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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
EN IMAGES. A quoi pourraient ressembler les animaux de demain ?
De la biologie spéculative. C'est ainsi que l'on pourrait résumer la démarche du paléontologue Jean-Sébastien Steyer (CNRS) et du sculpteur-animalier Marc Boulay. Partant du principe que la vie humaine n'existera plus dans 10 millions d'années, le scientifique et l'artiste ont tenté d'imaginer les évolutions possibles du vivant.
Le résultat ? Un ouvrage qui fait la part belle à la science autant qu'à la fiction. « Dix millions d’années est la durée de vie maximum de nombreuses espèces fossiles », ont expliqué les auteur à Pierre Barthélémy du blog « Passeurs de sciences ». « Nous ne voulions pas d’Homo sapiens dans notre prospective pour justement inviter le lecteur à réfléchir sur l’impact de notre espèce dans la nature… Nous souhaitons aussi montrer que l’évolution ne s’arrête pas à l’homme qui n’est nullement un aboutissement évolutif. »
Pour imaginer ces nouvelles formes de vie, Jean-Sébastien Steyer et Marc Boulay racontent s'être « basés sur les modèles de la tectonique des plaques qui calculent les vitesses et trajectoires des plaques en question et reconstituent le visage de la Terre au cours des temps géologiques », tout en tenant compte de l'augmentation des températures.
« Une fois le décor planté, nous nous sommes intéressés aux plantes et animaux actuels qui, malgré l’impact de l’homme, se portent plutôt bien : chez les vertébrés par exemple, les oiseaux, présents sur tous les continents, arborent des formes, des tailles ou encore des régimes alimentaires variés. Ils nous ont donc inspirés. Chaque espèce est rendue plausible parce qu’elle constitue un maillon d’une chaîne alimentaire complexe. »
Puisque les évolutions restent imprévisibles et ne peuvent être devancées par des prédictions scientifiques, les auteurs ont ensuite laissé leur imagination s'occuper du reste. Making-of de « Demain, Les Animaux du Futur » :
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.
Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.
Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques. Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.
Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques. Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques. Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.
Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.
Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.
Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.