Il ne faut jamais s'attacher tellement aux choses et aux gens qu'on ne puisse, plus ensuite, vivre sans eux.

Que nous vivions ici ou la bas Que nous soyons noir ou blanc Que nous soyons riches ou pauvres Que nous croyons en le même dieu ou pas Nous finissons tous de la même manière Nous tendons la main aux anges

Il y a des jours comme ça, où rien ne va, Enfermé dans ton mal-être, Quand les anges pleurent ,Au bord de ta fenêtre............ Il y a des jours comme ça, Où rien ne va ,A s'en torturer la tête ,Si l'espoir meurt, Pourra t-il renaître?

Mon ange sans un bruit ,Tu t'es doucement endormi .Mon  ange tu es patris .Tu es allé au paradis .Ils ton donnés une paire d'ailes ,Et tu t'es envolé vers le ciel.

J’ai vécu la saison où meurent les rêves La pluie et les larmes se sont écoulées sur mon visage Mes mains ont tremblés, de froid et de peine, sous l’orage Ce soir encore, la neige et la vieillesse attendent que mes sanglots s’achèvent. Il reste de mon enfance des vestiges brisés, Un regard, quelques objets, des souvenirs Il me reste de ma joie une grimace de sourire Et le silence

Veille sur ce trésor  lorsqu'il dort protège ces yeux clos à l'intérieur desquels un rêve éclot

En pensant à toi .. Je songe à cette pierre grise usée par le temps ,Sous laquelle repose ta chair et ton sang ,Et d'où s'élève mes prières, Vers ton être de Lumière, Les larmes et la pluie ont creusé des rides, Sur cette tombe amouricide ,Dans le sol, au dessous des fleurs Que t'ont apporté mon ♥. Dort mon ange

Nuit glacée

Mes larmes au sein du noir, Dans la soie du soir, Cri étouffé... Le coeur qui explose à en crever ,Malgré le souvenir qui fige les choses ,Mon âme saigne à n'en plus rêver... Je t'attendrai : dans la mort et dans la vie ,Je t'attendrai, jusqu'à l'infini .Je fixe, au sein de la nuit, Une étoile qui est là et qu'on ne voit pas.

Je me réveille, tu es là en moi dans mon rêve, Comme un poème qui dort dans le bercement de mon p'tit cœur. Je regarde ton corps invisible. Je sais que je t'aime mais que je ne peux plus t'atteindre, Que je ne t'atteindrai certainement plus jamais. Tu es ce rêve impossible, cet interdit qui me brûle les lèvres, Qui me déchire le cœur et corps. J'entends ta voix si loin de moi, j'invente ton sourire Et je me sens enveloppé par tes mots, Par tes éclats de rire. Et pourtant chacune de mes heures Se rapprochent de ta présence, J’invente un monde pour nous deux, un paradis de vie, D’amour, de tendresse, de caresses. . Toi si loin, toi si inaccessible, si invisible, je te vois avec moi Dans un ailleurs Et moi te donner le meilleur de ce que je suis. Jamais le temps ne désunira ce lien Qui me retient vers toi comme l'étoile est à la nuit....

Il faut plus d'une pomme Pour emplir un panier. Il faut plus d'un pommier Pour que chante un verger. Mais il ne faut qu'un homme Pour qu'un peu de bonté Luise comme une pomme Que l'on va partager