Nuit de neige La grande plaine est blanche, immobile et sans voix. Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte. Mais on entend parfois, comme une morne plainte, Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois.

C'est moi qui te le dis, petit, la vie, c'est pas comme marcher sur du velours, c'est un escalier qu'il faut grimper. Y'a des clous qui dépassent, et des planches abîmées, et des bouts où y'a même pas de plancher : Des trous. Et tout ce temps-là, on n'arrête pas de grimper, de changer de palier, de tourner les coins. Même que des fois y'a pas de lumière et qu'on n'y voit rien. Alors, petit, te retourne pas, va pas redescendre l'escalier. C'est assez dur, fais pas exprès, va pas dégringoler maintenant parce que moi, je continue, j'ai pas fini de grimper. Et c'est moi qui te le dis, la vie, c'est pas comme marcher sur du velours

Mais qu’est-ce donc que je suis ? Un etre qui pense. Qu’est-ce donc qu’un etre qui pense ? C’est-à-dire un etre qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent .. Certes ce n’est pas peu si toutes choses appartiennent à ma nature !

Quand je regarde dans tes yeux, c'est fou comme j'en vois des choses... Je vois ta douceur et ta gentillesse. Je vois ta bonté et ta patience. Mais je vois aussi une fougue contenue, une puissance illimitée, une énergie électrisante. Mais par-dessus tout, ce que je vois, c'est un désir inébranlable de liberté. Tu regardes vers l'horizon, assoiffé de grands espaces, souhaitant échapper à cette vie ô combien contraignante. Et quand il se tourne vers moi, ton regard brille de complicité, d'un amour farouche, d'un attachement marqué. J'y lis ton histoire. Notre histoire. Je perçois aussi de la fragilité que je transformerai en une confiance sans borne. Il m'en dit long ton regard... J'y vois une tempête quand tu te fâches, de la grisaille quand tu es triste et du soleil étincelant quand tu es heureux. Et quand tu le tournes vers moi, il est magnifique ton regard, si magnifique...

On rêve d’un idéal, on le prie, on l’appelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, on découvre la peur de le vivre, celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves

On ne soumet pas l’amour, on l’apprivoise tous les jours

La nature a créé des différences, la société en a fait des inégalités.

Si nous savons accueillir l'imprévisible, nous ouvrir à l'exceptionnel, des miracles surgiront spontanément et nous surprendront plus souvent que nous n'osons l'imaginer.

Quand je regarde dans tes yeux, c'est fou comme j'en vois des choses... Je vois ta douceur et ta gentillesse. Je vois ta bonté et ta patience. Mais je vois aussi une fougue contenue, une puissance illimitée, une énergie électrisante. Mais par-dessus tout, ce que je vois, c'est un désir inébranlable de liberté. Tu regardes vers l'horizon, assoiffé de grands espaces, souhaitant échapper à cette vie ô combien contraignante. Et quand il se tourne vers moi, ton regard brille de complicité, d'un amour farouche, d'un attachement marqué. J'y lis ton histoire. Notre histoire. Je perçois aussi de la fragilité que je transformerai en une confiance sans borne. Il m'en dit long ton regard... J'y vois une tempête quand tu te fâches, de la grisaille quand tu es triste et du soleil étincelant quand tu es heureux. Et quand tu le tournes vers moi, il est magnifique ton regard, si magnifique...

Sans la beauté et la douceur de ces multiples rêves qui couvrent notre vie, le froid de la réalité serait difficile à endurer …