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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ne te moque pas de l’indien qui descend des montagnes laissant ses chèvres et ses douces brebis, ses terres à l’abandon. Ne te moque pas de l’indien si tu le vois muet un peu fruste et tout assommé de soleil. Ne te moque pas si à travers rues tu le vois trottant comme un lama une guanaco apeuré, un âne rétif poncho et chapeau sous le bras. Ne méprise pas l’indien si au plein du soleil tu le trouves tout emmitouflé dans sa laine et trempé de sueur. Pense, ami, que celui-là descend de là-haut où un vent de glace entaille les mains et fait éclater les cals des pieds. Ne ris pas de l’indien si tu le vois mâchant son maïs cuit ou cette viande dure qu’il a traîné jusqu’ici, sur cette place, par quelque sentier glacial ou le long d’un fleuve. Le voilà qui descend vendre ses cuirs, vendre sa laine pour acheter son sucre, ramener sa farine. Il aura même sur lui sa monnaie et son manger pour ne rien devoir te demander. Ne te paye pas de sa gueule d’indien qui vit sur sa frontière par là-bas, vers le col de Zenta, car si tu vas par ses montagnes il t’ouvrira les portes de sa cahute te versera son alcool de maïs et te passera son poncho. Près de ses gosses, tu mangeras ce qui lui reste et rien en échange. Ne te paye pas la gueule de cet indien qui cherche le silence et fait monter ses fèves entre les caillasses d’ardoises là-bas, sur ces hauteurs où rien ne pousse. Car c’est ainsi que survit l’indien sur sa propre terre sa terre mère, sa Pachamama.
être indien maya dans une revue d'histoire, c'est chouette on vit au grand air, on bâtit des pyramides et des légendes, les femmes rêvent de nous...¨ être indien aujourd'hui n'est pas aussi facile ,surtout quand on est indien né indien
Ca ne sert à rien de vouloir fuir son passé, Tôt ou tard il nous rattrapera toujours. La mort n'est que la suite logique de la vie. On nait pour mourir.Le plus beau sentiment qui existe est l'amour. Un peu de douceur ne fait pas de mal dans ce monde de brute. On ne peut jamais revenir en arrière. Le temps cicatrice les blessures, Mais ne les effaces jamais. La réalité est souvent dure à accepter.
Que suis-je, qui suis-je, Telle est la question. Un être à qui l'on ne Porte aucune attention... Petite fleur à la fois Douce et fragile... Petit chaton craintif Sûrement trop docile... Gentillesse et sensibilité, Caractères oubliés... De nos jours cela Semble dépassé... Et, comme un fantôme, Je reste là, Sans faire de bruit, Seule avec moi... JE suis devenue Une timide ombre, Prête à se cacher Dans une tombe. Une conclusion, Y'en a t il une à faire ? Oui, je ne suis rien, Une poussière...
Nous tenons le terre entre nos mains………………………. Partageons quelques mots, quelques instants nos envies, nos blogs et nos amitiés.
POEME INDIEN
Je ne m'intéresse pas à la façon dont tu gagnes ta vie.
Je veux savoir à quoi tu aspires, Et si tu oses rêver de réaliser le désir ardent de ton coeur.
Je ne mintéresse pas à ton âge.
Je veux savoir, si pour la quête de l'amour et de tes rêves, Pour l'aventure de te sentir vivre, Tu prendras le risque d'être considéré comme fou.
Je ne m'intéresse pas aux astres qui croisent ta lune.
Je veux savoir si tu as touché le centre de ta propre souffrance, Si les trahisons vécues t'ont ouvert, Ou si tu t'es fané et renfermé par crainte de blessures ultérieures. Je veux savoir si tu peux vivre avec la douleur, la tienne ou la mienne, Sans t'agiter pour la cacher, l'amoindrir ou la fixer. Je veux savoir si tu peux vivre avec la joie, la tienne ou la mienne, Si tu oses danser, envahi par l'extase jusqu'au bout des doigts et des orteils Sans être prudent ou réaliste et sans te souvenir des conventions du genre humain.
Je ne m'intéresse pas à la véracité de l'histoire que tu racontes.
Je veux savoir si tu es capable de décevoir quelqu'un pour rester fidèle à toi-même, Si tu supportes l'accusation d'une trahison, sans pour autant devenir infidèle à ton âme. Je veux savoir si tu peux faire confiance, et si tu es digne de confiance. Je veux savoir si tu peux voir la beauté, même lors des jours sombres Et si tu peux trouver la source de ta vie dans la présence de cette beauté; Je veux savoir si tu peux vivre après l'échec, le tien ou le mien, Et malgré cela rester debout au bord du lac Et crier : " Oui ! " au disque argenté de la lune.
Je ne m'intéresse pas à l'endroit où tu vis ni à la quantité d'argent que tu as.
Je veux savoir si après une nuit de chagrin et de désespoir, Tu peux te lever et faire ce qui est nécessaire pour les enfant
Je ne m'intéresse pas à ce que tu es, ni comment tu es arrivé ici.
Je veux savoir si tu peux rester au centre du feu avec moi, sans reculer.
Je ne m'intéresse pas à ce que tu as étudié, ni où, ni avec qui.
Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même,
Et si tu aimes véritablement la compagnie de tes moments vides
Oriah Mountain Dreamer (ancêtre indien)
Un oiseau qui tournoyait par là Perdit une plume qui tomba, Tout près d'un homme assit Au pied d'un arbre veilli Un immense arbre, trés agé L'homme se saisit de la plume Dessina sur la terre l'ombre De l'oiseau: un aigle royal Il termina son dessin en posant La plume sur l'arrière de l'aigle Dessiné en sable du desert. L'oiseau descendit se poser sur une branche du chêne Et s'endormit au près de l'homme. L'oiseau c'est approché de lui Et l'homme est devenu son ami.
Une jolie colombe blanche Descendue de sa branche Est venue se posé près de moi. Avait elle pour moi un message? Je l'ai approché de mon visage Et carressé du bout des doigts. Parle moi bel oiseau Dis moi quelques mots Je la regarde dans ses yeux noirs Que pourrai je dont bien y voir? Je cherche en elle l'impossible Voit elle que je broie du noir? Que ce soit le jour ou le soir Et cherche une nuit paisible. En boule dans ma main l'oiseau avait un peu faim Je lui donne du pain Qu'elle picore sans fin Et j'embrasse son bec Elle va reprendre son vol Partir me laissant seule Dans mes pensées Ce n'est pas lui qui l'envoie Elle n'est pa venue pour moi. Je lève l'oiseau au ciel Qui d'un battement d'aile S'envole sans rien dire Encore une fois j'aurai révé Qu'un message soit arrivé Juste pour espérer un peu