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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L’histoire d’une femme qui, pour le bien de ses enfants, est devenue la risée du public
Une mère affectueuse est prête à sacrifier sa vie pour ses enfants. Et Mary Ann Webster (de son nom de femme mariée, Mary Ann Bevan) est l’une d’entre elles : elle n’avait pas peur de se ridiculiser et de se montrer en public, avec sa drôle d’apparence.
La pauvre femme n’avait qu’un seul but : nourrir ses enfants, quoi qu’il en coûte. Marie a dû subir les insultes, l’humiliation et l’excentricité des spectateurs qui voulaient voir “la femme la plus laide du monde”.
Sympa a été impressionné par le sort de cette femme altruiste et courageuse qui est devenue l’héroïne de son époque. Complexités de la vie et rêves de bonheur féminin
Au début, la vie de Marie n’avait rien de spécial. Elle est née à Londres dans une famille nombreuse et pauvre. Elle a dû commencer à gagner son pain très tôt et a même travaillé comme infirmière dans un hôpital. À l’époque, c’était une jeune fille assez attirante qui rêvait d’avoir une grande famille. Et ses rêves sont devenus réalité : à l’âge de 29 ans, elle a épousé Thomas Bevan, puis a donné naissance à quatre enfants.
Mais bientôt, Mary a commencé à avoir des problèmes de santé : migraines, douleurs musculaires et douleurs articulaires. Les médecins ne comprenaient pas ce qui se passait avec son corps.
Cependant, sa famille demandait de l’attention et des soins, de sorte qu’elle n’avait pas le temps de s’occuper de sa propre santé. Une maladie soudaine L’histoire d’une femme qui, pour le bien de ses enfants, est devenue la risée du public
Les symptômes de sa maladie sont devenus de plus en plus évidents : son crâne s’est allongé, les traits de son visage sont devenus proéminents et ses mains douces et ses formes féminines ont commencé à disparaître. Elle est passée de jolie jeune femme, à une Mme Bevan plutôt laide qui ne lui ressemblait plus. Mary souffrait d’acromégalie, une maladie neuroendocrinienne associée à une production excessive d’hormone de croissance. Cela entraîne un surdéveloppement de la taille corporelle, une augmentation des os, des organes internes et des tissus mous, accompagnés de maux de tête et de douleurs musculaires.
L’acromégalie est généralement due à une tumeur bénigne de l’hypophyse. Dans la plupart des cas, la maladie est héréditaire. Aujourd’hui, les médecins savent gérer cette maladie en utilisant diverses méthodes de traitement. Mais au début du XXe siècle, Mary Ann n’avait aucune chance d’être guérie. Chaque jour, la femme regardait sa beauté disparaître. Un surnom désagréable et son premier revenu
s Mr. Bevan a toujours soutenu sa femme et l’a accompagnée dans cette épreuve, et il n’a jamais pensé à la quitter. Mais le destin avait ses propres plans pour les époux. Après 11 ans de mariage, Mme Bevan est devenue veuve avec 4 enfants etmort de son mari, elle aurait accepté n’importe quel emploi pour nourrir ses enfants. Cependant, elle n’a pas pu trouver de travail stable à cause de son apparence. Les gens de la rue réagissaient de façon bizarre à son égard : certains l’insultaient, d’autres se moquaient d’elle ou la regardaient avec mépris.
Chaque apparition en public était un défi pour elle. La situation financière de la famille s’était lourdement aggravée lorsque Marie avait découvert qu’allait se dérouler en Angleterre un concours pour le titre de “la femme la plus laide”. Elle a donc décidé de faire un acte désespéré : participer au concours pour se battre pour le grand prix, doté d’une somme d’argent assez importante. À la fin, elle a réussi à remporter le concours, mais la presse était remplie d’articles désobligeants qui n’étaient pas faciles à lire.
Mary avait réussi à faire l’impossible à cette époque : transformer sa douleur en un revenu stable, même si émotionnellement, sa situation était très difficile. Notons que ce drôle de concours se déroule encore aujourd’hui en Angleterre, mais il porte plutôt sur les grimaces.
Cirque et spectacle
En 1920, elle a été invitée à travailler aux États-Unis dans un cirque et un parc d’attractions, sur Coney Island, nommé "Dreamland. Elle participait à de nombreux spectacles où elle exposait son étrange apparence. En plus, elle devait utiliser des costumes brillants pour souligner encore davantage son manque de beauté et sa masculinité. Ce spectacle avait engagé d’autres personnes, comme elle, dotées d’une apparence hors-norme, voire, effrayante : une femme barbue, des nains, des géants, des jumeaux siamois... Ils étaient tous exhibés pour divertir le public.
En effet, à cette époque, le public aimait ce genre d’amusement cruel, et Mme Bevan était l’une des artistes les plus populaires de la troupe. Il est difficile d’imaginer à quel point cela a dû être difficile pour elle, de voir sa dignité piétinée, et oublier qu’un jour, elle avait été une belle femme, pour se transformer en un être faisant uniquement l’objet de moqueries et d’humiliations. Mais elle a enduré toute cette souffrance pour le bien-être de ses enfants.
Voici une photo de famille sur laquelle on peut voir Marie avec ses 4 enfants : le fils aîné a un uniforme de marin, le plus jeune un costume et ses filles ont des robes modestes. À cette époque, les séances photo coûtaient très cher, et certaines familles n’en prenaient que quelques-unes pendant toute leur vie. Ce fait indique peut-être que Marie était avant tout une mère aimante et affectueuse. Cependant, elle avait été contrainte à devenir une actrice de cirque “monstrueuse”.
Jusqu’à la fin de ses jours, Mary Bevan a travaillé dans un cirque américain. De son vivant, elle n’a eu l’occasion de revenir en Europe qu’une seule fois : en 1925, elle s’est rendue à Paris, où elle a été invitée à se produire à l’Exposition Universelle. Malheureusement, les patients atteints d’acromégalie atteignent rarement un âge avancé.
Mary est décédé en 1933, à l’âge de 59 ans. Elle avait demandé à ses enfants de l’enterrer dans son pays natal en Angleterre. Le sort compliqué de cette femme qui n’a jamais abandonné prouve, une fois de plus, qu’une mère ferait n’importe quoi pour ses enfants, y compris supporter le titre de “Femme la plus laide du monde”. Bien sûr, on peut dire qu’elle n’avait pas d’autre choix, et que s’exhiber ainsi était sa seule chance.
Mais elle n’a pas hésité à prendre des risques et à faire de sa maladie une source de revenus pour faire vivre sa famille. Qui sait quel aurait été le destin de Marie sans cette maladie et sans son courage ?
As-tu été impressionné par le sort de Mme Bevan ? Raconte-nous dans les commentaires ci-dessous.
16 conseils pour la conservation des fruits et légumes (et de leurs nutriments en fonction de leur couleur)
Parfois, quand on va faire ses courses, on a tendance à avoir les yeux plus gros que le ventre et on prend un peu de tout dans le chariot parce qu’il vaut mieux avoir plus de nourriture que d’en manquer, n’est-ce pas ?
Mais les fruits et légumes continuent à mûrir et, malheureusement, on finit toujours par en jeter une grande quantité, car ils pourrissent très vite. Cela dit, cela dépend de la manière dont tu conserves tes aliments.
Si tu t’y prends bien, tu pourras faire des économies et empêcher qu’ils finissent à la poubelle. Il est important de prendre en compte le climat de l’endroit où tu vis, car cela peut aussi affecter la maturation des aliments. Plus l’endroit est humide et chaud, plus certains légumes courent de risques. Sympa veut partager avec toi quelques conseils que tu peux utiliser pour garder les aliments frais plus longtemps. À l’extérieur du réfrigérateur
1. Enveloppe les tiges de banane dans du plastique ou du papier aluminium
Les bananes produisent du gaz éthylène pendant la période de maturation. En recouvrant les tiges de plastique ou d’aluminium, tu peux éviter que les taches s’étendent à d’autres parties du fruit et que la pulpe se ramollisse trop rapidement. La durée sera de 4 à 5 jours.
2. Place les oignons dans des bas en nylon
Un excès d’humidité peut faire pourrir les oignons en peu de temps. Idéalement, nous devrions les conserver dans un endroit frais et sombre. Tu peux les mettre dans des bas en nylon ou dans des mailles trouées et les suspendre pour qu’ils tiennent plus longtemps. Ils peuvent durer de 6 à 8 mois
3. L’ail aime l’obscurité et les endroits peu humides
Si tu as l’habitude de mettre l’ail dans le réfrigérateur, tu ferais mieux de revoir ta méthode, car même s’il peut se conserver ainsi, il est plus susceptible de pourrir à cause de l’humidité. Idéalement, il devrait être entreposé dans un contenant ou un sac en papier dans un endroit sombre et sec. Si tu gardes les têtes d’ail entières, elles peuvent durer jusqu’à 2 mois ; si tu sépares les dents, la durée est réduite de 3 à 10 jours.
4. Persil, coriandre, basilic et asperges : place les tiges dans un bol d’eau et laisse-les à température ambiante (sans les laver)
Si tu ne veux pas les mettre au réfrigérateur, il est important de les conserver dans de l’eau, comme des fleurs. De cette façon, tu peux couper les feuilles dont tu as besoin pour les consommer. En bon état, elles peuvent durer de 4 à 5 jours.
5. Les pommes de terre doivent être dans des filets ou en vrac et dans un endroit frais
Évite de les mettre dans des sacs plastiques. Il est préférable de les mettre dans des mailles ou des sacs obscures dotés de perforations pour favoriser leur aération. Si tu le souhaites, une autre option pour les conserver peut-être une boîte ouverte. Dans ce cas, il faudra juste recouvrir le fond avec du papier journal ou du papier absorbant. La température idéale pour les pommes de terre varie de 7 à 11 degrés. Durée de 1 à 2 semaines.
6. Si les avocats ne sont pas mûrs, couvre-les avec du papier journal et mets-les dans un sac en papier
Si les avocats sont verts et que tu les mets au réfrigérateur, tu ralentiras leur maturation. Si au contraire tu veux qu’ils continuent à mûrir, tu dois les envelopper dans du papier journal et les placer dans un sac en papier. Ensuite, tu peux les laisser dans ton garde-manger. Si tu veux qu’ils mûrissent plus vite, mets aussi une banane dans le sac. Dans un sac : ils mûrissent entre 3 à 5 jours Sans sac : ils peuvent mettre jusqu’à
7 jours pour mûrir Sac et banane : 2 ou 3 jours 7.Les tomates doivent être à une température supérieure à 10 degrés pour mieux conserver leurs saveurs
Dans le cas des tomates, plus elles sont mûres, plus leurs saveurs sont concentrées. Lorsqu’elles sont placées dans le réfrigérateur et que leur température baisse, elles perdent leur goût. L’idéal est de les maintenir à une température supérieure à 10 degrés. Leur durée peut varier de 3 semaines à 2 mois, tout dépend de leur degré de maturité à l’achat. Dans le réfrigérateur
8. Mets les champignons (sans les laver) dans un sac en papier avec du persil
y Il est important de ne pas laver les champignons si tu ne vas pas les consommer tout de suite. Quand ils rentrent en contact avec l’eau, ils peuvent garder de l’humidité. Il est recommandé de les conserver dans un sac en papier et d’y ajouter quelques branches de persil pour qu’elles agissent comme antioxydants et qu’il n’y ait pas de taches. Mets-les ensuite au réfrigérateur. Durée de 3 à 5 jours.
9. Désinfecte tes fraises avec du vinaigre blanc sans enlever la tige
L’idéal, c’est de laver les fraises quand on va les consommer, sinon elles peuvent absorber de l’eau et commencer à se ramollir, accélérant ainsi leur processus de maturation. Pour les désinfecter, tu peux utiliser 1/3 de vinaigre blanc et 2/3 d’eau. Il est important de vérifier qu’il n’y a pas de fraises moisies car cela pourrait abîmer tout le reste. Si tu vas les congeler, enlève la tige et place-les dans un sac hermétique. Quand tu les sors, mets-les dans une passoire pour qu’elles respirent. Au réfrigérateur : elles peuvent se conserver de 5 à 6 jours Au congélateur : 2 à 4 mois.
10. Enveloppe la laitue, les épinards ou la bette (après les avoir désinfectés) pour les garder frais
En premier, lave-les et désinfecte-les. Assure-toi que les feuilles sont complètement sèches avant de les conserver au réfrigérateur. Tu peux le faire dans un contenant en plastique ou dans un sachet hermétique. Il est important de bien les envelopper avec du papier absorbant, car cela permettra d’éliminer complètement l’eau résiduelle du processus de lavage. Si tu les conserves correctement, ils dureront de 1 à 2 semaines en bon état.
11. Si tu as déjà coupé un citron, ne jette pas l’autre moitié. Enveloppe-la dans du papier aluminium ou mets-y du sel.
Parfois, nous n’utilisons que la moitié d’un citron et nous finissons par jeter l’autre à la poubelle. Le mieux est de l’envelopper dans de l’aluminium. Une autre alternative est de mettre du sel sur la pulpe et de la conserver au réfrigérateur. Avant de l’utiliser, il suffit de bien le rincer. Entier : jusqu’à 2 semaines Coupé : jusqu’à 3 jours sans que sa couleur ni sa saveur ne changent.
13. Ne laisse pas s’oxyder l’avocat après l’avoir coupé
Pour qu’il ne perde pas sa couleur verte et ne noircisse pas, ajoute quelques gouttes de citron pour couvrir toute la pulpe ou un peu d’huile. Une alternative est de couper des rondelles d’oignon et de les placer dans un récipient pour mettre l’avocat dessus. Il gardera sa couleur pendant 1 à 2 jours.
14. Si tu as pelé trop de pommes de terre, mets-les dans un bol avec de l’eau et du vinaigre blanc
Parfois tu ne fais pas bien tes calculs et tu te retrouves avec beaucoup trop de pommes de terre. Comme elles sont déjà pelées, si tu les mets comme ça dans le réfrigérateur, le lendemain, tu les retrouveras plus foncées. Pour les conserver, mets-les dans un récipient et couvre-les d’eau. Ajoute quelques gouttes de vinaigre blanc et place-les au réfrigérateur. Durée : de 3 à 4 jours.
15. Si tes bananes sont déjà trop mûres, tu peux les mettre au congélateur pour les consommer en smoothies
Souvent, quand on se rend compte que les bananes sont mûres, il est déjà trop tard. En plus, si on en a beaucoup, ce n’est même pas la peine de penser les manger toutes d’un seul coup. Pour les conserver en bon état, enlève la peau, coupe-les en deux et mets-les dans un sac hermétique. Place-les ensuite au congélateur. Elles peuvent durer de 2 à 3 mois.
16. Fais des petits cubes aromatisés à la coriandre, au persil, au basilic ou à toute autre herbe ou plante comestible
Si tu aimes les choses pratiques, tu devrais avoir des petits cubes dans ton congélateur rempli de saveurs et d’arômes prêts pour cuisiner. Hache finement les herbes ou les plantes que tu veux utiliser et place-les au fond de chaque espace d’un bac à glaçons. Ajoute du beurre fondu ou de l’huile. Si tu le fais avec le premier, laisse-le refroidir avant de le congeler
. Durée : de 2 semaines à 1 mois
Bonus La quantité quotidienne recommandée est proche des 400 g. Il est important d’en absorber assez et d’en choisir une grande variété parce qu’ils fournissent à l’organisme des nutriments qui aident à prévenir les maladies.
Les couleurs des fruits et légumes indiquent quelles sont les propriétés spécifiques qu’ils possèdent : Vert : fournissent les vitamines A, C et K, de l’acide folique, du magnésium, du calcium, des fibres et de la chlorophylle. Grâce à leurs nutriments, ils améliorent la fonction hépatique, accélèrent le métabolisme et favorisent la digestion, prévenant la constipation. Rouge et violet : préviennent les maladies cardiovasculaires et possèdent du lycopène, qui réduit le risque de cancer et le diabète, en plus de renforcer le système immunitaire. Ils ont une haute teneur en antioxydants et combattent la perte de mémoire. Orange et jaune : ils contiennent beaucoup de vitamine C. Ils améliorent la peau, préviennent les problèmes oculaires et tiennent à distance certaines maladies comme la grippe et le cancer. Blanc : contiennent des minéraux tels que le sélénium, ce qui améliore le système immunitaire. Préviennent la rétention d’eau et protègent les muscles.
A préserver eux aussi dans leurs milieux naturels ..... En faire de même pour la faune sauvage ....
Une étude affirme que les grands-parents qui gardent leurs petits-enfants augmentent leur espérance de vie
La plupart des grands-parents s’occupent régulièrement de leurs petits endants, mais une nouvelle étude affirme que cela aurait même un impact positif sur leur santé. Les données recueillies auprès de 500 personnes âgées dans le cadre d’une étude sur le vieillissement de Berlin montrent que les personnes qui gardent des enfanats voient leur espérance de vie rallongée, peu importe qu’il s’agisse de leurs petits-enfants ou ceux d’une autre personne.
Il se trouve que les grands-parents qui gardent leurs petits-enfants restent physiquement actifs grâce à cela et ils constatent également une diminution du stress, ce qui leur permet de vivre plus longtemps. Cependant, l’exagération peut annuler ces bienfaits pour la santé, il faut donc chercher le bon équilibre et les personnes âgées ne doivent pas se sentir forcées faire de garder leurs petits-enfants. Un autre avantage est l’interaction sociale qui aide à garder le cerveau en bonne santé
Une étude menée par des chercheurs de l’Université du Connecticut a souligné que les conversations personnelles avec des jeunes enfants sont essentielles pour développer leur langage, mais aussi pour le développement de leur cerveau. 90% du cerveau d’un enfant se développe pendant les trois premières années de sa vie. Le cerveau produit des milliards de cellules et des centaines de milliards de connexions au quotidien.
Ces liens sont importants pour faire des progrès positifs concernant le développement et résultent des expériences positives quotidiennes et répétées avec leurs parents et leur environnement. Ainsi, le fait d’inclure les grands-parents dans le développement de nos enfants favorise l’élargissement de leurs connaissances ainsi que leur langage. D’autre part, cela leur donne plus de stabilité et de soutien émotionnel.
La durée moyenne d'une étreinte entre deux personnes est de 3 secondes. Mais, les chercheurs ont découvert quelque chose de fantastique!!! Lorsqu'une étreinte dure 20 secondes, elle produit un effet thérapeutique sur le corps et sur l'esprit. La raison est qu'un câlin bien senti produit une hormone appelée "ocytocine", aussi appelée l'hormone de l'amour. Cette substance possède de nombreux bienfaits pour notre santé physique et mentale, elle nous aide, entre autres à nous détendre, à nous sentir en sécurité et à apaiser nos peurs et notre anxiété. Ce merveilleux tranquillisant nous est offert gratuitement chaque fois qu'on prend une personne dans nos bras, qu'on berce un enfant, qu'on caresse un chien ou un chat, qu'on danse avec notre partenaire, qu'on se colle près de quelqu'un ou qu'on tient simplement un collègue par les épaules. Aujourd'hui, prenez quelqu'un dans vos bras pour 20 secondes, c'est le plus cadeau que vous pouvez vous faire et faire aux autres !!
Je ne cesse de comparer notre monde d'il ya des années à celui d'aujourd'hui..avec toutes ses métamorphoses !
Certes je serai toujours partie prenante pour le développement. .le changement vers le meilleur..la modernité...toutefois certains principes sur lesquelles était basée notre éducation devraient demeurer invariables..tel le respect. .notamment envers les adultes..proches soient -ils ou étrangers...
Si l'on conçoit que toute relation obéit au respect mutuel comment peut on le négliger dans notre société à commencer entre membres de la famille..les voisins..les collègues..les passagers d'un transport en commun..dans les administrations...les lieux publiques...voire entre élèves et enseignants...bref dans notre vie le droit de l'autre à notre estime fait défaut et vice -versa...l'insolence..le mépris...l'indifférence...ont pris place dans le comportement d'une bonne partie de gens où les jeunes sont majoritaires.
Ni les bonnes manières inculquées par les parents..ni les conseils de ces derniers..ni les axes de la bonne conduite apprises à l'école ne peuvent désormais réparer cette déviation..pourquoi et comment peut on arriver à ce stade où même saluer convenablement les autres devient acte étrange?
Le langage entretenu entre adolescents fait rougir! Le professeur devient la risée de sa classe! Les parents ne sont plus obligés de tendre la main à leur progéniture pour qu'ils la baisent matin et soir! Le voisin n'a plus droit au "bonjour"... L'humanité serait elle en train de se déshumaniser?
Des cerveaux de cochons ont été réanimés des heures après leur mort
Au cours d'une expérience qui ne manquera pas de lancer les débats éthiques et philosophiques, un nouveau système a rétabli la circulation et l'afflux en oxygène d'un cerveau de mammifère mort.
Cette photo montre un cerveau de cochon préservé.
À l'aide de cerveaux d'animaux abattus pour leur viande, les chercheurs sont parvenus à rétablir certaines fonctions cellulaires dans les cerveaux de cochons plusieurs heures après leur mort, ouvrant potentiellement la voie à l'étude et au traitement des maladies et troubles cérébraux.
Des scientifiques ont restauré la fonction cellulaire de 32 cerveaux de cochons plusieurs heures après leur mort, ouvrant la voie à de nouvelles possibilités de traitement des maladies du cerveau et renversant au passage notre définition de la mort cérébrale. Les chercheurs de l'école de médecine de l'université Yale ont mis au point un dispositif semblable dans les grandes lignes à une machine de dialyse qu'ils ont baptisé BrainEx. Ce système, qui fait l'objet d'un article paru dans la revue Nature, permet de rétablir la circulation et l'arrivée d'oxygène dans un cerveau mort.
Les chercheurs n'ont pas abattu d'animaux pour l'expérience, ils ont demandé à un abattoir de New Haven, dans le Connecticut aux États-Unis, de leur fournir des têtes de cochons après que les animaux ont été tués pour leur viande. Techniquement, les cerveaux de cochons sont restés morts, ils ne montraient aucun signe d'activité neuronale organisée nécessaire a un état de conscience. « Cliniquement parlant, ce n'est pas un cerveau vivant, » déclare le coauteur de l'étude Nenad Sestan, neuroscientifique à l'école de médecine de l'université Yale.
En revanche, en rétablissant des fonctions comme la capacité à emmagasiner du glucose et de l'oxygène pour des périodes de 6 h à la fois, ce système s'est montré capable de maintenir les cerveaux en bien meilleur état que ceux non traités suivant le processus normal de décomposition. Selon les chercheurs, cette technique pourrait accélérer les recherches en matière de santé chez l'Homme en offrant un large banc d'essai à l'étude des maladies et des troubles cérébraux.
« Nous sommes très enthousiastes à l'idée que ce projet puisse nous permettre de mieux comprendre comment traiter les personnes victimes d'une crise cardiaque ayant perturbé l'afflux sanguin normal dans le cerveau, » ajoute Khara Ramos, directrice du Neuroethics Program pour le National Institute of Neurological Disorders and Stroke (l’Institut national des troubles neurologiques et des accidents cérébrovasculaires) aux États-Unis.
« Cela renforce réellement notre capacité à étudier les cellules telles qu'elles existent, en connexion les unes avec les autres, de façon tridimensionnelle, à l'échelle et dans toute leur complexité. »
Même dans ce contexte, la découverte soulève de nombreuses questions éthiques et donne lieu à un débat auquel les scientifiques sont tout à faits disposés à participer.
« C'est une avancée extraordinaire et très prometteuse pour les neurosciences. D'emblée, elle offre un meilleur modèle d'étude du cerveau humain, ce qui est très important étant donné le grand nombre de personnes atteintes de maladies mentales ou cérébrales, » précise Nita Farahany, bioéthicienne à la faculté de droit de l'université Duke, auteure d'une note à propos de l'étude parue dans Nature.
« Elle remet par ailleurs en question de nombreuses hypothèses fondamentales sur les neurosciences, par exemple celle selon laquelle une perte d'oxygène dans le cerveau entraîne une irréversible marche vers la mort de l'organisme, » poursuit-elle. « Cela se révèle être faux et, par conséquent, de nombreuses questions éthiques et légales se posent. »
REDÉFINIR LA MORT ?
La mort est sans appel, mais le nombre de résultats médicaux irréversibles a considérablement diminué avec le temps. Pendant des milliers d'années, une personne était considérée morte lorsqu'elle ne respirait plus et que son cœur s'arrêtait de battre, jusqu'à l'entrée en jeu de la médecine moderne. L'invention des respirateurs mécaniques a permis de maintenir en vie les organismes défaillants. Aujourd'hui, après plusieurs décennies de progrès et l'arrivée des transplantations, un cœur qui ne bat plus n'est pas forcément synonyme de fin.
Le cerveau reste toutefois un patient difficile.Les cerveaux des mammifères comme le nôtre sont des machines de pointe. Leur bon fonctionnement exige un flux constant de sang riche en oxygène. Si cet afflux est interrompu, nous perdons conscience après quelques secondes seulement. Dans les cinq minutes, les réserves de molécules vitales comme le glucose et l'ATP, la protéine qui alimente notre organisme en énergie, commencent à s'épuiser.
Le cerveau entame ensuite un cycle qui lui sera fatal, jugé jusque-là irréversible par les scientifiques : les réactions chimiques des cellules passent de la virtuosité au chaos, l'accumulation du dioxyde de carbone acidifie le sang du cerveau et les fuites d'un important neurotransmetteur appelé glutamate deviennent rapidement toxiques. Bientôt, les enzymes qui décomposent le tissu nerveux entrent en jeu et les structures ainsi que les plus petits vaisseaux sanguins du cerveau se rompent et éclatent.
Plus les chercheurs comprenaient ce processus, plus ils l'intégraient à la définition de mort. En 1968, un comité de médecins rassemblé par l'université de Harvard proposa une définition universelle pour le terme « coma irréversible, » ce que nous appelons aujourd'hui « mort cérébrale » : absence totale de réponse, incapacité à respirer de façon autonome, absence totale de réflexe et aucun signe d'activité électrique à grande échelle dans le cerveau. Aujourd'hui, l'American Academy of Neurology tient à jour une liste de vérification utilisée par les praticiens pour juger de l'état de mort cérébrale d'un patient.
Il existe toutefois des preuves d'une résilience accrue du cerveau. Certaines parties des cellules du cerveau, comme les mitochondries qui traitent l'énergie chimique, continuent d'être actives jusqu'à dix heures après la mort. Chez les chats et les macaques, les chercheurs sont parvenus à récupérer les fonctions du cerveau après une interruption d'une heure de l'afflux sanguin en rétablissant prudemment la circulation. Chez l'Homme, certaines études de cas montrent que le cerveau est capable de rebondir. En 2007, des chercheurs faisaient état d'une femme souffrant d'hypothermie aiguë (température corporelle inférieure à 18 °C) qui avait pu récupérer l'intégralité de ses fonctions neurologiques.
OPÉRATIONNEL, MAIS INCONSCIENT
Sous la direction de Zvonimir Vrselja et Stefano Daniele, Sestan et ses collègues se sont résolus à tester la capacité de récupération d'un cerveau complexe de mammifère, c'est pourquoi ils ont conçu le système baptisé BrainEx.
BrainEx se compose de pompes et de filtres contrôlés par ordinateurs qui envoient une solution nourrissante vers un cerveau mort, exposé chirurgicalement, avec un flux et reflux qui imite la circulation corporelle naturelle. La base de la solution propriétaire est l'hémoglobine, la protéine qui assure le transport de l'oxygène dans les globules rouges. Elle a été conçue de façon à permettre un suivi de sa progression dans le cerveau par les chercheurs via une échographie. L'université Yale a déposé un brevet au nom de ses créateurs, mais toutes les pièces et les procédures de BrainEx seront mises à la libre disposition des chercheurs des universités et des organisations à but non lucratif.
L'équipe de scientifiques a pris des mesures pour veiller à ce que les cerveaux ne se « réveillent » pas, ne serait-ce que pour empêcher une prise de conscience du traumatisme de la procédure. Même si aucun des cerveaux de l'expérience n'a montré de signe de conscience, les chercheurs se tenaient prêts à injecter un anesthésiant et abaisser la température des cerveaux, au cas où. En outre, l'équipe avait au préalable ajouté à la solution des composants chimiques capables de bloquer l'activité neuronale qui permettaient également de reposer les cellules du cerveau, augmentant ainsi leurs chances de guérison.
« En fait, la reprise de conscience n'a jamais été l'objectif, c'était d'ailleurs plutôt le contraire, » déclare le coauteur de l'étude Stephen Latham, directeur du Yale Interdisciplinary Center for Bioethics.
Dans un premier temps, l'équipe a vérifié, avec succès, la capacité de BrainEx à rétablir la circulation dans le cerveau, même dans ses vaisseaux les plus petits. Les scientifiques ont également confirmé que les vaisseaux sanguins du cerveau étaient suffisamment sains pour se dilater en réponse à une médication. Ensuite, les chercheurs ont vérifié dans quelle mesure BrainEx préservait la structure générale des tissus cérébraux. En majorité, les cerveaux traités avec BrainEx étaient semblables à ceux d'animaux vivants ou aux cerveaux non traités une heure après la mort. Dix heures après la mort, les cerveaux traités étaient en bien meilleur état que ceux non traités.
Les zones du cerveau particulièrement sensibles à la privation d'oxygène, comme l'hippocampe, ont également étaient correctement conservées suite au traitement par BrainEx, tout comme les structures des neurones isolés. Par ailleurs, alors que les scientifiques surveillaient la composition chimique de la solution qui s'écoulait dans le cerveau, ils ont découvert que ce dernier produisait du CO2 et consommait du glucose et de l'oxygène, autant de signes d'un redémarrage du métabolisme sur l'ensemble du cerveau.
Bien que les chercheurs aient dans un premier temps avancé que les cerveaux expérimentaux ne montreraient pas d'activité à grande échelle, ils ont tout de même prélevé de fines lamelles du tissu cérébral pour vérifier si les neurones isolés de l'hippocampe pouvaient toujours s'activer après traitement, et c'était bien le cas.
« [Ce résultat était], pour moi, l'aspect le plus surprenant en tant que neuroscientifique en activité, » confie Christof Koch, directeur de l'Allen Institute for Brain Science, non impliqué dans l'étude. « Ils étaient toujours capables de générer les pics qui constituent le langage universel d'une communication électrique rapide. Cela signifie qu'en principe, ces neurones étaient capables d'une activité neuronale. »
ÉTHIQUE DE LA RECHERCHE SUR LES ANIMAUX
L'équipe BrainEx a pleinement conscience des problèmes d'éthique que posent son travail, c'est pourquoi ils ont entretenu des relations avec des neuroscientifiques de renom et des éthiciens pendant plusieurs années. Le Neuroethics Working Group, un consortium convoqué dans le cadre du projet BRAIN Initiative du National Institutes of Health des États-Unis, collabore avec Sestan depuis 2016 et a même financé l'étude. Les chercheurs ont également présenté leurs travaux lors d'une conférence sur la bioéthique tenue en 2017 à l'université Duke et lors d'un atelier organisé par le National Institutes of Health en 2018.
« La science de pointe exige une éthique de premier plan, » indique Ramos, secrétaire exécutif du Neuroethics Working Group. « Il existe un ensemble de lois et de politiques devant être suivies par les chercheurs que nous subventionnons. Cependant, le développement et l'application des neurotechnologies pourraient nous inciter à passer en revue ces normes éthiques et à les faire évoluer. »
Premièrement, la technique BrainEx soulève des questions quant à l'utilisation éthique d'animaux non-humains dans les expériences. À l'heure actuelle, deux ensembles de règles s'appliquent, un pour les animaux vivants et l'autre pour les tissus d'animaux morts, étant donné que les animaux vivants peuvent ressentir douleur et souffrance. Mais lequel des deux s'applique aux cerveaux d'animaux morts traités avec BrainEx, surtout lorsqu'il existe un risque que les cerveaux se réveillent partiellement ?
« Il y a cette sorte de trou béant dans nos mesures de protection des animaux utilisés à des fins expérimentales puisque nous avons aujourd'hui cette nouvelle catégorie partiellement réanimée, relativement vivante qui présente un potentiel, encore incompris à ce jour, de récupération des fonctions, » explique Farahany, également membre du Neuroethics Working Group. « Si vous cherchez à réanimer des cerveaux de cochons, ou d'autres animaux , cela signifie-t-il que l'animal redevient un animal de laboratoire plutôt qu'un tissu mort ? »
Les experts ajoutent que le compromis éthique repose sur la capacité de BrainEx à faire avancer la recherche sur les pathologies humaines, voire même sauver les patients de la mort cérébrale.
« Qu'on le veuille ou non, on ne peut pas imposer douleur et agonie par simple curiosité à une autre créature à moins qu'il n'y ait une très bonne raison et une prédétermination des expériences appropriées, » affirme Koch. « Il faut se demander si cela peut être utilisé pour sauver les cerveaux et pas seulement se dire, oh tiens, voyons un peu ce qui se passe ici. »
Les experts déclarent par ailleurs que les questions éthiques soulevées par BrainEx concernent également la prochaine étape logique : le système fonctionnerait-il pour les cerveaux humains ?Sur un plan technique, Koch indique que les deux cerveaux ne diffèrent pas tant que ça, l'Homme comme le cochon possèdent en effet des cerveaux plissés de façon complexe. Cependant, Koch et chaque expert externe contacté par National Geographic appellent à la prudence quant au passage aux essais sur l'Homme.
Sur un plan encore plus large, il se pourrait que les futures versions de BrainEx viennent compliquer le processus de don d'organe en floutant la définition de mort cérébrale, font remarquer Stuart Youngner et Insoo Hyun, bioéthiciens de l'université Case Western Reserve, dans une note annexe publiée dans le journal Nature. À l'inverse, Kevin Cmunt, Directeur général de Gift of Hope, l'un des réseaux les plus importants de don d'organe aux États-Unis, ne perçoit pas BrainEx comme un élément hautement perturbateur. Il déclare que dans la plupart des cas, les donneurs d'organe déclarés en état de mort cérébrale ont subi une interruption de l'oxygénation bien plus longue que celle de l'étude, ou un traumatisme physique conséquent.
« Je pense que cette intervention ne serait pas pertinente pour la grande majorité des donneurs en état de mort cérébrale, » poursuit-il. « BrainEx pourrait affecter l'opportunité de don d'organe pour un petit sous-ensemble de cas, mais je pense que sa taille serait relativement restreinte. »
Et si BrainEx finissait par faire son apparition dans les cliniques, Cmunt ajoute qu'il rejoindrait la liste des interventions à entreprendre avant de déclarer une personne en état de mort cérébrale ou de mettre fin au maintien des fonctions vitales. La promesse de récupération des fonctions cérébrales pourrait même améliorer les dons d'organe en obligeant encore plus les praticiens à maintenir la circulation. Ainsi, si la mort cérébrale du patient est déclarée même après un traitement avec BrainEx, leurs organes seraient dans état encore plus favorable au don qu'ils ne l'auraient été sans traitement.
« Je ne vois pas forcément cela comme un conflit, » témoigne Cmunt. « Ces traitements seraient intégrés aux soins, tout comme les procédures d'hypothermie et d'autres processus mis en place pour stopper les dégâts subis par les organes et les cerveaux. »
UN COMMENCEMENT SEULEMENT
Dans sa forme la plus profonde, le débat autour de BrainEx montre comment l'approfondissement des connaissances et les améliorations de traitement peuvent bouleverser notre définition de la mort.
« Imaginez-vous à l'hôpital, votre père vient d'être déclaré en état de mort cérébrale et vous venez de lire cet article. Vous demandez au chirurgien ce que signifie mort cérébrale ? Il vous répond que c'est une perte irréversible des fonctions cérébrales et vous rétorquez : ' Eh bien, attendez un peu, j'ai lu un article récemment, est-ce qu'irréversible aujourd'hui pourrait ne pas l'être demain ? ' » illustre Koch.
L'effet BrainEx sur la frontière entre la vie et la mort rappelle un peu la science-fiction. Poussé à l'extrême, il pourrait même rappeler Frankenstein et le phénomène de résurrection. Mais Faharany met en garde, nous en sommes encore très loin.
« Il est clair qu'il y a une part de science-fiction dans le fait de rétablir la fonction cellulaire alors que l'on pensait cela impossible à cet endroit. Mais pour avoir Frankenstein, il faut un certain degré de conscience, » déclare-t-elle. « Cette étude n'a rétabli aucune forme de conscience et il n'est pas certain que l'on puisse le faire un jour. Il reste toutefois vrai que nous avons progressé d'un pas vers cette possibilité. »
Cet article a initialement paru sur le site nationalgeographic.com en langue anglaise.
Plus 1 milliard € en un temps record ??!! Les images parlent d elles mêmes, triste réalité d un monde ou le matériel a plus d importance que la vie humaine