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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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De l’angora de lapin de Chine chez Kookaï

Publié à 18:12 par fandeloup Tags : vie monde chez nature animaux chien chat éléments chiens chats
De l’angora de lapin de Chine chez Kookaï

De l’angora de lapin de Chine chez Kookaï mais aussi du raton laveur, renard, lapin, chien viverrin, et également chien et chat domestique, puisque, malgré l’interdiction d’importation de ces peaux au niveau de l’Europe, le trafic perdure en raison de sa rentabilité !!!!!!!!

La marque Kookaï, qui se targue de ne plus commercialiser de garnitures (capuches) en fourrure animale, sans toutefois confirmer cette décision par un communiqué écrit, se tourne à présent vers l’angora de lapin de Chine.

Cette marque vendait déjà de la fourrure importée de Chine — raton laveur, renard, lapin chien viverrin, et également chien et chat domestique, puisque, malgré l’interdiction d’importation de ces peaux au niveau de l’Europe, le trafic perdure en raison de sa rentabilité —, et n’en a pas fini avec ce nauséabond commerce…

Il n’y a là-bas aucune loi de protection animale, il est alors commun aussi pour les chiens et les chats d’être ramassés dans les cours et les rues, puis tués et commercialisés ensuite comme fourrure de lapin. 90 % de l’angora au monde vient de Chine (ce peut être alors du lapin, mais aussi du chat et/ou du chien), pays où l’électrocution et le gazage reviennent trop cher aux élevages : les animaux sont alors dépecés pleinement conscients.

En outre, la marque propose aussi de l’alpaga (fœtus d’agneau) et du mohair, une autre forme de souffrance pour les agneaux. Voici la sordide réalité des élevages de lapins pour leur angora, révélée par la vidéo de Peta : http://action.peta.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=5&ea.campaign.id=23870

Les lapins, qui sont extrêmement propres par nature, sont conservés pendant toute leur vie dans des cages minuscules, sales, entourés par leurs propres déchets, avec peu de protection contre les éléments extérieurs.

Les minces fils de fer des cages coupent constamment leurs coussinets sensibles, et ils n’ont jamais la chance de s’ébattre, de sauter ou de jouer. Les lapins sont en état de choc extrême suite à l’arrachage de leur fourrure.

Un agriculteur a admis qu’environ 60 % des lapins ayant eu leur pelage arraché meurent dans un délai de un à deux ans. Pendant le processus de coupe, leurs pieds sont attachés à des cordes afin qu’ils puissent être étendus sur une planche.

Certains sont même suspendus dans l’air, haletant et luttant pour s’échapper. S’ils ne meurent pas du traumatisme de l’arrachage, les lapins de ces fermes sont généralement tués après deux à cinq ans. Leur cou est brisé, la tête en bas, leur gorge tranchée. Leur viande est vendue sur les marchés locaux.

Animaux dépecés pleinement conscients, pétition au ministre de l’agriculture chinois pour la fin de ces viles pratiques : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2014/08/la-sordide-realite-de-la-fourrure-de.html http://animalpetitions.org/8142/stop-skinning-animals-alive-in-china/

Transmettons ces informations à Kookaï. Cette marque devrait suivre l’exemple de Camaïeu et C et A. Ceux-ci ont communiqué l’hiver dernier à notre collectif leur décision de ne plus commercialiser ces articles en angora de lapin de Chine, en raison des souffrances qui en découlent. H et M, Tommy Hilfinger, Calvin Klein, Arrow, Arcadia, Stella Mac Cartney se sont également engagées contre cette matière. Demandons à Kookaï de suivre cet exemple, ainsi que l’emploi de toute fourrure animale.

De l’angora de lapin de Chine chez Kookaï

Publié à 14:59 par fandeloup Tags : vie monde chez nature animaux chien chat éléments chiens chats
De l’angora de lapin de Chine chez Kookaï

De l’angora de lapin de Chine chez Kookaï mais aussi du raton laveur, renard, lapin, chien viverrin, et également chien et chat domestique, puisque, malgré l’interdiction d’importation de ces peaux au niveau de l’Europe, le trafic perdure en raison de sa rentabilité !!!!!!!!

La marque Kookaï, qui se targue de ne plus commercialiser de garnitures (capuches) en fourrure animale, sans toutefois confirmer cette décision par un communiqué écrit, se tourne à présent vers l’angora de lapin de Chine.

Cette marque vendait déjà de la fourrure importée de Chine — raton laveur, renard, lapin chien viverrin, et également chien et chat domestique, puisque, malgré l’interdiction d’importation de ces peaux au niveau de l’Europe, le trafic perdure en raison de sa rentabilité —, et n’en a pas fini avec ce nauséabond commerce…

Il n’y a là-bas aucune loi de protection animale, il est alors commun aussi pour les chiens et les chats d’être ramassés dans les cours et les rues, puis tués et commercialisés ensuite comme fourrure de lapin. 90 % de l’angora au monde vient de Chine (ce peut être alors du lapin, mais aussi du chat et/ou du chien), pays où l’électrocution et le gazage reviennent trop cher aux élevages : les animaux sont alors dépecés pleinement conscients.

En outre, la marque propose aussi de l’alpaga (fœtus d’agneau) et du mohair, une autre forme de souffrance pour les agneaux. Voici la sordide réalité des élevages de lapins pour leur angora, révélée par la vidéo de Peta : http://action.peta.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=5&ea.campaign.id=23870

Les lapins, qui sont extrêmement propres par nature, sont conservés pendant toute leur vie dans des cages minuscules, sales, entourés par leurs propres déchets, avec peu de protection contre les éléments extérieurs.

Les minces fils de fer des cages coupent constamment leurs coussinets sensibles, et ils n’ont jamais la chance de s’ébattre, de sauter ou de jouer. Les lapins sont en état de choc extrême suite à l’arrachage de leur fourrure.

Un agriculteur a admis qu’environ 60 % des lapins ayant eu leur pelage arraché meurent dans un délai de un à deux ans. Pendant le processus de coupe, leurs pieds sont attachés à des cordes afin qu’ils puissent être étendus sur une planche.

Certains sont même suspendus dans l’air, haletant et luttant pour s’échapper. S’ils ne meurent pas du traumatisme de l’arrachage, les lapins de ces fermes sont généralement tués après deux à cinq ans. Leur cou est brisé, la tête en bas, leur gorge tranchée. Leur viande est vendue sur les marchés locaux.

Animaux dépecés pleinement conscients, pétition au ministre de l’agriculture chinois pour la fin de ces viles pratiques : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2014/08/la-sordide-realite-de-la-fourrure-de.html http://animalpetitions.org/8142/stop-skinning-animals-alive-in-china/

Transmettons ces informations à Kookaï. Cette marque devrait suivre l’exemple de Camaïeu et C et A. Ceux-ci ont communiqué l’hiver dernier à notre collectif leur décision de ne plus commercialiser ces articles en angora de lapin de Chine, en raison des souffrances qui en découlent. H et M, Tommy Hilfinger, Calvin Klein, Arrow, Arcadia, Stella Mac Cartney se sont également engagées contre cette matière. Demandons à Kookaï de suivre cet exemple, ainsi que l’emploi de toute fourrure animale.

conditions d’élevage des cochons

Publié à 17:04 par fandeloup Tags : photo google monde homme animaux film background
conditions d’élevage des cochons

Australie : un documentaire dénonce les conditions d’élevage des cochons 2

Un jeune réalisateur a pu pénétrer dans une cinquantaine d’élevages de cochons en Australie.

Ses images effroyables font l’objet d’un documentaire, diffusé actuellement dans plusieurs salles de cinéma des grandes villes australiennes.

30millionsdamis.fr relaie ce reportage qui fait polémique au pays des kangourous.

 Battus avec des tiges métalliques, confinés dans des cages exiguës, gazés…

C’est le triste sort des cochons élevés dans les fermes australiennes, du moins dans une cinquantaine d’entre elles. Chris Delforce, réalisateur et militant des droits des animaux, a filmé en caméra cachée ces élevages industriels porcins, répartis dans tout le pays. Baptisé « Lucent », son film est actuellement diffusé dans certaines salles de cinéma australiennes.

Les images (très choquantes, disponibles sur le site du Dailymail) révèlent qu’au pays des kangourous, il ne fait pas bon être un cochon.

LES COCHONS, « DES UNITÉS DE PRODUCTION »

Tout au long de son enquête, Chris Delforce n’a pu que constater les conditions effroyables dans lesquelles les cochons sont élevés. Les porcs sont mutilés - queue et oreilles - sans anesthésie, des cadavres de porcelets sont retrouvés près de leur mère, de nombreux animaux vivent dans leurs excréments…

« Les cochons sont traités comme des unités de production, et cette façon de les considérer est profondément inhumaine » explique Chris Delforce. Ce jeune homme âgé de 23 ans a commencé ses investigations en 2012, peu après le scandale connu en Australie sous le nom de « Wally's Piggery ».

Cette véritable ferme mouroir, située près de Camberra, avait suscité des vagues d’indignation après la diffusion d’images montrant des animaux battus et agonisants, dans le mépris le plus total de la législation australienne.

La fermeture de l’élevage avait finalement été ordonnée par les autorités face à l’ampleur de la polémique.

PRESSION DES INDUSTRIELS

Si les images font grand bruit dans son pays, Chris Delforce s’est logiquement attiré les foudres des industriels du secteur. Pour un porte-parole de l’Australian Pork Limited, organisme qui défend les intérêts de la profession, « le film n’est pas représentatif de l’élevage ».

Mais malgré les pressions, le jeune homme ne compte cependant pas en rester là. « Je veux que les gens voient ce qui se passe vraiment afin qu'ils puissent prendre une décision éclairée sur les produits qu'ils achètent » a-t-il expliqué.

Dans la ligne de mire des associations de protection animale, le bacon et le jambon, des produits massivement consommés dans les foyers australiens.

Ce n’est pas la première fois que les éleveurs australiens sont montrés du doigt. En juillet dernier, une vidéo postée par une organisation internationale de protection animale montrait la violence employée dans la tonte de moutons : des ovins blessés, recousus sans antidouleurs, puis jetés dans des boxes sans ménagement.

L’Australie est le premier producteur et exportateur de laine du monde, et le septième exportateur de viande porcine.

Des extraits sont disponibles sur le site du Dailymail (attention images choquantes - en anglais)

En savoir plus sur https://aussiefarms.org.au/

trafic

Publié à 19:07 par fandeloup Tags : chez cadre internet animaux film dessous chiens
trafic

Réalisé par Chloé Vienne, produit par MARZAB PRODUCTIONS, le reportage Le scandaleux business des trafiquants de chiens est proposé ce soir sur la chaîne M6.

Un document diffusé dans le cadre du magazine Enquête exclusive à 23 heures.

C'est un trafic presque aussi juteux que celui de la drogue, il concerne nos animaux de compagnie favoris.

Chaque année, plus de 100 000 chiots sont introduits illégalement sur notre territoire.

Les profits réalisés sont faramineux : achetés 150 euros au marché noir, les chiens sont revendus dix fois plus cher.

Souvent malades ou porteurs de tares génétiques, ces animaux décèdent généralement quelques semaines plus tard, laissant leurs nouveaux maîtres désemparés.

Impliquées dans ce trafic, des animaleries chez qui on pense acheter en toute confiance. Certains commerçants ne reculent devant rien : puces arrachées sur les chiots pour que l'on ne puisse pas retracer leur provenance, certificats contrefaits par des vétérinaires véreux, animaux maltraités dans les sous-sols.

L'équipe du reportage a pu suivre une enquête de longue haleine et un coup de filet spectaculaire mené conjointement par les services de police et la SPA. Dans les salons animaliers de plus en plus fréquentés, certains éleveurs sans scrupules vendent eux aussi des centaines de chiots à l'origine douteuse.

Ce film remonte leurs filières d'approvisionnement jusque dans les pays de l'Est et révèle les dessous d'un business honteux.

Sur internet et via les réseaux sociaux, d'autres trafiquants alimentent un marché tout aussi illicite : celui des chiens de combats.

Entraînements barbares, ventes clandestines : Pitbulls et Rottweilers font leur grand retour dans les cités.

La vidéo http://www.6play.fr/m6/#/m6/enquete-exclusive/11402600-le-scandaleux-business-des-trafiquants-de-chiens

les bars a chats doivent etre interdit

Publié à 16:35 par fandeloup Tags : france vie nature animaux chat jardin chats internet
les bars a chats doivent etre interdit

LES BARS À CHATS DOIVENT ÊTRE INTERDITS !

Juillet 2013. Des bars à chats devraient bientôt ouvrir en France. Sous couvert de protection animale, l’idée, venue du Japon, est d’exposer des chats au bon vouloir de clients désireux de se délasser sur leur dos, sans aucun respect pour leur vraie nature. À l’opposé de ce concept, le projet Chatipi donne la possibilité aux humains de tisser de vraies relations avec des chats.

Des interactions forcées et payantes Les premiers bars à chats français devraient bientôt ouvrir. Il s’agit de structures commerciales dans lesquelles les consommateurs peuvent « profiter » des chats tous les jours, les caresser et interagir avec eux au motif que la « ronron thérapie » déstresse.

Chaque bar comporterait une dizaine de chats obligés de se soumettre à la volonté des clients, qui paieraient pour ce « service ». Les chats ne pourraient pas choisir le moment, ni la personne qui voudrait les toucher.

Ceci est contraire à la nature des chats, animaux indépendants et territoriaux par excellence, qui doivent pouvoir décider du moment de leurs interactions avec d’autres êtres vivants et choisir ces derniers. Une nouvelle exploitation des animaux Sous couvert de bienfaisance – les chats sont censés provenir de refuges -, ces bars à chats ne représenteraient-ils pas une nouvelle forme d’exploitation animale ?

Les chats y seraient confinés, sans accès à un jardin, et disposeraient seulement d’une salle de repos à accès contraint par les propriétaires des bars. Présentés naïvement sous un jour favorable par les médias, dans l’intérêt unilatéral des humains, ces projets posent le problème du respect des animaux et de leur réification. Si ces projets se réalisent, les chats vivront sans jamais pouvoir tisser un lien solide d’amour et de respect mutuel avec un humain.

Ils seront réduits à des objets de consommation. Les refuges sollicités semblent heureusement avoir pris conscience des conditions de vie désastreuses que subiraient les chats. Espérons qu’aucun n’acceptera de livrer des chats pour cette expérience malsaine. Non à la relation du plus fort et du plus faible One Voice rappelle que les chats nous apprennent un type de relation différente de celle du plus fort et du plus faible.

Ils nous enseignent le respect total dans les rapports à l’autre. Les bars à chats dénaturent ce qui est essentiel pour les chats et les rapports constructifs que l’on peut tisser avec eux. À l’opposé de ce concept, nous proposons Chatipi, un projet autour du lien humain/chat qui respecte les animaux et les humains. Les Chatipis, dont le premier ouvrira ses portes à la rentrée 2013, seront des lieux installés dans les maisons de retraite.

Les chats, totalement libres, pourront tisser des relations avec les personnes âgées. Le personnel d’animation des maisons de retraite pourra créer des projets thérapeutiques autour des chats présents dans le Chatipi, un lieu ouvert qui respecte la nature des êtres parmi les plus vulnérables que sont les personnes âgées et les chats. Chatipi : un projet basé sur la liberté La liberté est la base du projet, pour les chats comme pour les humains.

Les chats seront libres d’aller ou non vers une personne et d’interagir avec elle, créant ainsi des rencontres magnifiques et souvent surprenantes. Le tipi, circulaire, invite à entrer dans le cercle de la vie, comme le propose la culture amérindienne, dans le respect total de la nature et de toute vie, sans domination aucune.

Autour du tipi, un parcours d’interprétation permettra aux visiteurs de découvrir qui sont les chats. Agir Vous pouvez écrire poliment à Eric Mourey et Laurence Giuliani, à la Direction générale de l’alimentation (ministère de l’Agriculture), pour demander l’interdiction des bars à chats en France: courriels : betd.sdssa.dgal@agriculture.gouv.fr et bpa.sdspa.dgal@agriculture.gouv.fr

Vous pouvez aussi commander le livret Rencontre avec le peuple chat sur le site Internet www.one-voice.fr/contact pour mieux connaître la véritable nature de ces merveilleux animaux

souffrance

Publié à 10:22 par fandeloup
souffrance

Après avoir souffert, il faut souffrir encore

adoption

Publié à 09:44 par fandeloup Tags : animal
adoption

Pour ceux qui ne garderont pas leur animal adopter une peluche..Du tonus, un regard de braise, des poils dans les noreilles. Je me suis enfin décidé à adopter un animal de compagnie

triste

Publié à 08:37 par fandeloup Tags : moi
triste

Pourquoi ? Pour quelles raisons ? Comment ? De quelle manière ? Répondez-moi

clandestin

Publié à 09:47 par fandeloup Tags : photo divers homme france cadre animal animaux cheval
clandestin

 Un laboratoire d'abattage clandestin a été découvert jeudi, au Thor (Vaucluse), dans le cadre d'investigations sur un trafic de viande de cheval dans le sud de la France, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.

L'abattoir clandestin a été découvert dans le cadre d'une enquête sur un trafic de viande de cheval. L'abattoir clandestin a été découvert dans le cadre d'une enquête sur un trafic de viande de cheval.

La découverte des gendarmes du Vaucluse fait froid dans le dos. Jeudi, dans le cadre d’une commission rogatoire d'un juge d'instruction du pôle santé de Marseille sur un présumé trafic de viande de cheval, un laboratoire d'abattage clandestin a été découvert sur l’exploitation d’un éleveur basé au Thor dans le Vaucluse.

"Les enquêteurs ont constaté sur place la présence d'un lieu d'abattage clandestin", qui ne respectait pas les conditions sanitaires d'usage et "la présence sur le terrain de cet exploitant, soit de nombreux cadavres, soit de carcasses notamment de bovins, qui avaient été enfouis par l'exploitant", a indiqué le procureur adjoint de la république à Avignon, Dominique Sié.

Une probable filière de revente clandestine Le parquet d'Avignon a ouvert une enquête pour "mauvais traitement animal, cruauté, jets de cadavres et pollution" car des carcasses, enfouies dans des lieux parfois immergés, ont pu contaminer des nappes phréatiques. Les investigations, confiées à la brigade de recherche de la gendarmerie d'Avignon, porteront sur la provenance des animaux et l'existence d'une éventuelle filière de revente clandestine. Des animaux"dans un état sanitaire lamentable"

L'éleveur, âgé d'une cinquantaine d'années et inscrit comme exploitant agricole auprès de la MSA, avait déjà fait l'objet de procédures dans le cadre d'une activité non conforme à la législation mais qui ne concernaient pas des animaux, a indiqué le procureur adjoint. Des animaux vivants ont été découverts sur son exploitation, principalement installée sur la commune du Thor, et trois d'entre eux, "dans un état sanitaire lamentable" ont dû être euthanasiés, a précisé Dominique Sié.

L'homme a été placé en garde à vue dans le volet concernant le trafic de viande d'équidés. Il sera entendu ultérieurement par les gendarmes d'Avignon pour le reste du dossier.

Une centaine de personnes rassemblées à Strasbourg

Publié à 18:39 par fandeloup Tags : photos animaux chiens chats société
Une centaine de personnes rassemblées à Strasbourg

Une centaine de personnes rassemblées à Strasbourg pour dire non aux euthanasies pratiquées à la SPA

Une centaine de personnes se sont rassemblées place Kléber à Strasbourg ce samedi en début d'après-midi. Elles ont dénoncé la politique d'euthanasie massive pratiquée selon elles à la Société protectrice des animaux (SPA) de Strasbourg depuis l'entrée en fonction de la nouvelle équipe en mai dernier.

Munis de ballons noirs (pour les animaux euthanasiés) et verts (pour l'espoir), les manifestants ont distribué des tracts avec des photos de chats et de chiens morts aux passants.

Ils ont également fait signer leur pétition qui a déjà réuni près de 3.000 signatures pour demander l'ouverture d'une enquête sur le fonctionnement de la SPA de Strasbourg.

Outre les euthanasies injustifiées, de nombreux anciens bénévoles ont voulu protester contre les nouvelles règles internes instaurées au printemps.

Ils critiquent en particulier la réduction du nombre de cages individuelles au profit d'enclos communs, mais aussi la mise en place de règles d'hygiène moins strictes.