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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L'Arabie saoudite doit 3,7 millions d'euros aux Hôpitaux de Paris
Après un tweet de l'urgentiste Patrick Pelloux, les Hôpitaux de Paris ont confirmé mardi l'information selon laquelle l'Arabie saoudite, dont le roi a quitté la France dimanche, devait 3,7 millions d'euros à la France.
C'est l'urgentiste et pilier de Charlie Hebdo Patrick Pelloux qui a lâché l'information lundi matin.
Il a lancé dans un tweet qu'"avant de partir, le roi d'Arabie saoudite pourrait payer ses factures de 3,7 millions d'euros aux Hôpitaux de Paris".
Mais l'information n'a été confirmée que mardi, dans Le Parisien, par l'administration de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). En fait, la dette ne concerne pas que le roi Salmane, mais comprend, pour toute l'Arabie saoudite, les particuliers, les organismes et l'ambassade à Paris.
Le roi d'Arabie saoudite désormais au Maroc Une affaire de plus autour des vacances françaises du chef d'Etat saoudien à Vallauris (Alpes-Maritimes), où il a souhaité, pour raisons de sécurité, la privatisation d'une plage publique.
Après la polémique déclenchée, l'héritier de la famille Saoud avait finalement quitté la France dimanche pour Tanger, au Maroc , où il dispose d'une autre résidence.
Une grande partie de sa suite l'accompagnait dans ce voyage : selon la préfecture, la moitié ou les deux tiers des Saoudiens résidant à Cannes ont quitté en même temps que lui les palaces de la Croisette. Leur nombre était évalué à un millier de personnes. Mais le roi est donc parti sans payer.
"Le souci n'est pas celui de la privatisation d'une petite plage, estime toutefois Patrick Pelloux dans Le Parisien. Si Barack Obama était venu, on aurait privatisé la Méditerranée... Le vrai problème, c'est que de richissimes chefs d'Etat, des personnels d'ambassade viennent se faire soigner en France puis laissent leur ardoise derrière eux."
La jeunesse d'aujourd'hui est une «génération perdue» qui ne sait rien bricoler
Opération de soudure par Dennis Yang
Le constat peut paraître surprenant, tant la position opposée est répandue. A l'inverse donc de ceux qui pensent que la jeunesse actuelle est hyper à l'aise avec tout ce qui se trame sous le capot des portables, ordinateurs, tablettes et compagnie, Danielle George rétorque qu'il n'en est rien.
A l'occasion des conférences de Noël à la Royal Institution de Londres (une tradition qui remonte à 1825), cette professeur en ingéniérie des radio-fréquences affirme que ce n'est pas parce que la génération actuelle est née dans un univers numérique et informatisée qu'elle y évolue comme un poisson dans l'eau.
Ou alors si, mais littéralement: elle ne se pose pas trop de questions sur pourquoi l'eau est là, et comment, et selon quelle composition (mes excuses aux poissons qui sont peut-être d'une intelligence supérieure insoupçonnée et lisent ceci avec un rire démionaque et moqueur).
Contrairement à ce que peut laisser entendre l'expression de «digital native» (natif du numérique), Danielle George explique que la jeunesse, notamment en Grande-Bretagne, «est devenue une génération perdue qui ne peut plus réparer les gadgets et appareils», cite The Telegraph, précisément parce que cette jeunesse est née dans un monde où des machines très sophistiquées pullulent tout en semblant facile d'accès et d'utilisation.
«Toutes ces choses que nous avons chez nous semblent marcher la plupart du temps et parce qu'elles ne cassent pas, nous nous habituons à elles, a ajouté la scientifique, toujours selon le journal anglais.
Elles sont presque devenus des boîtes noires qui ne meurent jamais. Et quand elles meurent, nous les jetons pour en acheter de nouvelles.» Dans son exposé intitulé Sparks will fly: how to hack your home (et diffuse sur la BBC entre le 29 et le 31 décembre), Danielle George explique vouloir montrer aux jeunes gens qu'ils «ont le pouvoir de changer le monde de leur chambre, de la table de leur cuisine ou de leur jardin.»
Et salue au passage les efforts de la communauté de «makers», assez populaire aux Etats-Unis et qui commence aussi à faire parler d'elle en France: en clair, à tous ceux qui louent les bénéfices du bricolage, de la bidouille, du fait maison, du «do it yourself» (ou «DIY»).
Manière également de faire prendre conscience aux générations plus âgées que l'hyper-connexion de leur cadette ne suffit pas pour que tous ses représentants deviennent des génies de l'informatique. Et qu'il est peut-être nécessaire de le prendre en compte dans l'éducation de cette génération.
En 2013, un blogueur britannique, également prof d'informatique et administrateur réseau, en faisait l'amer constant dans un long article intitulé Les gamins ne savent pas utiliser les ordinateurs… Voici pourquoi ça devrait vous inquiéter (voici la traduction intégrale de son billet):
«La croyance populaire comme quoi toute personne de moins de 18 est un magicien de l’informatique est tout simplement fausse. Ils savent utiliser certains logiciels, particulièrement des applications web. Ils savent utiliser Facebook et Twitter. Ils peuvent utiliser YouTube et Pinterest. Ils savent même utiliser Word et PowerPoint et Excel. Par contre, demandez-leur de réinstaller un système d’exploitation et ils sont perdus. Demandez-leur de changer leur disque dur ou leur mémoire vive et ils font une crise d’angoisse. Demandez-leur ce que veut dire https et pourquoi c’est important, et ils vous regarderont comme si vous leur aviez parlé klingon.»
De la même façon, les générations nées avec la télévision se sont encore moins demandées comment ce bidule fonctionnait que celle l'ayant vu débarquer dans tous les salons. Même chose pour la voiture: plus l'appareil est une évidence, moins il est transparent.
Et ce n'est pas anodin: ni en matière d'éducation, ni en matière de consommation, ni en matière d'indépendance, voire de liberté individuelle.
C'est par exemple l'un des débats majeurs qui fait suite aux révélations d'Edward Snowden: comment faire comprendre à tous, jeunes et moins jeunes, digital natives ou non, l'importance de garder en tête certains détails sur le fonctionnement des sites qui nous accompagnent chaque jour. En nous suivant parfois à la trace.
LE LAC QUI ALLAIT TOMBER D'UNE FALAISE
Les scientifiques semblent sûrs de leur coup, il ne passera pas l'automne.
A 20 kilomètres de Fort McPherson, dans les Territoires du Nord-Ouest canadiens, un lac va tomber d'une falaise. Victime du réchauffement climatique.
Il ne reste plus grand-chose pour le retenir. Les quelques milliers de mètres cubes d'eau qu'il contient devraient se déverser, d'ici la fin de l'été ou au début de l'automne, dans la vallée voisine.
La hausse du volume et de la violence des précipitations, ainsi que la fonte du permafrost (sol qui reste normalement gelé toute l'année) due à l'augmentation des températures, fragilisent le terrain et mettent la terre à nue.
Résultat :
une érosion anormale, des coulées de boues. Et dans le cas de ce lac, l'effondrement d'une de ses rives, devenue une maigre bande de terre large d'à peine 5 mètres, qui menace de s'écrouler à son tour. Une région très peu peuplée
Une région très peu peuplée Scott Zolkos Ce lac va, littéralement, passer par-dessus bord. Non pas parce que le niveau de l'eau y augmente. Mais parce que son bord va s'effondrer.
La vallée voisine étant inhabitée, le camping et balade dans la zone ont été interdits et l'inquiétude à court terme reste faible. L'eau du lac devrait 'simplement' aller rejoindre celle d'une autre retenue d'eau, plus vaste, située plus bas.
Il n'en reste pas moins que ce phénomène de destruction des sols qui se généralise dans le nord du Canada, en Alaska et en Sibérie inquiète les chercheurs et les habitants de ces contrées reculées où les effets du changement climatique sont chaque jour plus tangibles.
Méningite : 32 familles portent plainte pour des vaccins défectueux
Des lots de Meningitec contenaient trop de particules de métaux. Ils ont été retirés tardivement de la vente.
Les enfants vaccinés avec les lots défectueux présentent des symptômes tels que des poussées de fièvre, des maux de ventre et des éruptions cutanées.
Comment un médicament défectueux peut-il n'être signalé par le laboratoire qui le produit que deux ans après sa fabrication ?
Et comment, alors qu'il finit par en demander le rappel, peut-il s'en trouver encore en vente jusqu'à trois mois plus tard ?
Voilà les deux questions essentielles que pose la plainte de Me Emmanuel Ludot auprès du TGI de Clermont-Ferrand.
L'avocat agit au nom de 32 familles, bientôt 40, qui s'estiment victimes de CSP, distributeur pour la France d'un vaccin produit par le laboratoire américain Nuron Biotech.
L'affaire porte sur le Meningitec, qui protège contre la méningite C. Cette souche affecte environ 550 personnes en France chaque année, particulièrement des adolescents et jeunes adultes, et se révèle mortelle dans 15 % des cas.
Le vaccin, apparu en 2002, est recommandé au calendrier vaccinal depuis 2010 à partir de 12 mois et jusqu'à 24 ans.
Une procédure stricte Pour tout médicament, la procédure est très balisée.
Au laboratoire, on vérifie la qualité finale en contrôlant un flacon par lot. Si ce dernier est déjà en vente, « il est de la responsabilité du laboratoire de demander son rappel et de veiller à ce qu'il soit effectif », explique l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
Première étape :l'alerte est rédigée avec l'ANSM et adressée aux pharmacies. « La mise en place du dossier pharmaceutique informatisée par l'ordre national des pharmaciens, laisse peu de place à la faille », explique sa présidente, Isabelle Adenot. Chaque officine reçoit l'alerte sur tous ses terminaux.
Impossible de scanner un médicament sans savoir qu'il est rappelé. « Dans ma pharmacie, je ne peux même pas me servir des ordinateurs tant que je n'ai pas débloqué l'alerte : ce qui en assure une traçabilité à 100 % », explique-t-elle.
Le pharmacien doit ensuite remplir — et conserver — un bordereau sur lequel il indique combien de boîtes il a en stock et les remettre à son grossiste, qui les renvoie au labo.
« S'il s'avère, preuve à l'appui, qu'une pharmacie vend un produit rappelé, ce qui est de la plus haute gravité, je vous garantis que la sanction serait sévère ! » gronde Isabelle Adenot.
« Quand mon médecin me l'a prescrit, je lui ai fait confiance », raconte Coralie, maman d'une fillette de 2 ans et demi. Ses inquiétudes puis sa colère ont été croissantes, alors que sa fille, vaccinée à 1 an, en février 2014, s'est mise à manifester des symptômes persistants : fièvre inexpliquée à répétition, éruptions sur tout le corps, maux de ventre, sommeil perturbé...
C'est elle qui fera le rapprochement avec le vaccin quand, en janvier 2015, elle reprend le carnet de santé, fouille sur le Net et y découvre que le Meningitec administré à sa fille fait partie d'une série de lots produits à partir de 2012, dont le laboratoire a demandé le rappel dans le monde et en France par l'intermédiaire de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), le 24 septembre 2014.
Mesure de précaution, selon le laboratoire, qui avait saisi les autorités des différents pays pour signaler un « défaut » : en l'occurrence la présence de particules de fer et d'acier, « qui ne remettent en cause ni la stérilité ni l'efficacité du produit » et ne doivent pas provoquer pire que gonflement, éruption autour du point d'injection et fièvre immédiate, soit les effets habituels d'un vaccin.
Mais les dangers à terme des métaux inquiètent les parents. Sur le Net, Coralie retrouve bientôt d'autres victimes. Et certaines ont acheté des vaccins « jusqu'à la fin décembre, après la demande de retrait », indique Me Ludot, qui s'interroge : « Où se situe la faille ? »
François, 22 ans, « affecté par un dérèglement immunitaire » après sa vaccination le 15 juillet 2014, estime que le retard à l'allumage de la part du labo et le défaut d'information sont condamnables.
« Au départ, on n'était pas partis pour aller en justice, on voulait juste de l'information. Personne n'a voulu nous en donner », déplore le jeune homme qui écarte toute idée d'attiser un débat antivaccination.
En cette période de grande défiance vis-à-vis des vaccins, l'affaire risque pourtant bien d'avoir cet effet. Pour Coralie, c'est sûr : « Plus personne ne se fera jamais vacciner chez nous. »
A Rethel, les pompiers agressés par des forains après un feu de caravane
Mardi vers 21 heures, les pompiers sont appelés pour un feu à Rethel. Ils sont pris à partie pendant leur intervention...
1 Une caravane à usage d'habitation a pris feu mardi, vers 21 heures, sur la promenade des Isles à Rethel où les forains sont traditionnellement installés durant les fêtes de Sainte-Anne.
« À l’arrivée des pompiers, mon frère a cherché à monter dans leur fourgon pour engueuler le chauffeur. Ça faisait 45 minutes qu’on les attendait ! »
Peter assure être aussitôt retourné à sa caravane pour se battre contre les flammes.
« Nous y étions tous pour éteindre le feu. » Tous… Sauf les sapeurs-pompiers, repartis à la caserne après avoir été pris à partie.
« Sitôt sur les lieux, ils ont été agressés par une bande de forains, raconte le directeur départemental adjoint du Service départemental d’incendie et de secours des Ardennes (Sdis 08), le lieutenant-colonel Didier Bégaud.
Petit guide touristique de savoir-vivre en France
Apprenez que, sur nos plages, depuis plus d’un siècle, on ne s’habille pas pour prendre un bain.
Dominique Jamet Journaliste et écrivain
Il a présidé la Bibliothèque de France et a publié plus d'une vingtaine de romans et d'essais.
Co-fondateur de Boulevard Voltaire, il en est le Directeur de la Publication Latifa
Les loups sont entrés dans PalmyreZéro de croissance : c’est la rentrée des cancres Monsieur le Roi, Je n’aurai garde de revenir sur les conditions si particulières de Votre séjour sur la Côte d’Azur.
Elles obéissent à de très hautes considérations politiques qui ressortissent du système connu sous le nom de Françafric. Mais mon propos n’est pas d’en discuter aujourd’hui.
Il m’a paru plus nécessaire et plus urgent d’attirer la bienveillante attention de Votre Majesté sur le fâcheux incident survenu dès le deuxième jour de vos vacances.
Vous ne manquerez pas, j’en suis sûr, de faire en sorte qu’il ne se reproduise pas. Je ne sais, dans l’état actuel de mes informations, si c’est à l’initiative de Votre Majesté elle-même ou d’un quelconque serviteur zélé de son entourage qu’une jeune femme membre de la Compagnie républicaine de sécurité chargée d’assurer Votre protection a été invitée à ne pas contrevenir par sa présence aux préceptes sacrés du Prophète – qu’Il soit béni – et de son Livre sacré.
Il découle, de toute évidence, des prescriptions de Votre religion que la femme, être inférieur et impur qui n’est admis dans votre royaume ni à exercer la plupart des métiers, ni à sortir seule, ni à conduire une voiture, ni d’une manière générale à disposer d’elle-même, ne saurait être habilitée à surveiller Vos ébats, et d’autant moins que cette éhontée sans pudeur ne craint pas d’endosser des vêtements masculins. Gardien des Lieux saints de l’islam, Vous n’avez pas à être offusqué par l’intempestive intrusion dans Votre immédiate proximité de seins qui n’ont rien de respectable.
Comme l’a si bien dit Al Tartoufi, « Par de pareils objets les âmes sont blessées/Et cela fait venir de coupables pensées ». Vous avez donc eu à Vallauris la même saine réaction que Vous auriez eue à La Mecque, à Médine ou à Riyad et il n’est pas un véritable croyant qui ne Vous comprenne et qui ne Vous approuve. Sea, sex and sun, c’est bon pour les mécréants.
Je crains pourtant qu’il y ait là un petit malentendu que je souhaiterais dissiper en faisant admettre à Votre Majesté qu’il serait de son intérêt bien compris de se montrer, dans les jours qui viennent, plus accommodante et plus indulgente pour nos mœurs, eu égard au choix qu’Elle a fait et qui nous honore si grandement de prendre un peu de repos en terre chrétienne.
Votre Majesté, en effet, est en France, et si la République a cru devoir lui concéder, pour quelques semaines, la jouissance exclusive d’une plage habituellement ouverte au public, cette faveur exceptionnelle n’entraîne aucune clause d’exterritorialité.
Il s’ensuit, évidemment, que ce ne sont pas Vos lois mais les nôtres qui continuent de prévaloir sur notre sol. Que ce soit en Iran, que ce soit dans Votre pays, Vous êtes bien placé pour savoir que toute femme, fût-elle journaliste ou ministre, voire chef d’État, n’est admise à l’intérieur de Vos frontières, de Vos palais ou de Vos studios de télévision qu’à condition de respecter un minimum de décence, et donc de se couvrir les bras et les cheveux.
Vous et Votre police religieuse veillez jalousement à la prohibition de l’alcool, à l’interdiction de toute rencontre entre Vos femmes et nos hommes. Les programmes mêmes des rares établissements scolaires occidentaux tolérés dans les Émirats – il n’y en a pas encore dans Votre royaume – sont expurgés de toute notion incompatible avec l’islam…
Ce sont Vos lois. Si consternantes, si grotesques, si aberrantes, si inhumaines que nous les jugions, nous ne les transgressons pas là où elles sont en vigueur. Accordez-nous la réciproque. Sachez que, chez nous, une femme a le droit de contester la parole d’un homme, que la sienne est prise en considération à égalité, qu’elle peut, si elle y est habilitée, enseigner, soigner, verbaliser, arrêter, juger, condamner même un homme.
Apprenez que, sur nos plages, depuis plus d’un siècle, on ne s’habille pas pour prendre un bain. S’il devait Vous arriver de Vous risquer en dehors de Votre propriété et de son annexe, ne faites pas d’observations sur leur tenue ou leur manque de tenue aux passants et passantes que Vous pourriez croiser dans les rues ou sur le rivage de Vallauris.
Abstenez-Vous de condamner à dix ans de prison et mille coups de fouet les impies qui auraient un peu forcé sur l’apéro ou commandé un sandwich au jambon. Et si d’aventure Vous veniez à rencontrer un lecteur ou, pire, un rédacteur de Charlie Hebdo, retenez le bras du prince ou du garde du corps qui voudrait lui apprendre la crainte de Dieu à coups de kalachnikov.
Rentré chez Vous, Vous pourrez de nouveau, hélas, agir suivant Votre bon plaisir. Vous êtes chez nous.
N’en abusez pas.
Dominique Jamet
Dordogne : un enfant meurt, la jambe piégée au fond de la piscine sous l'eau, l'enfant n'a pas pu remonter pour respirer pendant plusieurs minutes.
Happé sous l'eau, l'enfant n'a pas pu remonter pour respirer pendant plusieurs minutes. (
Un enfant de 11 ans est mort, vraisemblablement noyé, après avoir passé plusieurs minutes sous l'eau, jeudi dans une piscine de Dordogne. Sa jambe était restée coincée, prisonnière d'une bonde d'évacuation.
L'incident est survenu jeudi après 17H30 dans le petit bassin de la piscine municipale de Terrasson-Lavilledieu.
Pour une raison encore inconnue, la grille recouvrant une bonde de fond se serait détachée, happant alors la jambe de l'enfant. Ainsi prisonnier, il a dû garder la tête sous l'eau pendant plusieurs minutes.
Les secours, ont peiné avant de pouvoir dégager le jeune garçon. Pour lui permettre de respirer, ils ont donc d'abord vidé en partie le bassin pour lui maintenir la tête hors de l'eau.
Mais ce n'est qu'une fois sa jambe dégagée, peu avant 19H00, qu'il a pu être transféré à l'hôpital de Brive. Il est décédé plus tard dans la soirée.
Le parquet de Périgueux a ouvert une enquête sur les circonstances de l'accident.
La piscine sera fermée jusqu'à nouvel ordre pour les besoins de cette enquête.
Le timbre rouge à 80 centimes en janvier
Le timbre rouge augmentera de 4 centimes au 1er janvier 2016, passant à 80 centimes.
Le tarif du courrier augmentera en moyenne de 3,6 % pour compenser la baisse du nombre de plis expédiés. 8083 27 20 1 Le timbre rouge- tarif prioritaire - coûtera 80 centimes à partir de janvier 2016.
Un timbre rouge coûtera quasiment le prix d'une baguette à compter du 1er janvier 2015. Il faudra débourser 80 centimes pour affranchir une lettre au tarif prioritaire, au lieu de 76 centimes à présent. Le timbre vert, tarif lent, passera pour sa part à 70 centimes au lieu de 68 centimes actuellement.
Tout type de courrier confondu, l'augmentation sera de 3,6 % en moyenne. La Poste justifie ces hausses par la nécessité d'“assurer la pérennité du service universel, dans un contexte de baisse continue des volumes du courrier”.
Déjà au 1er janvier 2015, les tarifs avaient augmenté de 7 %. Un record. 48 euros par an Cela aurait cependant un impact mineur dans le budget des particuliers à en croire l'entreprise de transport de courrier.
Celle-ci précise en effet que “la dépense des ménages en produits postaux est de l'ordre de 48 euros par an en moyenne, soit moins de 4 euros par mois”. Pour rappel, le timbre rouge était à 46 centimes d'euros vingt ans en arrière.
En 2011, il était encore à 60 centimes.
Vendée : 31 arbres abattus illégalement pour laisser passer un convoi exceptionnel
Pour le département de Vendée, qui a convoqué une réunion à la mi-journée jeudi, c'est "une attitude qui a des répercussions environnementales graves".
Une trentaine d'arbres ont été abattus mercredi le long de la route à Luçon, en Vendée, pour faire passer un convoi exceptionnel de presque 10 mètres de large et 33 mètres de long, transportant deux coques de bateaux.
L'option de traverser un champ moissonné n'était semble-t-il plus possible, la pluie de la veille ayant détrempé le terrain. Un convoi exceptionnel transportant deux coques de bateaux en aluminium de près de 10 mètres de large et 33 mètres de long venant de Fontenay-le-Comte, aux Sables d'Olonne, s'est trouvé immobilisé mercredi matin à l'entrée de Luçon, sur la route départementale D746, empêchant "toute circulation", a indiqué le conseil départemental de la Vendée. "C'est pas normal qu'on défigure des arbres comme ça" Selon son président, Yves Auvinet, quelqu'un du département aurait alors donné son accord pour couper cinq arbres afin de dégager le passage.
Insuffisant pour faire passer le convoi. Alors, une autre solution aurait été proposée au transporteur privé Multi-Trans : passer par un champ à côté de la route.
Mais cette fois c'est la météo qui s'en mêle et la pluie aurait rendu le terrain impraticable. Au lieu d'attendre une demi-journée que la terre sèche, le transporteur a alors décidé de couper illégalement une trentaine de platanes, provoquant la colère des habitants et des autorités locales.
Jean-Pierre Rousseau habite à 150 mètres de là, il a été abasourdi par la scène. "C'est pas normal qu'on défigure des arbres comme ça, moi j'ai 75 ans, je reverrai jamais la route avec des arbres comme ça, parce que des arbres comme ça, il faut plusieurs dizaines d'années pour qu'ils soient aussi beau. Quest-ce qu'on laisse à nos enfants si on se met à tout couper comme ça de façon idiote ?" tempête-t-il. "C'est pas normal qu'on défigure des arbres comme ça, moi j'ai 75 ans, je reverrai jamais la route avec des arbres comme ça" - Jean-Pierre Rousseau 75 ans, au micro de France Bleu Loire Océan "Cet acte odieux s'est déroulé sans qu'aucune information ne soit transmise ni à l'administration ni à un élu de la ville"
Le maire de Luçon, Pierre-Guy Perrier, répondant à Télé Luçon Sud Vendée, s'est dit "atterré". "Cet acte odieux s'est déroulé sans qu'aucune information ne soit transmise ni à l'administration ni à un élu de la ville. C'est inadmissible.
En temps que maire de Luçon je condamne avec la plus grande fermeté cet acte d'une stupidité sans nom. J'ai demandé que dès demain matin les avocats soient contactés et que l'on fasse la lumière sur toutes les responsabilités afin que les auteurs de cette abomination soient punis comme ils le mérite", a t-il affirmé. "Si le transporteur ne pouvait pas passer ce n'est pas les arbres qu'il aurait dû couper, c'est son bateau.
On ne coupe pas 31 arbres centenaires parce qu'on est incapable de mesurer comme il faut une largeur" (Le maire de Luçon) Pierre-Guy Perrier affirme qu'il demandera que "31 arbres centenaires soit replantés au même endroit et que l'on fasse le nécessaire pour que les auteurs soient mis en situation de ne jamais pouvoir recommencer une telle chose."
Confronté à la chute du prix du pétrole, Shell va supprimer 6 500 emplois
La compagnie pétrolière anglo-néerlandaise Shell annonce la suppression de 6 500 emplois. Confronté à la chute des cours du pétrole, Royal Dutch Shell a annoncé, jeudi 30 juillet, qu’il prévoyait de supprimer 6 500 postes cette année parmi ses employés et ses sous-traitants directs.
Le groupe emploie actuellement près de 100 000 personnes. La compagnie pétrolière anglo-néerlandaise prévoit également de réduire ses investissements de 2,7 milliards d’euros supplémentaires par rapport à ce qui était prévu en avril.
Ils devraient ainsi atteindre 27,4 milliards d’euros cette année, soit une baisse de 6,4 milliards d’euros par rapport à l’an dernier. La faiblesse des cours du pétrole « pourrait durer plusieurs années », a justifié le groupe dans un communiqué.
Les prix du pétrole ont chuté de moitié depuis juin 2014, conduisant de nombreuses entreprises du secteur à réduire la voilure.
Pétrole : les raisons de la chute continue des prix Shell, qui doit racheter son concurrent britannique BG Group, a vu son bénéfice net chuter de 25 % au deuxième trimestre, à 3,6 milliards d’euros, son activité ayant souffert dans les secteurs de l’exploration et de la production.
En parallèle, le groupe britannique d’énergie Centrica a annoncé jeudi son intention de réduire ses effectifs de 4 000 emplois ; ce qui représente environ 10 % de son personnel.
Cette annonce de la maison mère de British Gas pourrait déclencher une tempête politique, Centrica ayant doublé ses profits : le premier fournisseur d’énergie de Grande-Bretagne a annoncé un bénéfice d’exploitation ajusté de 752 millions d’euros au cours du premier semestre 2015, un montant en hausse de près de 100 % par rapport à la même période de 2014.
Le nouveau dirigeant de Centrica, Iain Conn, a promis des changements radicaux dans le cadre d’un plan stratégique d’économies.