabrina Krief, l'ex-patronne du Medef Laurence Parisot ou encore le conseiller de Paris Yann Wehrling lançaient un appel pour sauver ces animaux. Parmi les pistes évoquées, établir "une législation nouvelle à l'égard des animaux (...), des grands singes en particulier".

"On part de très loin dans notre pays"

Le droit civil français distingue deux catégories, les biens et les personnes. Longtemps considéré comme des biens meubles, les animaux domestiques ou en captivité sont reconnus depuis 2015 dans le code civil comme "des êtres vivants doués de sensibilité".

Pour autant, "sous réserve des lois qui les protègent, les animaux sont soumis au régime des biens". Les défenseurs des animaux ne se satisfont pas de ce changement. "On part de très loin dans notre pays", regrettait le 22 octobre 2018 le député LREM Loïc Dombreval lors d'un colloque sur les grands singes à Paris.

Pour la primatologue Sabrina Krief, modifier la loi permettrait "de montrer qu'on a un rôle à jouer en France" pour protéger les primates. "Un grand singe a la mémoire de ce qui s'est passé, il est empathique, il a extrêmement besoin d'une vie sociale", explique la scientifique, qui étudie les chimpanzés sauvages en Ouganda, rappelant leur proximité génétique avec les humains. Pour elle, exhiber ces animaux sur des plateaux de télévision ou dans des cirques va à l'encontre de leurs besoins et encourage en plus le braconnage pour leur capture.

Les grands singes peuvent-ils avoir le statut de "personne morale" ?

Quelle piste pour mieux défendre les primates en captivité ?

"Les faire basculer dans la catégorie des personnes", répond le professeur de droit Jean-Pierre Marguénaud. Il ne s'agit pas de les mettre sur le même pied que les êtres humains et leur reconnaître les mêmes droits, explique-t-il à l'AFP, mais de "s'inspirer de la personne morale". Cette personnalité juridique s'applique aux associations, fondations... Il s'agirait de "prévoir une boîte à outils qui préciserait la personnalité juridique qu'on pourrait accorder aux animaux" et qui serait déclinée en fonction des espèces, poursuit le Pr Marguénaud.

Ce concept a des détracteurs : pour certains, hors de question de rapprocher dans le droit des animaux des humains. Pour d'autres, il serait problématique de doter uniquement les grands primates, parmi les animaux, d'un statut spécifique. Une idée qui ne se limite pas à la France Le philosophe australien Peter Singer a créé en 1993, avec la philosophe italienne Paola Cavalieri, le "Projet grands singes" afin de réclamer pour eux le droit à la vie, la liberté et l'interdiction de la torture.

Aux Etats-Unis, l'avocat Steven Wise se bat depuis plusieurs années pour que des chimpanzés soient reconnus comme des personnes, en vain jusqu'à présent. En Argentine, le tribunal de Mendoza a accordé en revanche à une femelle chimpanzé le droit de ne pas être emprisonnée sans jugement en vertu de l'habeas corpus, une disposition fondamentale du droit anglo-saxon. Cecilia a quitté en 2017 sa cage du zoo de Mendoza pour rejoindre le Sanctuaire pour grands primates de Sorocaba au Brésil.

Avant elle, l'orang-outan Sandra avait été reconnue comme "personne non humaine" pouvant bénéficier de l'habeas corpus par la justice argentine, mais n'a pas été extraite de son zoo. Pour la philosophe Florence Burgat, spécialiste de la condition animale, les animaux ne seraient pas les seuls à gagner d'un changement législatif. "On ne peut pas éduquer les humains à se respecter entre eux tant qu'il y aura en même temps un blanc seing vis-à-vis des animaux."

Que sont devenus les gorilles de Dian Fossey ?

Grâce à la lutte acharnée de la chercheuse américaine et après 30 ans de protection, la population de gorilles de montagne, autrefois menacée d’extinction, s’est relevée. À tel point que la réserve rwandaise qui abrite l’espèce n’est plus assez vaste.

En 1967, Dian Fossey s'installe en République démocratique du Congo afin de débuter ses recherches sur les gorilles de montagne. À cause des activités humaines, 60 % des primates sauvages de la planète sont au bord de l’extinction. Ce n’est pas le cas du gorille de montagne (Gorilla beringei), une espèce vivant dans les forêts du parc national des Volcans, situé dans le nord-est du Rwanda.

Grâce au combat d’une primatologue américaine, Dian Fossey, l’animal est protégé depuis les années 1970. À cette époque, ces grands singes étaient moins de 275, un seuil critique pour le renouvellement de l’espèce. Aujourd’hui, l’acharnement de Dian Fossey à les défendre, a payé.

Le parc national des Volcans compte près de 480 gorilles organisés en huit groupes.

Problème : l’espace est beaucoup trop restreint pour tous les accueillir et la population continue d’augmenter. La réserve s’étend seulement sur 160 km2 , soit environ 1,5 fois la superficie de Paris intra-muros. Les affrontements entre groupes sont six fois plus fréquents qu’il y a dix ans, ce qui accroît les risques de blessure, d’infanticide et le niveau de stress. Ce dernier provoque une plus grande exposition aux pathologies.

Un groupe de gorilles a récemment quitté sa forêt natale, dans la montagne, pour descendre vivre dans des zones d’eucalyptus et de bambous. Et il s’approche dangereusement des villes. Or les animaux ne sont pas immunisés contre les maladies humaines et leur placidité à l’égard de l’homme les rend vulnérables.

Dian Fossey a payé de sa vie son engagement pour défendre l’espèce contre les braconniers et les paysans qui pillent son habitat. En 1985, elle a été assassinée de plusieurs coups de machette dans le centre qu’elle avait créé pour observer ses protégés. L’auteur de ce geste n’a jamais été démasqué. National Geographic, qui a financé les premières recherches de Dian Fossey au Rwanda, a rendu hommage à la primatologue avec une série documentaire.

Un cœur qui bat c'est une âme qui respire . . .

Tes yeux dans mes yeux, Tes mains frôlant mes mains, Ton visage contre mon visage,L'amour d'une mére

L'élégance est un tout et ce que ne se voit pas compte autant que ce qui se voit.

Quand le réalisateur a aperçu le regard tendu sur le visage du gorille, il savait qu'il se passait quelque chose. Soudain, les buissons ont commencé à bruisser, et le gorille a révélé ses véritables intentions, menant à un moment inoubliable que l'équipage a pu voir sur la caméra.

Un gorille stoppe le trafic, troublant une équipe de tournage - jusqu'à ce qu'ils voient un mouvement soudain dans les buissons qui montre ses véritables intentions Partager sur Facebook Gordon Buchananan, photographe naturaliste, ne s'attendait pas à obtenir des images aussi rares lorsqu'il s'est rendu en République démocratique du Congo pour filmer une pièce pour la BBC.

Lui et son équipe de tournage s'installaient, comme d'habitude, quand la vue étrange a attiré son attention.

 Dans les buissons se trouvait un grand gorille à dos argenté qui se tenait à l'écart sur le bord de la route et examinait la zone pendant que les camions continuaient à passer.

Buchanan savait qu'il devait capturer tout ce qui se passait sur le film . Et heureusement pour toi, il l'a fait. Tu peux donc tout voir par toi-même dans la vidéo. Enregistrer Buchanan était assez malin pour savoir qu'il se passait quelque chose quand il a remarqué l'aspect tendu du gorille.

Mais avec le temps, il n'arrivait toujours pas à comprendre ce qui dérangeait le grand primate. Au bout d'un certain moment, il a finalement envoyé son équipe sur la route pour mieux regarder. Et soudain, les intentions du dos argenté sont devenues claires.

Et avec l'appareil photo prêt et tournant, ils ont capturé la vue époustouflante. Au lieu de laisser les caméras se rapprocher, le dos argenté a fait un geste plutôt audacieux. Avec l'équipe de Buchanan sur la route, la circulation s'est arrêtée. Et maintenant que les camions sont hors de vue, le gorille à dos argenté de 700 kg a fini par bouger. Le dos argenté s'avança courageusement au milieu de la route et monta la garde, signalant au reste de sa famille de traverser.

C'est alors que l'équipage s'est rendu compte que le primate devait être sur les nerfs parce qu'il essayait de protéger sa famille. Il avait peur pour sa famille de traverser la route en toute sécurité, sans se faire renverser par un camion. Enregistrer Les gorilles protègent naturellement leur famille.

Et, heureusement, cette famille de gorilles a pu traverser la route en toute sécurité. Buchanan a même réussi à capturer des images étonnantes de la tentative. Et grâce à tout cela, tu peux les regarder et voir cet incroyable gorille à dos argenté escorter sa famille en toute sécurité de l'autre côté de la route.

Nous connaissons tous une maman gorille qui ferait quelque chose comme ça pour ses bébés!

Montre ceci aux parents les plus féroces que tu connaisses et dis-nous ce que tu as pensé des actions de ce gorille dans les commentaires!

https://youtu.be/VF5S0uGG6tg

J'adore .... Tout simplement...

Je suis à la fois fort et incroyablement sensible, dure et fragile. Ne me secouez pas trop fort, je ne tiens qu'à une larme.