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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Il y aura toujours dans la foule un crétin qui, sous prétexte qu'il ne comprend pas, décrétera qu'il n'y a rien à comprendre.
Comment rester insensible également en apercevant Pico, pourtant présent au refuge depuis 8 mois, et encore totalement traumatisé à la vue d’un être humain? Paul Henri a eu un mal fou à réussir à le prendre en photo, en passant l’appareil par dessus la porte de son box. (extrait du récit des bénévoles du convoi de l'espoir 2014)
HONTEUX !!! KIMI a seulement 6 mois, et il va mourrir dans 3 semaines. Il sera électrocuté... Sa fourrure ornera le col d'une doudoune/parka porté(e) par un français !
Crédits : Animal Freedom Fighters http://www.befurfree.org/
Vier Pfoten / Fred Dott
Des peurs en moi, des habitudes encore en fonctions qui m'étouffe et réduisent mon chant d’action ....... Mais de loin je suis de ce que j'étais il y a peut de temps
La chasse au cerf se termine dans le jardin
Ce mardi midi, un cerf qui était pris en chasse par un groupe de chasseurs à courre, a terminé sa course dans un jardin de la rue du lavoir. Blessé, l’animal a été achevé au fusil, ce qui a fait monter la colère des défenseur des animaux et des habitants du village. Les échanges ont été tendus entre les chasseurs et les riverains. la gendarmerie a dû intervenir, afin que la carcasse soit extraite, et récupérée par le groupe de chasseurs. Le président de l’association droit de vivre 02, a déjà annoncé qu’il déposerait une plainte.
Cette photo est émouvante .
Si seulement vous saviez se qu'il se disent
Ne leur pardonne pas, ils savent ce qu'ils font
Sous le silence d’un plastique froid et dur, J’écoute tristement le pas de l’homme ordure, quelques poignées de terre pour recouvrir mes chairs, comme un dernier adieu à ces années d’enfer. Je crois qu’il m’a aimé, du moins le premier mois, de bel ami fidèle je suis devenu proie, souffre douleur perdu au cœur des ses humeurs, abandonné aux cris de mes vives terreurs. Un mortel combat au cirque des cruautés, l’ennemi-ami sous mes crocs déchiqueté, ca pu le sang et la sueur, ça pu la mort, crachas hostiles et cris d’injures sur nos corps.
Ours, lions, loups... En détruisant la biodiversité, c'est la civilisation qu'on tue ..Il y aurait 301 loups en France. Leur population est en constante augmentation depuis 1992. (Dawn Villella/AP/SIPA) Partout dans le monde, notamment en France, les mauvaises nouvelles se succèdent : les espèces sauvages sont malmenées, attaquées, empoisonnées, piégées, vendues en captivité, mitraillées, bétonnées, éliminées avec une fureur obsessionnelle.
Notre espèce ne supporte plus ce qui lui semble étranger, ce qui la gêne, ce qui lui coûte un peu d’argent, ce qui perturbe sa folle illusion du bonheur par la "croissance".
En France, les voix les plus haineuses s’élèvent pour que soient massacrés les bouquetins du Bargy, les loups un peu partout et les derniers ours dans les Pyrénées.
Des animaux qui font partie de nos rêves Hélas, les autorités de l’État, poussées par quelques politiciens à courte vue et quelques groupes d’éleveurs ou de chasseurs braillards, autorisent ce que jamais je n’aurais cru possible : des "prélèvements", des "campagnes d’assainissement" ou des "tirs d’effarouchement" (ah ! ces litotes !) d’espèces protégées, parfois jusque dans des parcs nationaux ! Les grands animaux sont les victimes offertes de cet holocauste.
Ils sont indispensables à l’équilibre des grands milieux naturels. Mais il y a peut-être plus important : ils font partie de nos rêves. Je développe cette idée dans mon essai "Éloge des mangeurs d’hommes", qui paraît aux éditions Arthaud, et dont voici un passage.
Qui pourrait chiffrer, en euros ou en dollars, en sesterces ou en ducats, en louis ou en maravédis, le prix du plaisir que nous prenons à contempler une forêt, un éléphant, un papillon, la splendeur d’un récif de corail ?
Quelle est la valeur vénale du saut du dauphin ou du chant du rossignol ? Combien pourrait- on négocier le spectacle de l’orque qui chasse, du requin qui rôde, du tigre qui ondule dans la savane, du lion qui secoue sa crinière, du loup qui trottine dans la neige ou de l’ours qui se dandine en attendant le saumon ?
Jaguar, loup, éléphant : des pans entiers de nos cultures Comment chiffrer, pour l’enfant, l’importance de savoir que le loup du Petit Chaperon rouge trotte encore "pour de vrai" dans la forêt ?
Que l’aigle des Fables de La Fontaine plane toujours sur la montagne ?
Trois petits ours continuent de hanter la sapinière ? Comment les petits Inuits accéderaient-ils à leur mythologie – à la légende de Sedna – si l’ours polaire, le narval, le requin du Groenland et le phoque venaient à manquer ?
Comment les gamins de l’Inde comprendraient-ils le Râmâyana s’il n’existait ni éléphants d’Asie, ni tigres, ni ours lippus, ni cobras à lunettes ? Pour les petits Africains, que signifieraient les histoires racontées par le griot, sous le baobab, sans l’éléphant d’Afrique, le crocodile, la girafe, la panthère et le lion ?
Comment les enfants d’Amérique centrale pourraient-ils reconnaître, sur les pyramides aztèques ou mayas, le jaguar et le python sacrés, si ce félin et ce serpent n’existaient plus dans la jungle ?
Comment les jeunes Aborigènes australiens garderaient-ils le contact avec la culture de leur peuple et le Temps du Rêve, sans le crocodile marin, le python, le requin de récif et le dingo ?
Quant aux Maoris de Nouvelle-Zélande, ils ne sauraient même plus d’où ils viennent : leur cosmologie raconte que leurs ancêtres gagnèrent leur "île du long nuage blanc" assis sur le dos d’une baleine…
Un héritage qu'on doit laisser à nos enfants En anéantissant les grands prédateurs, ainsi que la faune et la flore qui leur sont associées, nous ferions disparaître des créatures indispensables à l’équilibre de notre planète. Nous nous priverions d’espèces uniques et merveilleuses, que l’évolution darwinienne a forgées et perfectionnées durant des millénaires.
En anéantissant ces splendeurs qui, parfois, nous blessent ou signent notre mort, nous perdrions bien davantage. Nous nous couperions des racines mêmes de notre culture. Nous renierions une large part de notre civilisation. Nous nous séparerions de ce qui nous a fait hommes bien avant l’invention du fusil-mitrailleur, de la tronçonneuse et du bulldozer.
Nous interdirions à nos enfants des spectacles de nature sublimes, mais nous les isolerions surtout de la plupart de nos récits mythologiques, de nombre de nos poèmes, de nos romans, de nos peintures, de nos films ou de nos bandes dessinées.
La souffrance de l'emprisonnement, réside dans le fait que l'on ne peut s'évader de soi-même.
En ce lieu de colère et de pleurs se profile l'ombre de la Mort.Je ne sais ce que me réserve le sort .Mais je suis, et je resterai sans peur.