Un skieur américain veut sauver la vie d'un chiot

Des milliers de chiens errants sont à Sotchi et les autorités tentent de les éliminer.

Gus Kenworthy, un skieur de half-pipe, a décidé de leur sauver la vie. La présence de nombreux chiens errants à Sotchi est au centre d'une vive polémique à Sotchi.

Des milliers de toutous ont envahi la ville des Jeux Olympiques, car ils y ont trouvé de la nourriture pendant les travaux d'aménagement. Le phénomène pose problème aux autorités, qui souhaitent s'en débarrasser.

La plupart de ces animaux sont capturés pour ensuite être euthanasiés, même si on ignore dans quelles circonstances. "On en a vu dans le village olympique et sur les pistes", écrit Le Monde.

Gus Kenworthy, un skieur de half-pipe américain, a d'ailleurs croisé la route d'un petit chiot. Il a posté sur son compte Twitter la rencontre avec l'animal et il souhaite désormais l'adopter coûte que coûte, le sauvant ainsi d'une mort probable.

Un peu plus tard, Kenworthy a recueilli d'autres chiens. Il a maintenant décidé de se lancer dans un combat pour les sauver et ses photos ont connu un grand succès sur Twitter.

Une deuxième girafe nommée Marius menacée d'euthanasie au Danemark

L'animal, âgé de 7 ans, pourrait être abattu si son zoo décide d'accueillir une femelle parmi ses pensionnaires, explique une agence de presse danoise.

 Il ne fait pas bon être une girafe et s'appeler Marius au Danemark. Le zoo de Jyllands Park pourrait abattre l'un de ses pensionnaires, quelques jours seulement après l'exécution controversée d'un girafon au zoo de Copenhague, a annoncé mercredi 12 février une agence de presse locale.

Dimanche, Marius, un an et demi, a été euthanasié puis autopsié en public dans la capitale danoise, suscitant les protestations de certains défenseurs de la cause animale. Le girafon, pourtant en bonne santé, a été abattu plutôt que castré ou réintroduit dans la nature afin d'éviter la consanguinité entre girafes, a assuré le zoo pour expliquer son geste.

Le cas de figure pourrait se reproduire à Jyllands Park, si le zoo parvient à acquérir une femelle, selon une gardienne. Problème pour Marius, âgé de 7 ans : la structure accueille déjà un autre mâle, plus jeune, nommé Elmer. "Nous ne pouvons pas avoir deux mâles et une femelle, précise la gardienne. Ils pourraient se battre entre eux." Une euthanasie ne manquerait pas de susciter une nouvelle vague de protestations.

Cette photo me déchire le cœur..........

Des cochons gavés à mort et massacrés pour un concours

Un cochon pesant près d'une tonne a été publiquement massacré, après que son propriétaire ait gagné le premier prix à une compétition...

Dix cochons ont été ainsi gavés, quasiment à mort, afin de les faire grossir 10 fois plus que normal, dans le cadre d'un concours organisé par le temple taoïste Sanhsia Tzushih, au nord de Taïwan.

Le grand "gagnant" cette année pesait ainsi 936 kilos... Les fermiers se préparent ainsi chaque année pour cet évènement, qui se termine dans le sang : les 10 cochons sont ensuite égorgés lentement devant l'assemblée... afin de contenter les dieux.

Enfin les autorités du temple récompensent le fermier possédant le plus gros cochon avec un prix en or... Une tradition dans la région, qui perdure depuis des générations.

Cependant depuis quelques années ce concours cruel a attiré les foudres des associations de protection des animaux et fait face à de nombreuses critiques et protestations publiques.

Considérée comme sauvage et cruelle, cette cérémonie oblige les cochons a être gardés dans des enclos minuscules où on les force à manger sans cesse en les frappant sur le museau pour qu'ils ne puissent pas ouvrir la bouche...

Les cochons sont ainsi gavés à mort uniquement dans le but de gagner ce concours...

Les autorités du temple pensaient ainsi abolir la cérémonie d'ici 2017 afin de répondre aux critiques, mais cette année a probablement été celle de trop : la contestation publique serait ainsi à même de prendre le pas sur cette pratique brutale et abusive.

Comble de la situation ?

L'esprit du Buddha honoré dans ce temple était... végétarien.. Partagez pour diffuser l'information et arrêter cette tuerie !

VILLES DE MALTRAITANCES 

Quel chien n'aurait pas envie de s'évader quand il est enfermé, seul, 24h/24.

Dans la vie, il y a les droits, et bien trop souvent, les choix ! Certaines vies, sont des chemins de croix !Des droits, des obligations à respecter, des choix, bien souvent très compliqués ! Une vie remplie de tourments, de larmes salées, avec ou sans prière, nous ne sommes pas épargnés ! Le meilleur choix : Celui du ♥ concerné ! Ne laissons pas les choix, nous miner, Vivons en toute liberté !

Dans ce monde de violence ou est la douceur? dans ce monde tourmenté je ne voie plus personne s'aimer, dans ce monde sans Dieu ni lois ou se trouve l'espérance? ,dans ce monde de méchanceté je me balance, tant de questions tourbillonnent et restent sans réponse, c'est pour cette raison que je me questionne

Pourquoi tant de méchanceté? pourquoi toute cette violence? pourquoi tant de malhonnêté? pourquoi tant de méfiance? le monde change et je me sens perdue ou sont les anges? je ne les voie plus en voyant tout ces malheurs qui accablent l'humanité je me suis fabriquée un monde meilleur ou j'aime me réfugier

J'ai peu vécu de la vie terrestre, où j'étais noir. Noir entièrement, sans tâche blanche au poitrail, ni étoile blanche au front. Je n'avais même pas ces trois ou quatre poils blancs, qui poussent aux chats noirs dans le creux de la gorge, sous le menton. Robe rase, mate, drue, queue maigre et capricieuse, l'oeil oblique ,un vrai chat noir. Mon plus lointain souvenir remonte à une demeure où je rencontrai, venant à moi du fond d'une salle longue et sombre, un humain; quelque chose d'inexplicable me poussa au-devant de lui, et nous nous arêtâmes face a face. Si je n'avais pas sauté ce jour-là, peut-être vivrais-je encore dans le monde des couleurs, des sons et des formes tangibles. L'etre humainn'aimait pas mes yeux verts, qui refusaient d'être l'ombre de ses yeux bleus. Il les maudissait. Alors je les fermais, et je m'habituais à ne regarder que l'ombre qui régnait derrière mes paupières. Peu à peu s'éloigne de moi la certitude que je fus un vrai chat, et non pas l'ombre, la moitié nocturne, le noir envers l'humain.